LÉVIRAT

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• ANTIQUITÉ - Le droit antique

  • Écrit par Jean GAUDEMET
  • 12 008 mots
  • 1 média
  ...épouse par un proche du mari, dont l'ordre était fixé par la loi : le frère du défunt, à défaut le père, l'oncle ou le neveu. Il s'agit là d'une sorte de lévirat, mais différent de celui que signalent la Bible et les lois assyriennes. On ignore à peu près tout des rapports entre parents et enfants, ainsi...

• ASSYRIE

  • Écrit par Guillaume CARDASCIA, Gilbert LAFFORGUE
  • 9 694 mots
  • 6 médias
  ...individus, le mariage unit deux familles en procurant à celle de l'époux une procréatrice d'héritiers ; si la femme meurt sans avoir eu de fils, le beau-père peut unir sa bru à un autre de ses enfants : lelévirat sauve ainsi la convention matrimoniale et lui donne une nouvelle chance d'atteindre son but.

• POLYGAMIE

  • Écrit par Roger BASTIDE
  • 9 914 mots
  ...d'apporter de nouvelles preuves en faveur de l'existence d'un mariage par groupes antérieur et à la polyandrie et à la polygynie. C'est d'abord l'existence du lévirat qui prescrit au frère d'un homme marié mort sans enfant d'épouser sa veuve de façon à assurer au défunt la postérité qui lui manque. C'est encore...

• TURKMÈNES

  • Écrit par Bernard DUPAIGNE
  • 1 786 mots
  ...données souvent à des familles déjà apparentées, pour réduire les frais du mariage ; la femme d'un homme décédé peut être donnée à un jeune frère du défunt ( lévirat). Les fils doivent prendre femme dans l'ordre d'âge. Le moment de la circoncision des garçons, de sept à douze ans, ainsi que les mariages sont...