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- Écrit par
Claude IMBERT
- 3 259 mots
...et inférences ; à l'inverse, l'idéographie donne le moyen de construire, à partir de propositions données, de nouvelles propositions en utilisant les
connecteurs logiques (¬, &, ∨, ⊂) et la quantification. Une preuve logique est une déduction, et la logique développe more geometrico son propre...
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- Écrit par
Robert BLANCHÉ, Jan SEBESTIK
- 12 972 mots
- 3 médias
...celui de Hilbert. C'est pourquoi il fait précéder la construction de son calcul logique par une présentation sémantique de ses concepts fondamentaux.
Ce sont d'abord les deux connecteurs pris comme primitifs : le conditionnel « si ... alors » (appelé par Bertrand Russell l'implication) et la négation....
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- Écrit par
Jean-François BONNEFON
- 1 164 mots
La psychologie du raisonnement se doit au moins d'expliquer comment nous utilisons les connecteurs et les quantificateurs pour construire et évaluer des conclusions nouvelles. Pourtant, le raisonnement ne s'arrête pas là. Il peut porter sur des relations qui ne sont ni des connecteurs ni des quantificateurs...
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- Écrit par
Jean LADRIÈRE
- 7 566 mots
...des variables pour relations, les mêmes constantes (constantes relationnelles, opérations et prédicat d'identité entre relations) que ci-dessus et les
connecteurs logiques habituels à l'exception des quantificateurs. Les propositions élémentaires sont du type R = S, où R et S désignent des relations....
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- Écrit par
Jacques BRUNSCHWIG, Urs EGLI
- 7 432 mots
- 2 médias
...essentiellement de la syllogistique aristotélicienne, et la précède. Ils ont dégagé les propriétés logiques des diverses combinaisons obtenues grâce à des
connecteurs propositionnels comme « si » (conditionnels, ou implications), « et » (conjonctions), « ou » (disjonctions), etc. En particulier, les conditions...