Éphébie
- Nom féminin singulier
Définition
- dans l'Antiquité, système de formation civique des jeunes gens dans l'Antiquité grecque
"éphébie" dans l'encyclopédie
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LYCURGUE (env. 390-324 av. J.-C.)
- Écrit par Universalis
- 1 568 mots
Il réforme par ailleurs l'éphébie (service militaire), réorganise la flotte de guerre, restaure les chantiers navals et achève l'arsenal conçu par l'architecte Philon. Lycurgue fait également construire de nombreux édifices et relève notamment le théâtre de Dionysos. Il fait enfin mettre au point un texte officiel des grandes tragédies d'Eschyle, de Sophocle et d'Euripide.
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GRÈCE ANTIQUE (Civilisation) Une civilisation de la parole politique
- Écrit par Pierre VIDAL-NAQUET
- 55 799 mots
- 1 média
On a vu que l'éphébie et la cryptie étaient associées à ces zones ; dans l'agros, un dialogue existe entre Dionysos et Hermès. Hermès exprime l'action civilisatrice de la société qui fraie des chemins bornés ; c'est le dieu de l'espace ouvert par rapport à l'espace clos du foyer (hestia) symbolisé par le prytanée. Dionysos exprime au contraire le déchaînement de la nature sauvage qui peut envahir jusqu'aux terres à blé de Déméter.
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ATHÈNES
- Écrit par Guy BURGEL, Pierre LÉVÊQUE
- 93 484 mots
- 10 médias
Du combat héroïque contre les Barbares aux luttes fratricides qui précipitèrent son déclin, le destin d'Athènes résume celui de la Grèce. Berceau de la civilisation occidentale à laquelle elle légua les fondements du régime démocratique, Athènes a exercé une immense fascination sur le monde antique. Elle fut l'âme de la résistance grecque aux invasions, des Perses aux Macédoniens.