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« cellules gliales »

  • Préciser avec l'index

  • RÉSERVE COGNITIVE

    • Écrit par Stéphane ADAM, Catherine GROTZ
    • 329 mots

    Deux grands modèles ont été proposés comme substrats neurophysiologiques de la réserve cognitive : le modèle passif (vision quantitative) suggère que la réserve cognitive s’exprime en termes de volume cérébral (plus de neurones, de cellules gliales et de synapses), alors que dans le modèle actif (vision qualitative) la réserve renvoie à une utilisation plus flexible des réseaux cérébraux et (ou) des stratégies cognitives. Lire la suite 

  • CONTRÔLE CENTRAL DE L'APPÉTIT

    • Écrit par Serge LUQUET
    • 5 946 mots
    • 6 médias

    Au nombre de sept, ces « portes » ou organes circumventriculaires (OCV) sont des structures très évoluées de la BHE dans lesquelles se trouve un microenvironnement constitué de cellules gliales particulières – les tanycytes – et d’un réseau de capillaires fenestrés (dans lequel l’endothélium vasculaire présente des micropores), qui permet un échange facilité de diverses molécules entre sang et cerveau. Lire la suite 

  • NERVEUX (SYSTÈME) Neurobiologie

    • Écrit par Jean-Marc GOAILLARD, Michel HAMON, André NIEOULLON, Henri SCHMITT
    • 13 752 mots
    • 11 médias

    L'un des plus importants reste l'étude des constituants du système nerveux avec ses différents éléments anatomiques, cellules nerveuses, cellules gliales, nerfs périphériques, jonctions neuro-musculaires, etc. Un deuxième domaine s'attache à l'étude du métabolisme cellulaire – cérébral surtout – aussi bien dans ses composantes communes à l'ensemble des cellules de l'organisme que dans ses particularités, représentant autant de propriétés spécifiques de la cellule nerveuse. Lire la suite 

  • HYBRIDATION

    • Écrit par Georges BARSKI, Yves DEMARLY, Simone GILGENKRANTZ
    • 5 925 mots
    • 2 médias

    Par la suite, les travaux réalisés sur les chimères embryonnaires chez les vertébrés, à l'aide d'anticorps monoclonaux, ont concerné le cerveau, la différenciation neurones-cellules gliales, et les phases précoces du développement immunitaire, entre autres. La souris, qui est l'animal à tout faire des généticiens moléculaires, ne pouvait manquer de se transformer en chimère pour se mettre à leur service ! Les premières chimères murines datent des années 1960. Lire la suite 

  • RÉSEAUX DE NEURONES (biologie)

    • Écrit par Jean-Gaël BARBARA
    • 2 492 mots
    • 3 médias

    Les auteurs ont démontré sur l’animal que l’effet thérapeutique de la stimulation à haute fréquence des noyaux subthalamiques pouvait être reproduit par excitation optogénétique des voies afférentes à ce noyau, avec des arguments permettant d’impliquer entre autres les axones des neurones de la couche V du cortex moteur, alors que cette question était largement débattue et qu’on pouvait croire que l’effet de la stimulation passait uniquement par une excitation directe des neurones intrinsèques au noyau ou même par celle des cellules gliales environnantes, tant la stimulation par électrode insérée est peu précise et non contrôlable chez l’homme. Lire la suite 

  • VIRUS NEUROTROPES

    • Écrit par Yannick SIMONIN
    • 6 194 mots
    • 5 médias

    Les astrocytes, cellules gliales, classiquement nourricières, contribuent également au maintien de la fonction protectrice de la barrière hémato-encéphalique en participant notamment à la régulation de l’homéostasie du système nerveux central. Bien que cette barrière soit généralement suffisante pour protéger le système nerveux central de diverses agressions (biologiques et chimiques), les virus neurotropes ont élaboré différentes stratégies pour la traverser sans emprunter la voie du système nerveux périphérique. Lire la suite 

  • SYNAPSES

    • Écrit par Alfred FESSARD, Patrice GUYENET, Michel HAMON, Jacques TAXI
    • 7 903 mots
    • 11 médias

    Dans le cas du GABA, il semble que la recapture soit effectuée surtout par les cellules gliales. En général, les médiateurs sont recaptés par les terminaisons présynaptiques spécifiques et stockés dans les vésicules. Dans le cas de certains aminoacides, candidats sérieux pour jouer le rôle de médiateurs, ce système à haute affinité s'ajoute au processus de transport à faible affinité décrit pour toutes les cellules : ainsi, l'acide glutamique, l'acide aspartique, la glycine sont captés par des tranches de tissu nerveux ou des synaptosomes, par deux systèmes de transport : l'un commun à toutes les cellules, l'autre qui serait spécifique d'une population de neurones. Lire la suite 

  • IMMUNITÉ, biologie

    • Écrit par Joseph ALOUF, Michel FOUGEREAU, Dominique KAISERLIAN-NICOLAS, Jean-Pierre REVILLARD
    • 21 509 mots
    • 11 médias

    Le système immunitaire assume l'une des grandes fonctions physiologiques des Vertébrés : l'aptitude à la reconnaissance d'un nombre prodigieux de structures moléculaires distinctes, les antigènes. Un antigène est classiquement réputé « étranger » à l'organisme chez lequel il provoque une réponse immunitaire. D'où la conception selon laquelle le système immunitaire a pour fonction essentielle la distinction du « soi » (les divers constituants de son propre organisme) et du « non-soi ». Lire la suite 

  • VIEILLISSEMENT

    • Écrit par Claude JEANDEL, Marc PASCAUD
    • 11 869 mots
    • 7 médias

    Les maladies neuro-dégénératives évoluent plus ou moins vite avec l'âge ; elles affectent soit les neurones eux-mêmes et leurs interconnexions synaptiques (neuromédiateurs), soit les cellules de la névroglée astrocytes, cellules gliales. Selon les estimations récentes, deux millions de Français seraient atteints en 2020 de la maladie d'Alzheimer. Les deux tiers des dépendances relèvent de la démence qu'elle entraîne (cf. Lire la suite 

  • SIDA (syndrome immuno-déficitaire acquis)

    • Écrit par François BRICAIRE, Patrice PINELL, Yves SOUTEYRAND
    • 9 718 mots
    • 6 médias

    Parmi les cellules exprimant le récepteur CD4, donc sensibles au virus, il faut citer les cellules de Langerhans de la peau et les muqueuses, ainsi que des cellules gliales. Or on sait que certains sujets sont « déficients » quant à la possibilité de synthétiser des cofacteurs, notamment la CCR5. Certains hétérozygotes ont une déficience partielle, et certains homozygotes n'ont pas de CCR5 du tout et ne sont pas capables d'intégrer le virus dans leurs cellules. Lire la suite