« Traduction »
-
Préciser avec l'index
-
-
Filtrer les résultats par type
-
-
TRADUCTION
- Écrit par Jacqueline GUILLEMIN-FLESCHER
- 3 792 mots
- 1 média
La majorité des traducteurs cités ont également exprimé leurs positions idéologiques concernant la traduction, souvent sous forme de préface à l'œuvre traduite ou de lettre polémique. Théorie de la traduction Tout au long de l'histoire, la réflexion sur la traduction a été centrée sur des oppositions binaires : langue source/langue cible ; texte original/texte traduit ; littéralisme/traduction libre ; traduction de la lettre/traduction de l'esprit. Lire la suite
-
BIBLE Les traductions
- Écrit par André PAUL
- 3 135 mots
Parmi elles, on peut retenir notamment, outre la traduction latine de saint Jérôme devenue la Vulgate, les versions judaïques des Septante (traduction qui fut ensuite adoptée par le christianisme) des targums et d'Aquila. La version des Septante Dès le iiie siècle avant J.-C., les Juifs d'Alexandrie, organisés en un politeuma, entreprirent la traduction en grec, leur langue vernaculaire, de la Loi, écrite en hébreu. Lire la suite
-
VULGATE DE SAINT JÉRÔME (391-405 env.)
- Écrit par Jean-Urbain COMBY
- 257 mots
- 1 média
On parle à propos de ce type de traduction de Vetus latina, (« vieille latine »). Au ive siècle, cette Bible latine est jugée imparfaite. Jérôme, au cours de son séjour à Rome (382-385), avait déjà entrepris une révision de la traduction des Évangiles. Installé à Bethléem, en 386, Jérôme entend tout d'abord réviser la traduction latine de la Septante à partir des Hexaples d'Origène (Bible en six colonnes, quatre versions grecques et deux hébraïques). Lire la suite
-
LE MOT ET LA CHOSE, Willard van Orman Quine Fiche de lecture
- Écrit par Jean-Pierre COMETTI
- 962 mots
Aussi la situation de « traduction radicale » débouche-t-elle sur la mise en évidence d'une « indétermination de la traduction » et de l'« inscrutabilité de la référence ». « Comprendre une phrase, c'est comprendre un langage. » Dans une situation de traduction radicale, en effet, nul ne peut relier à un mot une référence univoque. Aucun manuel de traduction, d'autre part, ne peut prétendre à l'exclusivité. Lire la suite
-
MESCHONNIC HENRI (1932-2009)
- Écrit par Universalis
- 524 mots
Commencée avec Les Cinq Rouleaux (1970), cette vaste entreprise se poursuivra au cours des années 2000 avec Gloire (traduction des Psaumes, 2001), Au commencement (traduction de la Genèse, 2002), Et il a appelé (traduction du Lévitique, 2003), Dans le désert (traduction des Nombres, 2008). Pareil travail de traduction lui permet de donner forme sensible à un élément clé de son travail, la non-distinction entre vers et prose, le rythme, comme mis en musique par le recours à l'espacement à l'intérieur du texte, apparaissant comme le véritable sujet du poème. Lire la suite
-
GRESSET MICHEL (1936-2005)
- Écrit par André BLEIKASTEN
- 643 mots
Son amour de la traduction, Michel Gresset eut à cœur de le transmettre. En 1981, il crée le prix Maurice-Edgar Coindreau, qui récompense chaque année le meilleur livre américain en traduction, et il est un des membres fondateurs de l'association Atlas qui organise chaque année les assises de la traduction littéraire en Arles. Mais autant que traducteur, Michel Gresset était critique. Lire la suite
-
OSTY ÉMILE (1887-1981)
- Écrit par André PAUL
- 675 mots
C'est en 1946, en effet, qu'il avait publié sa première traduction, les Épîtres de saint Paul, aux éditions Siloé. Il devait faire paraître ensuite les Évangiles synoptiques, puis les Quatre Évangiles pour aboutir à l'ouvrage qui devait asseoir sa notoriété, le Nouveau Testament, souvent réédité à partir du début des années 1950. Entre-temps, il avait collaboré à la Bible de Jérusalem, avec sa traduction et sa présentation, d'abord en fascicule, du Livre de la Sagesse. Lire la suite
-
AL-KHWARIZMI
- Écrit par Bernard PIRE
- 183 mots
Résident de la maison de la Sagesse à Bagdad, le mathématicien Abu Ja'far Muhammad ibn Musa al-Khwarizmi a participé à la traduction de nombreux manuscrits scientifiques grecs. Son traité intitulé Hisab al-jabr w'al-muqabala est considéré comme le premier manuel d'algèbre. Le terme « algèbre » vient ainsi du titre de cet ouvrage, tandis que le terme « algorithme » provient d'une traduction latine du nom de son auteur. Lire la suite
-
DARMESTETER JAMES (1849-1894)
- Écrit par Universalis
- 233 mots
À son retour, il publie une traduction de chansons afghanes ainsi qu'un essai remarquable sur la langue et la littérature afghanes. Sa traduction anglaise de l'Avesta, livre saint du zoroastrisme, préparée en collaboration avec L. H. Mills, paraît dans les Sacred Books of the East (vol. 4, 23 et 31, 1883-1887), édités par l'orientaliste et linguiste anglo-allemand Max Müller. Lire la suite
-
RAWLINSON sir HENRY CRESWICKE (1810-1895)
- Écrit par Valentin NIKIPROWETZKY
- 714 mots
- 2 médias
L'exactitude du déchiffrement proposé sera confirmée par la traduction d'une inscription inédite de Tiglatpiléser Ier, que, sur l'invitation de la Société asiatique, Rawlinson procure de conserve avec J. Oppert, E. Hincks, H. Fox Talbot. La traduction concordante à laquelle les quatre savants, qui ont travaillé indépendamment les uns des autres, ont abouti est publiée par les soins de la Société en 1857. Lire la suite