« Ventilation de l'air »
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VIE ANIMALE DANS L'AIR ET DANS L'EAU
- Écrit par Pierre DEJOURS
- 3 760 mots
- 5 médias
En revanche, l'animal à respiration aérienne se trouve dans un milieu, l'air, qui, à pression partielle égale, est beaucoup plus riche en oxygène que l'eau. Comme cet animal est capable d'abaisser la pression d'oxygène de 150 mm Hg (air inspiré) à 120 mm Hg (gaz expiré), il prélève, par litre d'air, 1,67 millimole d'oxygène. Autrement dit, sa « ventilation spécifique » vaut 0,6 litre par millimole d'oxygène, valeur beaucoup plus faible que celle qui a été constatée chez l'animal aquatique. Lire la suite
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RESPIRATOIRE (APPAREIL) Physiologie
- Écrit par Roland LEFRANÇOIS, Universalis
- 7 258 mots
- 3 médias
Les mécanismes respiratoires La ventilation pulmonaire La ventilation pulmonaire assure la prise d'oxygène dans l'atmosphère ambiante et le rejet de dioxyde de carbone (gaz carbonique). Volumes pulmonaires Lors de chaque inspiration, un certain volume d'air entre dans les poumons ; lors de l'expiration, un certain volume de gaz, appauvri en oxygène et enrichi en gaz carbonique, est rejeté. Lire la suite
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TUNNELS
- Écrit par Michel MAREC, Jean PÉRA
- 8 851 mots
- 7 médias
Dans le système de ventilation longitudinal, l'air est poussé par de petits groupes motoventilateurs appelés accélérateurs, placés en voûte du tunnel. Le débit total d'air dans le tunnel, et donc la longueur sur laquelle ce système peut s'appliquer sont limités par la vitesse acceptable de l'air, qui est de l'ordre de 8 à 10 mètres par seconde. En cas d'incendie, la ventilation est utilisée pour pousser les fumées en direction d'une des têtes, à condition qu'il n'y ait pas d'automobilistes arrêtés sur son trajet. Lire la suite
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ACCORDÉON
- Écrit par Anne PENESCO
- 385 mots
- 1 média
Instrument à vent, à anches libres métalliques ; la ventilation alternée y est produite par un soufflet à main permettant de contrôler constamment la pression d'air. Parmi les nombreux instruments, aujourd'hui disparus, qui utilisèrent le principe de l'anche libre métallique et aboutirent à l'accordéon, citons l'aéoline de Schlimbach (Ohrdruff, Thuringe, 1816), l'aéolo-mélodion de Brunner et Ofman (Varsovie, Pologne, 1818), l'éoline d'Eschenbach (Kœnigshoven, Alsace, 1820), la mundéoline de C. Lire la suite
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ŒDÈME AIGU DU POUMON
- Écrit par François BOURNÉRIAS
- 354 mots
L'œdème lésionnel peut être réalisé par une atteinte diffuse du parenchyme pulmonaire, soit infectieuse (septicémies, grippes « malignes »), soit toxique (gaz de combat, venins) ; son traitement nécessite fréquemment la réanimation respiratoire par ventilation assistée, malgré laquelle le pronostic reste le plus souvent fatal. Lire la suite
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COURNAND ANDRÉ FRÉDÉRIC (1895-1988)
- Écrit par Jacqueline BROSSOLLET
- 533 mots
Étudiant systématiquement les fonctions des poumons (ventilation et distribution de l'air), il analyse le passage de l'air à travers la membrane alvéolaire, contribuant ainsi à la compréhension des fonctions cardio-circulatoires et pulmonaires des individus sains ou malades. Durant la Seconde Guerre mondiale, Richards et Cournand ont étudié les diverses formes cliniques des traumatismes et montré que, dans un choc traumatique, il vaut mieux remplacer le sang perdu par du sang frais plutôt que par du plasma. Lire la suite
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COURRIÈRES CATASTROPHE DE
- Écrit par Denis VARASCHIN
- 397 mots
La plus probable est un coup de grisou suivi d'un coup de poussières, l'inflammation brutale du nuage de poussières de charbon soulevées et de l'oxygène de l'air produisant une gigantesque déflagration suivie d'éboulements. Ces fosses étaient pourtant réputées peu dangereuses. Mais la modernisation de la compagnie engagée depuis 1897 sous la conduite du directeur, Auguste Lavaurs, comportait de nouveaux dangers : une ventilation améliorée favorisait les dépôts de poussières de charbon ; des puits moins nombreux et plus profonds rendaient le fond difficilement accessible en cas d'accident ; la constitution d'un vaste espace de travail non compartimenté concentrait un grand nombre de mineurs. Lire la suite
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OXYGÈNE
- Écrit par Robert CREUSE, René NOTO
- 6 248 mots
- 13 médias
Oxygénothérapie En principe, dans des conditions normales, l'air inspiré par un sujet contient 20,9 p. 100 de dioxygène ; compte tenu du fait que la pression ambiante, ou pression barométrique au niveau de la mer, est égale à 1 bar (ce qui équivaut à 105 pascals ou 760 torrs ou 760 mm de mercure), la pression partielle de dioxygène dans l'air inspiré (PiO2) est de 0,209 bar et sa concentration fractionnelle (FiO2) de 0,209. Lire la suite
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SERRE
- Écrit par Jacques DAUTA
- 934 mots
Il est bien connu (« effet de serre ») que le sol et les plantes situés sous le vitrage recevant les rayons du soleil s'échauffent bien plus qu'à l'air libre : cela est dû à la suppression du vent et à la réduction de la convection de l'air, mais aussi aux propriétés physiques du verre (à peu près transparent pour le rayonnement solaire, mais tout à fait absorbant pour l'infrarouge émis par le sol placé à température ordinaire, d'où effet de « piégeage » des radiations solaires). Lire la suite
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CHIEN DE PRAIRIE
- Écrit par Marie-Claude BOMSEL
- 562 mots
- 1 média
Ce réseau de communications souterrain s'apparente à celui d'une ville ; il comporte même un système de ventilation puisque deux types d'issues, l'une basse, l'autre haute, relient les habitacles souterrains. L'air vicié ressort par pression au niveau de la sortie la plus élevée qui débouche sur un monticule en forme de dôme. C'est aussi sur ce monticule que les sentinelles surveillent les alentours. Lire la suite