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ACADÉMIE IMPÉRIALE DE PEINTURE, Chine

Articles

  • CHINOISE CIVILISATION - Les arts

    • Écrit par Corinne DEBAINE-FRANCFORT, Daisy LION-GOLDSCHMIDT, Michel NURIDSANY, Madeleine PAUL-DAVID, Michèle PIRAZZOLI-t'SERSTEVENS, Pierre RYCKMANS, Alain THOTE
    • 54 368 mots
    • 37 médias
    ...rassemblé dans son académie un certain nombre de professionnels habiles dont le registre, mineur peut-être, est d'un charme raffiné, mais exempt de mièvrerie. Le courant de l'Académie, sans pouvoir prétendre à la profondeur, n'en correspond pas moins à l'une des grandes constantes du génie chinois : une contemplation...
  • HUIZONG [HOUEI-TSONG] (1082-1135)

    • Écrit par Pierre RYCKMANS
    • 1 462 mots
    Un autre aspect de l'activité de Huizong, et le plus important, est lié à cette Académie impériale de peinture qu'il organisa, développa et supervisa personnellement ; par le truchement de cette institution, il orienta la peinture de son époque et exerça une influence qui survécut à son règne. Les...
  • LI TANG (XIe-XIIe s.) ET MA YUAN (XIIe-XIIIe s.)

    • Écrit par Pierre RYCKMANS
    • 1 720 mots
    • 1 média
    ...hiatus que leur peinture est venue prendre le relais de leur devancier. Cette remarquable continuité de développement fut assurée grâce à l'action de l' académie impériale qui, sous les Song du Sud, imprima à la peinture une homogénéité inconnue à l'époque du Nord. Si prestigieuse qu'elle ait été, l'académie...
  • XIA GUI [HIA KOUEI] (actif vers 1190-1225)

    • Écrit par Pierre RYCKMANS
    • 1 444 mots
    Sitôt installés dans leur nouvelle capitale, les Song du Sud s'étaient empressés de reconstituer cette académie de peinture à laquelle le dernier souverain des Song du Nord, Huizong (1101-1126), à la veille même de perdre et son trône et sa liberté, n'avait cessé de donner le meilleur de son attention....