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Dommage qu'elle soit une putain de J. Ford, mise en scène de Luchino Visconti

On connaît moins la part de l’œuvre du cinéaste italien Luchino Visconti consacrée au théâtre. Le réalisateur du Guépard s’y montra également un grand metteur en scène de Cocteau, Pinter, en passant par Tchekhov, Beaumarchais, Shakespeare, Anouilh ou Tennessee Williams. Ici, Romy Schneider (au premier plan), lors d’une répétition de Dommage qu’elle soit une putain (1633) de John Ford, au théâtre de Paris, en 1961.