Jean Racine, F. de Troy
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Corneille peignait des héros, Racine des âmes blessées. « Mon mal vient de plus loin... », avoue Phèdre à sa confidente. Ses pièces font entendre « cette tristesse majestueuse » qui apporte un ton nouveau au genre de la tragédie. François de Troy, Portrait de Jean Racine, fin du XVIIe siècle. Huile sur toile. Musée d'Art et d'Histoire de Langres.