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Philosophies de l'existence

Articles

  • CI-GÎT L'AMER. GUÉRIR DU RESSENTIMENT (C. Fleury)

    • Écrit par Marc LEBIEZ
    • 1 115 mots

    Professeure titulaire de la chaire humanités et santé au Conservatoire national des arts et métiers et de la chaire de philosophie à l’hôpital, au GHU Paris psychiatrie et neurosciences, auteure d’essais tels que Les Pathologies de la démocratie (2005) et La Fin du courage: la reconquête...

  • ÊTRE ET TEMPS, Martin Heidegger - Fiche de lecture

    • Écrit par Francis WYBRANDS
    • 787 mots

    Du seul véritable livre de Martin Heidegger (1889-1976) publié en 1927, Être et Temps (Sein und Zeit, 1927), certainement le traité de philosophie le plus important paru au xxe siècle, ne seront menées à bien et ne paraîtront que les deux premières sections de la première partie. Dans cette thèse,...

  • EXISTENCE (notions de base)

    • Écrit par Philippe GRANAROLO
    • 3 075 mots

    Ce n’est qu’au xxe siècle que la notion d’existence a pris une place centrale en philosophie avec le courant « existentialiste », dont la thèse a été formulée de façon particulièrement elliptique par Jean-Paul Sartre (1905-1980) : « L’existence précède l’essence. » Mais si cette...

  • EXISTENCE PHILOSOPHIES DE L'

    • Écrit par Jean WAHL
    • 6 166 mots
    • 3 médias

    Sans doute l'idée d' existence est-elle une très ancienne idée.

    Chez Platon, le même mot, ousia, désigne l' essence et l'existence, et l'on peut dire que la théorie platonicienne des essences est critiquée par Aristote en faveur d'une théorie de l'existence, de l'existence...

  • EXISTENTIALISME

    • Écrit par Yves STALLONI
    • 1 084 mots

    Indépendamment de ses fondements théoriques et de ses retentissements philosophiques, l’existentialisme mérite d’être considéré dans une perspective littéraire et même sociologique. Une des raisons de sa popularité est sans doute que cette philosophie de l’existence ne propose pas un système...

  • RIEN (philosophie)

    • Écrit par Jean GREISCH
    • 1 252 mots

    « Non, rien de rien, non, je ne regrette rien... » : tout le monde, ou presque, connaît la chanson d'Édith Piaf. Quel sort les penseurs doivent-ils réserver au « rien » ? S'agit-il d'un signifiant vide, indicible et impensable, voire d'une puissance de mystification, qui entraîne la ...