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- Écrit par
Isabelle ANTONUTTI, Jean-Pierre DRÈGE, Universalis, Henri-Jean MARTIN
- 14 492 mots
- 3 médias
...des lettres élégantes, mais de trouver des artifices permettant de mieux traduire les sons de la langue française et de mettre au point des formes de
ponctuation favorisant la compréhension d'un texte au cours d'une lecture muette et cursive. On conçoit donc que les alphabets qu'ils gravèrent en étroite...
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- Écrit par
Henri-Jean MARTIN, Martine POULAIN
- 10 508 mots
- 1 média
...siècle après J.-C., chez les Latins – les scribes se contentant d'isoler en certains cas les syllabes afin de faciliter la prononciation. De même, la
ponctuation reste le plus souvent élémentaire et se trouve limitée, au moins pour les Latins, à des points placés à des hauteurs différentes ainsi qu'à...
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- Écrit par
Catherine FUCHS
- 10 063 mots
- 6 médias
...d'autre part, les procédés d'ordonnancement et de mise en valeur du texte (titres, marges, alinéas, tirets d'énumération, paragraphes...). En français, la
ponctuation s'est mise en place progressivement au cours des siècles, et les différents « ponctèmes », qui constituent autant de signes linguistiques,...
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- Écrit par
Alain de LIBERA
- 22 212 mots
La « normalisation » qu'ont imposée beaucoup d'éditeurs aux textes du Moyen Âge (« conformément à l'usage établi », « conformément aux règles usuelles du latin ») nous incline à penser que la ponctuation n'y existait pas et que, si elle y existait, elle était à ce point fautive et négligée qu'on ne saurait...