Misérablement
- Adverbe
Définition
- de façon misérable
"misérablement" dans l'encyclopédie
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LES MISÉRABLES, Victor Hugo Fiche de lecture
- Écrit par Jean-François PÉPIN
- 5 983 mots
- 1 média
Alors que Victor Hugo est en exil à Guernesey, où il continue d'affirmer son opposition à Napoléon III, paraissent à Paris en 1862 les dix volumes des Misérables, énorme roman commencé en 1845. Épopée du peuple et de la misère, Les Misérables, en dépit de quelques invraisemblances, constituent un des romans les plus ambitieux et les plus réussis du xixe siècle.
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MISÉRABLE MIRACLE, Henri Michaux Fiche de lecture
- Écrit par Guy BELZANE
- 6 627 mots
Publié en 1956 aux éditions du Rocher, Misérable Miracle, sous-titré « La Mescaline », est le premier d'une série d'ouvrages d'Henri Michaux (1899-1984) consacrés aux drogues. Suivront L'Infini turbulent (1957), Connaissances par les gouffres (1961) et Les Grandes Épreuves de l'esprit (1966). Le texte fera l'objet, en 1972, chez Gallimard, d'une nouvelle édition « revue et corrigée », c'est-à-dire pour l'essentiel complétée d'addenda qui constituent à la fois un bilan et un congé donné à l'expérience commencée dans les années 1950.
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ZĀTI (1471-1546)
- Écrit par Gayé PETEK-SALOM
- 1 293 mots
Considéré, avec Ahmet pasa (Aḥmad pacha), comme l'un des fondateurs de l'art poétique ottoman, Zāti a pourtant connu une bien moins grande notoriété que lui et a vécu très misérablement. Originaire de Balikesir, il n'a pu, à cause de sa surdité, exercer le métier de juge. Arrivé à Constantinople, il devient cordonnier puis commence à composer, vit en vendant ses œuvres et reçoit des dons des sultans Bāyazīd II, Selim Ier et Süleyman Ier.
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RICHARD-LENOIR FRANÇOIS RICHARD dit (1765-1839)
- Écrit par André Jean TUDESQ
- 1 714 mots
Lui-même dut vendre toutes ses propriétés, et il vécut misérablement d'une pension que lui versa son gendre.
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CAGLIOSTRO GIUSEPPE BALSAMO dit ALEXANDRE comte de (1743-1795)
- Écrit par Antoine FAIVRE
- 2 339 mots
Après un jugement absurde et cruel, on l'enferme dans un cachot où il meurt misérablement (1795). Son rite écossais, de même que tous ses projets d'organisation maçonnique, mérite d'intéresser l'historien de la théosophie. Cagliostro ne fut pas seulement un aventurier ; par sa conception de la chimie, de l'observation de la nature, il prend place parmi les continuateurs de Paracelse, d'Agrippa et de tant d'autres.