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TRANSCRIPTION MUSICALE

Articles

  • ARRANGEMENT, musique

    • Écrit par Michel PHILIPPOT
    • 4 319 mots
    • 1 média
    ...d'arrangement, on parle alors de « réalisation » pour le travail qui consiste à rétablir l'harmonie et les parties intermédiaires, et d'« instrumentation » ou de «  transcription » pour le travail d'adaptation aux conditions instrumentales modernes. Il existe de nos jours de nombreuses reconstitutions effectuées avec...
  • ARRANGEURS DE LA CHANSON FRANÇAISE

    • Écrit par Serge ELHAÏK
    • 7 929 mots
    • 3 médias
    ...pourtant peu d’attrait pour la mode yéyé qui, selon lui, entrave la créativité des arrangeurs, les labels de disques français ne souhaitant alors que la transcription pure et simple des succès d’outre-Atlantique. Il signe aussi des arrangements pour Hugues Aufray (Céline), Gilbert Bécaud, Juliette Gréco...
  • BÉCARRE, musique

    • Écrit par Pierre-Paul LACAS
    • 163 mots

    Signe musical ♮ qui, placé devant une note, annule l'altération qui l'affectait, dièse ou bémol, que cette altération soit passagère (valable pour la seule mesure), ou constitutive (prévue pour tout un morceau par l'ensemble des altérations notées en début de portée, que l'on nomme armature). On...

  • ETHNOLOGIE - Ethnomusicologie

    • Écrit par Jean-Jacques NATTIEZ
    • 6 989 mots
    • 2 médias
    En Europe centrale aussi, les ethnomusicologues sont descendus sur le terrain.La collecte et la transcription de corpus propres à une aire culturelle donnée y sont intensives, mais pour des raisons fort différentes. Dès l'apparition du groupe des Cinq, notamment avec Mili Balakirev, il s'agit de préserver...
  • INTERPRÉTATION MUSICALE

    • Écrit par Alain PÂRIS, Jacqueline PILON
    • 7 438 mots
    • 8 médias
    ...ceux-ci connaissent un regain de faveur et sont davantage considérés comme des témoignages d'une certaine vision du passé que comme des faire-valoir. La transcription a toujours attiré les compositeurs, depuis Bach (transcrivant Vivaldi) jusqu'à Ravel (orchestrant les Tableaux d'une exposition...
  • NEUMATIQUE, musique

    • Écrit par Pierre-Paul LACAS
    • 490 mots

    Dans l'écriture de la musique, la notation a connu notamment les accents, dérivés des accents grammaticaux, les points superposés et une combinaison des deux. Les scribes du Moyen Âge utilisèrent des signes (en grec : neuma) pour fixer le chant liturgique de l'Église romaine. On rencontre...

  • NEUME, musique

    • Écrit par Pierre-Paul LACAS
    • 166 mots

    Terme de musique en usage au Moyen Âge (viiie-xiie s.) ; le neume est un signe graphique (du grec neuma, signe) que l'on plaçait au-dessus des syllabes à chanter, dans les livres d'église (antiphonaires, matutinaires, vespéraux). La notation neumatique dérive soit des accents grammaticaux, soit...

  • NOTATION MUSICALE

    • Écrit par Mireille HELFFER, Alain PÂRIS
    • 5 199 mots
    • 14 médias

    Contrairement à la peinture et à la sculpture, la musique est un art qui suppose un intermédiaire entre le créateur et son public. Cet intermédiaire, l'exécutant, se voit confier un texte noté selon certaines conventions qui ont évolué au fil des siècles et des cultures. La notation musicale n'a...

  • NUANCE, musique

    • Écrit par Pierre-Paul LACAS
    • 249 mots

    Par le terme de nuance, les Grecs indiquaient les modifications apportées à la division du tétracorde dans les deux genres mélodiques : diatonique et chromatique (l'enharmonique n'en comportant pas). Ainsi distinguait-on le syntono-diatonique et le malako-diatonique ; le toniaïo-chromatique, l'hémiolio-chromatique...

  • PAUSE, musique

    • Écrit par Pierre-Paul LACAS
    • 108 mots

    Signe musical correspondant à un silence dont la durée équivaut à celle d'une ronde. C'est un trait gras qui est placé au-dessous de la quatrième ligne de la portée.

    La demi-pause est une figure qui correspond au silence dont la durée équivaut à celle d'une blanche. Le trait qui...

  • SOUPIR, musique

    • Écrit par Pierre-Paul LACAS
    • 46 mots

    Le signe ᴓE représente graphiquement le soupir, qui équivaut à un silence correspondant à la durée d'une noire. Le double d'un soupir, la demi-pause, équivaut à une blanche, le demi-soupir à une croche, et le quart de soupir à une double-croche.