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- Écrit par
Jean DIEUDONNÉ
- 8 527 mots
Mais pour fonder cette dernière, il fallait encore que fût dégagée de façon précise la notion capitale d'homéomorphisme. Les remarquables découvertes de Cantor sur les puissances des ensembles y contribuèrent pour une bonne part : quand il eut prouvé qu'un segment de droite non réduit à un point...
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- Écrit par
Georges GLAESER
- 5 442 mots
Étant donné deux domaines Ω ⊂ E (resp. Ω1 ⊂ E1), rappelons qu'une application f de Ω sur Ω1 est un homéomorphisme si f est bijective, continue ainsi que l'application réciproque f -1. Un homéomorphisme peut être de classe Cm mais on dit que c'est un difféomorphisme (de...
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- Écrit par
Christian HOUZEL
- 5 285 mots
- 10 médias
Si les domaines D et D′ sont conformément équivalents, ils sont homéomorphes, c'est-à-dire qu'il existe une bijection continue de D sur D′ dont la réciproque est aussi continue. Ainsi est réalisée une condition nécessaire d'isomorphisme ; mais cette condition n'est pas suffisante, car le plan ...
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- Écrit par
Claude MORLET
- 4 161 mots
- 3 médias
Une application f de l'espace topologique X dans l'espace topologique Y est appelée un homéomorphisme si elle est bijective et si elle est continue ainsi que son inverse.