Ohé

"ohé" dans l'encyclopédie

• JÓZSEF ATTILA (1905-1937)

  • Écrit par Miklós SZABOLCSI
  • 6 548 mots

  À cette époque, le poète affiche une attitude en apparence ironique et désinvolte, des airs frondeurs de gavroche anarchiste et villonisant : « Ohé, les bourgeois ! ohé, prolétaires ! Attila József, c'est moi, me voilà. » « La réalité maîtrisée par l'inspiration » Au lendemain de l'exaltation révolutionnaire, à l'ombre de la menace fasciste, son art atteint la plénitude et la grandeur.

• DUSAPIN PASCAL (1955- )

  • Écrit par Alain FÉRON
  • 8 795 mots
  • 1 média

  Dusapin a beaucoup écrit pour de très petites formations inhabituelles ou pour instruments solistes (chacune de ces œuvres porte dans son titre un « I » initial) : To God, pour soprano et clarinette (ou saxophone soprano ; 1985), Mimi, pour deux voix de femme, hautbois, clarinette basse et trombone (1987), Anacoluthe, pour voix de femme, clarinette contrebasse et contrebasse à cordes (1987), Two Walking, cinq pièces pour deux voix de femme, sur un texte de Gertrude Stein (1994), Ohé, pour clarinette et violoncelle (1996), If, pour clarinette (1984), Il-li-ko, pour soprano (1987), In and Out, pour contrebasse (1989), Invece, pour violoncelle (1992), Ipso, pour clarinette (1994), Immer, pour violoncelle (1996), In nomine, pour alto (2000).