EXTENSION, logique

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• CONCEPT

  • Écrit par Jean LADRIÈRE
  • 3 367 mots
  ...platonisme conceptuel. Une propriété peut être interprétée comme une classe : c'est la collection des individus pour lesquels elle se vérifie. Il s'agit là d'une interprétation extensionnelle. Les classes obéissent au « principe d'extensionnalité » elles sont entièrement déterminées...

• EMPIRISME

  • Écrit par Edmond ORTIGUES
  • 11 725 mots
  • 1 média
  ...Considéré par analogie avec les fonctions mathématiques, un prédicat est vrai de quelque chose ou satisfait par telle suite d'entités ou d'items. La relation « être vrai de » ou « être satisfait par » détermine l'extension du prédicat. La distinction entre le point de vue notionnel...

• JUGEMENT

  • Écrit par Noël MOULOUD
  • 6 045 mots
  ...critique atteint même la notion d'un « sens » propositionnel, ou les notions qui relèvent du langage du sens, de l'« intension », comme les notions modales. Ces notions cèdent leur place aux notions proprement syntaxiques ou extensionnelles, qui décrivent l'agencement des formules dans un système et la correspondance...

• LOGIQUE

  • Écrit par Robert BLANCHÉ, Jan SEBESTIK
  • 11 415 mots
  • 3 médias
  ...référentielles (gegenständliche Vorstellungen), qui ont un objet, Bolzano admet les représentations vides (par exemple, « pentaèdre régulier »). Il admet également les représentations maximales, qui ont toutes la plus grande extension possible. Cette extension est la classe universelle, définie...

• MODÈLES THÉORIE DES

  • Écrit par Daniel ANDLER, Daniel LASCAR, Gabriel SABBAGH
  • 6 865 mots
  ...satisfait dans a si et seulement si il l'est dans b. Alors a est appelé une sous-structure [resp. (sous-structure) élémentaire] de b, et b une extension [resp. élémentaire] de a. La notion de sous-structure subsume celle de sous-groupe, sous-espace vectoriel, sous-algèbre, etc. Mais en théorie...

• PHILOSOPHIE ANALYTIQUE

  • Écrit par Francis JACQUES, Denis ZASLAWSKY
  • 11 817 mots
  • 3 médias
  Enfin, cette thèse dite de l'extensionnalité est la clé de l'explication atomiste du monde ; l'analyse réductive est la méthode au service d'une thèse métaphysique sur le pluralisme des faits simples, constituants ultimes de la réalité. Pour rendre compte de cette homologie structurale, qui fonde circulairement...

• RUSSELL BERTRAND lord (1872-1970)

  • Écrit par Philippe DEVAUX
  • 5 355 mots
  • 1 média
  ...autre (une classe α) d'un type supérieur au sien (a ∈ α) : « Socrate est homme. » S'agissant dans les deux cas d'une interprétation en extension, il y a lieu de se prémunir contre toute confusion préjudiciable à la cohérence du discours. Des paradoxes ont leur source dans cette confusion....

• VALEURS, philosophie

  • Écrit par Pierre LIVET
  • 9 093 mots
  • 2 médias
  ...exige précisément que l'on continue pendant un minimum de temps à être en relation perceptive avec un objet dont la forme en perspective reste stable. Nous retrouvons la relation de fait – la continuité – portant sur l'extension des formes dans le temps. Les qualités premières perceptives comme « carré...