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Consolation

  • Nom féminin singulier

Définition

  1. soulagement à la douleur d'une personne
  2. joie après une difficulté, une épreuve
  3. personne ou chose qui réconforte
  4. récompense en cas d'échec (lot de consolation )

"consolation" dans l'encyclopédie

  • SAMUEL USQUE (XVIe s.)

    • Écrit par Gérard NAHON
    • 3 082 mots

    La Consolation semble avoir été largement diffusée parmi les marranes : un dossier de l'Inquisition de Lisbonne révèle en 1558 que le livre circulait dans les milieux des « nouveaux chrétiens » portugais de Bristol et de Londres. Une réédition parut à Amsterdam en 1599, inaugurant une intense production littéraire juive espagnole et portugaise dans les Provinces-Unies.

  • BOÈCE (480-524)

    • Écrit par Pierre HADOT
    • 8 040 mots

    La « Consolation de Philosophie » Du fond de sa prison, avant sa mort tragique, Boèce écrit sa Consolation de Philosophie. Dans cette œuvre, où alternent prose et poésie, il fait appel à la tradition de la sagesse antique, stoïcienne et platonicienne, pour assurer la paix de son âme au sein du malheur qui l'accable. Le premier livre décrit la Philosophie apparaissant à Boèce qui, dans sa prison, se lamente sur sa disgrâce.

  • SÉNÈQUE (4 av. J.-C. 65 apr. J.-C.)

    • Écrit par Ilsetraut HADOT
    • 23 544 mots
    • 1 média

    C'est pourquoi il n'y avait certainement pas de différence fondamentale entre une consolation écrite par un académicien ou par un stoïcien, ou même par un auteur de formation purement rhétorique. Il ne faut donc pas accorder aux affirmations de Sénèque contenues dans ses écrits de consolation la même valeur philosophique qu'à celles de ses lettres et de ses écrits dogmatiques.

  • ŒUVRES POÉTIQUES, François de Malherbe Fiche de lecture

    • Écrit par Christian BIET
    • 3 136 mots
    • 1 média

     » moins de cinquante années plus tard, alors que l'auteur de Consolation à M. Du Périer était déjà devenu un « classique », une référence nécessaire.

  • CHASSIGNET JEAN-BAPTISTE (1570?-? 1635)

    • Écrit par Jean MARMIER
    • 831 mots

    Mais, dès l'âge de vingt-quatre ans, il a achevé l'immense suite de sonnets (au nombre de 434) qui porte pour titre Le Mépris de la vie et consolation contre la mort (1594), sonnets souvent admirables et très représentatifs de la sensibilité de l'époque par leur ardeur sombre qui unit violent réalisme, grâce des images, âpreté du ton, ferveur mystique.

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