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TIBULLE (env. 50-19 av. J.-C.)

Bibliographie

Œuvres de Tibulle

Élégies, éd. et trad. M. Ponchont, Paris, 1931 ; éd. bilingue, choix et trad. P. Macris, La Différence, Paris, 1993. Éditions commentées : K. F. Smith, New York, 1913 ; L. Pichard, Paris, 1924 ; F. W. Lenz, Leyde, 1964.

Études

F. Cairns, Tibullus. A Hellenistic Poet at Rome, Cambridge, 1979

A. Cartault, Tibulle et les auteurs du Corpus tibullianum, Paris, 1909

P. Grimal, « Le Roman de Délie et le premier livre des élégies de Tibulle », in Revue des études anciennes, vol. LX, 1958

N. Salanitro, Tibullo, Naples, 1938

A. Sauvage, « Tibulle et son temps », in Latomus, vol. XXVIII, 1969.

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Écrit par

  • : professeur émérite à l'université de Paris-Sorbonne, membre de l'Académie des inscriptions et belles-lettres

Classification

Pour citer cet article

Pierre GRIMAL. TIBULLE (env. 50-19 av. J.-C.) [en ligne]. In Encyclopædia Universalis. Disponible sur : (consulté le )

Autres références

  • LATINES (LANGUE ET LITTÉRATURE) - La littérature

    • Écrit par Pierre GRIMAL
    • 8 569 mots
    • 2 médias
    ...jamais oubliée. En cette seconde moitié du ier siècle avant J.-C. l' élégie connut son apogée, avec (peut-être) Cornelius Gallus, et, sûrement, Tibulle et Properce. En mêlant narrations mythologiques, descriptions, sentiments personnels, l'élégie continue l'esprit alexandrin. C'est à Rome que l'amour...
  • PROPERCE (env. 57-env. 15 av. J.-C.)

    • Écrit par Pierre GRIMAL
    • 1 377 mots
    ...allusion. Cynthia écrivait des vers, et c'est peut-être l'une des raisons pour lesquelles le poète lui a donné ce surnom (« celle du Cynthe », épithète apollinienne) ;mais il faut aussi penser que l'exemple de la Délia de Tibulle a joué un rôle dans ce choix, le Cynthe étant la montagne de Délos.

Voir aussi