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CLASSES, logique

Articles

  • CONCEPT

    • Écrit par Jean LADRIÈRE
    • 3 826 mots
    ...universaux qui a été proposée par Carnap (dans Meaning and Necessity) pourrait être considérée comme une forme affaiblie de platonisme conceptuel. Une propriété peut être interprétée comme une classe : c'est la collection des individus pour lesquels elle se vérifie. Il s'agit là d'une interprétation...
  • EXPÉRIENCE

    • Écrit par Pascal ENGEL
    • 7 147 mots
    • 1 média
    ...objets physiques comme des complexes de données sensorielles (sense data), définies comme des atomes de sensation. Les « choses » se réduisent aux classes de leurs apparences. Ces classes sont alors construites, selon les moyens de la logique, comme des conjonctions de propositions élémentaires traduisant...
  • LOGIQUE

    • Écrit par Robert BLANCHÉ, Jan SEBESTIK
    • 12 972 mots
    • 3 médias
    ...Pour permettre des comparaisons, on indiquera dans la colonne III du tableau ci-dessous l'interprétation ensembliste (contrairement à I et II, où A, B, ... désignent des termes indépendamment de toute interprétation, dans III, les mêmes lettres désignent leurs extensions, c'est-à-dire desclasses) :
  • OBJET

    • Écrit par Gilles Gaston GRANGER
    • 8 211 mots
    ...logiques ». On peut bien alors parler avec F.  Gonseth d'« objets quelconques », susceptibles d'interprétations variées : « propositions », mais aussi «  classes », à condition bien entendu que l'on considère l'objet-proposition comme un tout sans structure interne, et que l'objet-classe ne fasse pas apparaître...
  • ONTOLOGIE

    • Écrit par Paul RICŒUR
    • 15 658 mots
    • 1 média
    ...Les descriptions singulières, à leur tour, sont seulement un cas de « symboles incomplets » ; un autre cas de symboles incomplets est fourni par les classes, ces mêmes classes que, dans sa première ferveur ontologique, Russell avait placées parmi les choses et non parmi les concepts. Ici encore,...
  • RELATION

    • Écrit par Jean LADRIÈRE
    • 7 566 mots
    ...de 1910 à 1913). Dans les Principles, Russell adopte une théorie intensionnelle des relations. Alors qu'il adopte un traitement extensionnel des classes (consistant à traiter une classe comme l'ensemble des individus qui en font partie), il adopte le parti de traiter les relations comme des concepts...
  • RUSSELL BERTRAND lord (1872-1970)

    • Écrit par Philippe DEVAUX
    • 6 085 mots
    • 1 média
    Le passage du calcul des propositions au calcul des classes et au calcul des relations est assuré de la manière suivante : une classe (α) est constituée, comme un ensemble par ses éléments, par les membres lui appartenant (x ∈ α). C'est aussi, par là même, une fonction propositionnelle, puisqu'une...