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KŪKAI ou KŌBŌ-DAISHI (774-835)

Articles

  • VOYAGE DE SAICHŌ ET KŪKAI EN CHINE

    • Écrit par François MACÉ
    • 186 mots

    Depuis l'introduction du bouddhisme au vie siècle, les Japonais ne cessèrent d'accueillir des moines du continent, mais aussi de se rendre en Chine. Profitant d'une ambassade en 804, deux moines partirent pour étudier dans la Chine des Tang. Saichō (767-822) séjourna au mont Tiantai où...

  • BOUDDHISME (Les grandes traditions) - Bouddhisme japonais

    • Écrit par Jean-Noël ROBERT
    • 13 492 mots
    • 1 média
    Kūkai (774-835), après de solides études au Japon, où il s'était déjà familiarisé non seulement avec le bouddhisme mais aussi avec le confucianisme et le taoïsme, se rendit en Chine avec la même légation que Saichō et y resta un an de plus que celui-ci. Il reçut l'initiation ésotérique...
  • JAPON (Arts et culture) - Les arts

    • Écrit par François BERTHIER, François CHASLIN, Universalis, Nicolas FIÉVÉ, Anne GOSSOT, Chantal KOZYREFF, Hervé LE GOFF, Françoise LEVAILLANT, Daisy LION-GOLDSCHMIDT, Shiori NAKAMA, Madeleine PAUL-DAVID
    • 56 170 mots
    • 35 médias
    ...l'atelier officiel du Tōdai-ji de Nara, de nombreux sūtra sont transcrits par des copistes anonymes. Au début du ixe siècle, de retour de Chine, Kukai ( Kōbō-daishi), le fondateur de la secte Shingon, présente à l'empereur Saga des œuvres des calligraphes chinois contemporains, en particulier de Yan Zhenqing,...
  • PEINTURE - Les techniques

    • Écrit par Marie MATHELIN, Madeleine PAUL-DAVID, Jean RUDEL, Pierre RYCKMANS
    • 13 160 mots
    • 12 médias
    À son retour de Chine où il séjourna de 804 à 806, Kōbo-daishi, fondateur de la secte Shingon, a consacré plusieurs écrits à la calligraphie et au pinceau. Faisant état de trois sortes de pointes, il loue la plus longue qui permet plus de souplesse, tandis que la plus courte est moins commode pour...