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- Écrit par
Maurice JACOB, Bernard PIRE
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...les quarks et les interactions faibles – suivant qu'elles changent ou préservent la charge des particules – à l'échange de W chargés ou de Z neutres.
Le photon, le gluon, le W et le Z sont aussi des particules élémentaires. Ces quanta des champs de forces, répertoriés au niveau des quarks et des leptons,...
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- Écrit par
Bernard PIRE
- 1 709 mots
...symétrie (dite de jauge) des forces qu’ils véhiculent. Avec les bosons faibles W et Z, qui, eux, ont des masses élevées, ils constituent la famille des
bosons de jauge, dont le spin est égal à h/2π (par un changement adéquat d’unités qui conduit à h/2π = 1, on écrit souvent qu’ils sont de spin...
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- Écrit par
Bernard PIRE
- 2 657 mots
- 2 médias
...peut pas distinguer la phase (au sens de la phase des nombres complexes) des fonctions d'ondes des particules. Cette symétrie implique l'existence d'un
boson de masse nulle : le photon. L'interaction nucléaire forte s'exprime au niveau le plus fin comme due à l'échange de gluons entre des quarks. La...
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- Écrit par
Bernard PIRE
- 1 939 mots
...interactions nucléaires faibles unifiée à l’électrodynamique quantique. Cette théorie, fondée sur le produit des groupes de symétrie SU(2) et U(1), admet comme
bosons de jauge les particules W+, W– et Z0 ainsi que le photon. Les masses non nulles (et élevées) des bosons W et Z sont engendrées par le mécanisme...
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- Écrit par
Thibault DAMOUR, Stanley DESER
- 11 950 mots
- 3 médias
...(théorie des interactions fortes), ainsi qu'aux essais de « grande unification ». Toutes ces théories représentent les interactions comme dues à l'échange de
particules bosoniques de jauge. En 1974, après en particulier un travail de Julius Wess et Bruno Zumino, la supersymétrie, c'est-à-dire une sorte de...