Audiométrique
- Adjectif singulier invariant en genre
Définition
- en technologie, relatif à l'audiométrie
"audiométrique" dans l'encyclopédie
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SONS Audiométrie
- Écrit par André DIDIER
- 18 537 mots
- 7 médias
Il est facile de constater que la sensation sonore dépend des caractéristiques physiques des sons et des bruits. Un son trop faible n'est pas perçu. Un son trop fort provoque une gêne, voire une douleur. Il existe donc des limites d'intensité du stimulus physique hors desquelles l'écoute est impossible. Il en est de même quant à la hauteur ou fréquence des sons.
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ITARD JEAN-MARC-GASPARD (1774-1838)
- Écrit par Jacques POSTEL
- 6 197 mots
- 1 média
Au passage, il présente une instrumentation originale, tant opératoire que diagnostique, en particulier un appareil audiométrique (acoumètre) qui, pour la première fois, permettait de produire des sons d'intensité croissante déterminée. À la fin du livre, Itard étudie les surdités de naissance, objet privilégié de ses recherches. Il préconise la méthode orale et auditive pour l'apprentissage du langage chez les sourds-muets, s'opposant sur ce point à Sicard qui était resté fidèle à la méthode gestuelle et visuelle de l'abbé de l'Épée.
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OREILLE HUMAINE
- Écrit par Marcel AUBRY, Bernard MEYER et Michel NEVEU
- 32 853 mots
- 5 médias
Examen audiométrique L'audiomètre tonal, générateur de sons purs, étalonnés en fréquences : 125, 250, 500, 1 000, 2 000, 4 000 et 8 000 hertz, et en intensité (de 0 à 120 dBA), permet d'apprécier l'audition par voie aérienne (physiologique) de façon bilatérale, simultanément par un haut-parleur, ou séparément par un casque, ou encore par voie osseuse au moyen d'un vibreur qui stimule la cochlée.
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NEUROLOGIE
- Écrit par Raymond HOUDART, Hubert MAMO, Jean MÉTELLUS et Encyclopædia Universalis
- 166 418 mots
- 8 médias
Entré dans la langue française aux environs de 1690 sous la forme, aujourd'hui caduque, de « névrologie », le terme de neurologie, utilisé à partir de 1732 pour désigner la branche de la médecine qui étudie l'anatomie, la physiologie et la pathologie du système nerveux – et principalement du cerveau –, reçut sa consécration officielle de Jean Martin Charcot lorsqu'il fonda en 1880 les Archives de neurologie.