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« cellules endothéliales »

  • CELLULE Les mouvements

    • Écrit par Michel BORNENS, Matthieu PIEL
    • 6 582 mots
    • 3 médias

    Elles sont capables de traverser des barrières endothéliales et, pour certaines, de se déplacer dans des capillaires sanguins très étroits en roulant sur elles-mêmes, grâce à une adhésion transitoire avec les cellules des capillaires. D'autres, telles les macrophages ou les cellules neutrophiles, sont capables de migrer très rapidement vers un point d'infection, une blessure ou une cellule morte. Lire la suite 

  • TEMPÊTE CYTOKINIQUE

    • Écrit par Emmanuelle SIDOT
    • 2 591 mots
    • 1 média

    Les cellules endothéliales qui tapissent la paroi de ces vaisseaux sanguins aident à réguler la pression sanguine, à prévenir l’inflammation et à inhiber la coagulation grâce à la production continue de messagers chimiques, notamment l’oxyde nitrique. La juxtaposition des vaisseaux sanguins avec les alvéoles pulmonaires facilite le passage du virus dans les cellules endothéliales. Lire la suite 

  • INFLAMMATION ou RÉACTION INFLAMMATOIRE

    • Écrit par André-Paul PELTIER
    • 3 490 mots
    • 1 média

    De ce fait, les polynucléaires circulants se marginalisent puis adhèrent aux cellules endothéliales. Cette adhérence est d'abord lâche, résultant de la réaction entre sélectines de la surface des cellules endothéliales et certains polysaccharides de la surface des polynucléaires ; on dit que les polynucléaires « roulent » à la surface de l'endothélium. Lire la suite 

  • VASOMOTRICITÉ

    • Écrit par Didier LAVERGNE
    • 300 mots

    En revanche, la mise en réserve du calcium dans les cellules musculaires est due à l'entrée en jeu d'un signal NO émis par les cellules endothéliales, en réponse notamment à un effet de cisaillement se produisant sur l'artère. La libération du NO a lieu dans la cellule endothéliale par l'intermédiaire d'une protéine, la calmoduline, qui active (par calcium interposé) une enzyme appelée NO synthétase, permettant l'oxydation d'un acide aminé (arginine). Lire la suite 

  • HISTOLOGIE

    • Écrit par Élodie BOUCHERON, Dominique CHRIQUI, Anne GUIVARC'H, Jacques POIRIER
    • 5 331 mots
    • 6 médias

    De nombreux travaux cherchent à contourner cet obstacle en utilisant, par exemple, du mannitol, qui ouvre la BHE en rétractant les cellules endothéliales ou en cherchant à accrocher des molécules thérapeutiques anticancéreuses à des molécules qui franchissent la BHE, comme l'acide docosahexanoïque. Plusieurs de ces études utilisent des modèles de BHE in vitro comme les cultures de cellules endothéliales de cerveau de porc, la lignée RBE4 de cellules endothéliales de cerveau de rat immortalisées, ou encore les cocultures d'astrocytes et de cellules endothéliales cérébrales, qui se rapprochent étroitement de la situation existant in vivo. Lire la suite 

  • PHAGOCYTES

    • Écrit par Didier LAVERGNE
    • 649 mots

    Cependant, dans cet ensemble cellulaire, on peut distinguer : des éléments fixes, postés en embuscade le long des vaisseaux ; des cellules libres au repos, surtout nombreuses dans la trame sous-cutanée ; enfin, des cellules libres qui ont une activité particulièrement élevée, les macrophages. Les éléments fixes sont les cellules endothéliales qui bordent les capillaires des organes hématopoïétiques comme la rate, les ganglions lymphatiques, la moelle osseuse, etc. Lire la suite 

  • XÉNOGREFFES

    • Écrit par Louis-Marie HOUDEBINE
    • 2 058 mots
    • 1 média

    Le rejet hyperaigu différé résulte d'une induction locale de la coagulation sanguine par l'action de certaines cellules tueuses du système immunitaire du receveur (cellules T) et par une apoptose des cellules endothéliales. Le troisième type de rejet implique, comme pour les allogreffes, l'induction de la formation d'anticorps spécifiquement dirigés contre les antigènes du xénogreffon et l'intervention des cellules immunitaires T. Lire la suite 

  • FIBRATES

    • Écrit par Patrick DURIEZ, Jean-Charles FRUCHART
    • 462 mots

    Or, les PPARα sont présents non seulement dans les organes (foie, muscles) qui contrôlent le métabolisme de leurs ligands naturels – les acides gras – mais aussi dans les cellules de la paroi vasculaire (cellules musculaires lisses, cellules endothéliales, macrophages). Afin de déterminer si la stimulation des PPARα interfère dans la réponse des cellules musculaires lisses à une stimulation par des cytokines pro-inflammatoires, B. Lire la suite 

  • SANG Coagulation

    • Écrit par Jacques CAEN, Gérard TOBELEM, Universalis
    • 1 958 mots
    • 2 médias

    La paroi vasculaire normale est une barrière à l'activation des plaquettes par son revêtement de cellules endothéliales, mais le sous-endothélium du vaisseau (constitué de collagène et de diverses macromolécules) est thrombogène. S'il entre en contact avec le courant circulatoire, en cas de blessure, coupure ou en cas de lésion d'athérosclérose, les plaquettes vont venir s'y accoler : c'est l'adhésion plaquettaire. Lire la suite 

  • VIRUS NEUROTROPES

    • Écrit par Yannick SIMONIN
    • 6 194 mots
    • 5 médias

    La barrière hémato-encéphalique s’oppose également au passage des cellules circulant dans le sang, même si certains globules blancs peuvent y pénétrer au travers de la paroi des vaisseaux sanguins. Les cellules musculaires lisses et les péricytes (cellules qui s’enroulent autour des cellules endothéliales) situées le long des vaisseaux régulent le tonus vasculaire. Lire la suite