À la titus

"à la titus" dans l'encyclopédie

• DESTRUCTION DE JÉRUSALEM PAR TITUS

  • Écrit par Gérard NAHON
  • 1 038 mots
  • 1 média

  En 71 à Rome, Titus célèbre son triomphe. La forteresse de Massada résiste jusqu'en avril 73. La fouille du site, depuis 1964, confirme le récit de Flavius Josèphe : des résistants y tinrent plusieurs mois avec leurs familles et préférèrent le suicide à la reddition.

• BÉRÉNICE (28 env.-?) princesse juive

  • Écrit par Valentin NIKIPROWETZKY
  • 3 549 mots

  En 75, ils se rendirent à Rome. Titus logea Bérénice dans son palais. Le mariage du fils de l'empereur et de la princesse juive passait pour certain et imminent. Mais l'idée de cette union se heurta à une violente opposition populaire — dont Juvénal et Dion Cassius nous ont conservé l'écho — tant en raison du passé sentimental de la princesse que de la haine des Juifs que le grand conflit avait largement répandue dans le public.

• PLINE L'ANCIEN (23-79)

  • Écrit par Pierre GRIMAL
  • 5 002 mots

  La dernière partie de sa vie fut consacrée à la vaste compilation (trente-sept livres) que constitue l'Histoire naturelle (Naturalis Historia), publiée en 77, avec une longue dédicace à l'empereur Titus. L'« Histoire naturelle » Pline assure qu'il avait utilisé deux mille volumes pour rassembler la matière de cette vaste enquête sur la nature. Il donne l'indication de ses sources.

• HISTOIRE NATURELLE. LIVRE XXXV, Pline l'Ancien Fiche de lecture

  • Écrit par Adrien GOETZ
  • 5 879 mots

  ), le grand épistolier du monde romain, était son neveu et son fils adoptif –, a consacré un livre, le livre XXXV, de sa colossale Histoire naturelle, dédiée à l'empereur Titus, à une véritable histoire de l'art. L'ouvrage, vaste compilation, est à la fois biographique et technique, la première entreprise du genre. Par chance, à la différence de la majorité des ouvrages historiques de Pline, ce texte est parvenu jusqu'à nous.

• NABATÉENS

  • Écrit par Laïla NEHMÉ
  • 37 253 mots
  • 5 médias

  Enfin, Malichos II fournit des troupes à l’empereur Titus au début de la première révolte juive (66-73 apr. J.-C.). Le royaume nabatéen reste toutefois indépendant tout au long du ier siècle apr. J.-C., marqué cependant par des tensions entre les Nabatéens, la dynastie hérodienne et Rome. Toute velléité d’expansion est réprimée et la marge de manœuvre des souverains nabatéens, y compris pour les successions dynastiques, se trouve amoindrie.