Abonnez-vous à Universalis pour 1 euro

SAIKAKU IHARA (1642 env.-1693)

Bibliographie

Œuvres

Teihon Saikaku zenshū (Œuvres complètes de Saikaku), 15 vol., Tōkyō, 1949-1965 ; Cinq Amoureuses, éd. et trad. G. Bonmarchand, Paris, 1959 ; Contes de provinces, éd. et trad. R. Sieffert, P.O.F., Paris, 1985 ; Histoires de marchands, éd. et trad. R. Sieffert, ibid., 1990 ; Du devoir des guerriers, éd. et trad. J. Cholley, Gallimard, Paris, 1992.

Études

H. Hibbett, The Floating World in Japanese Fiction, Londres, 1959.

La suite de cet article est accessible aux abonnés

  • Des contenus variés, complets et fiables
  • Accessible sur tous les écrans
  • Pas de publicité

Découvrez nos offres

Déjà abonné ? Se connecter

Écrit par

  • : professeur à l'Institut national des langues et civilisations orientales

Classification

Pour citer cet article

René SIEFFERT. SAIKAKU IHARA (1642 env.-1693) [en ligne]. In Encyclopædia Universalis. Disponible sur : (consulté le )

Autres références

  • JAPON (Arts et culture) - La littérature

    • Écrit par Jean-Jacques ORIGAS, Cécile SAKAI, René SIEFFERT
    • 20 234 mots
    • 2 médias
    Ihara Saikaku (1642 env.-1693) était semble-t-il un riche marchand d'Ōsaka qui avait assidûment pratiqué le haikai et qui, vers la quarantaine, s'était retiré des affaires pour se consacrer aux lettres. Grand voyageur, observateur perspicace, il composa en douze ans seize recueils d'...
  • ROMAN - Genèse du roman

    • Écrit par ETIEMBLE
    • 5 817 mots
    • 1 média
    ...ne se manifeste que par son génie et sa langue. Pour qu'un Japonais osât s'introduire dans son histoire, il fallut attendre le xviie siècle et Ihara Saikaku, lequel, notamment dans Nippon eitaigura (1685), se démasque en tant qu'individu, tout en exposant les soucis et les ruses financières des marchands...

Voir aussi