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« Acide fort - acide faible »

  • NITRIQUE ACIDE

    • Écrit par Jean ROUXEL
    • 1 604 mots
    • 4 médias

    Tout métal, enfin, dont le potentiel d'oxydoréduction est inférieur à 0,80 V est oxydé selon les deux réactions simultanément possibles, et avec dégagement d'un mélange NO — NO2 (vapeurs nitreuses) de composition variable selon le métal et la concentration de l'acide. Les réactions de nitration mettent en jeu l'ion NO2+ résultant du processus d'ionisation HNO3 en milieu acide fort. Lire la suite 

  • ACÉTIQUE ACIDE

    • Écrit par Jacques METZGER
    • 2 111 mots
    • 3 médias

    Dans l'industrie, l'acide monochloracétique est préparé par hydrolyse du trichloréthylène à chaud et en présence d'acide nitrique (réactions 5). L'acide trichloracétique, dont les applications sont plus nombreuses, est préparé soit par oxydation du chloral soit par hydrolyse de l'hexachloroéthane (réactions 6). Il se présente sous la forme de cristaux blancs ; c'est un acide aussi fort que l'acide chlorhydrique. Lire la suite 

  • ACIDES & BASES

    • Écrit par Yves GAUTIER, Pierre SOUCHAY
    • 12 364 mots
    • 7 médias

    Il s'ensuit que dans un équilibre d'ionisation on ne peut concevoir l'existence de l'acide sans celle de la base correspondante : on dit que la paire HA—A— ou B+—BOH forme un couple acide-base. On notera qu'à un acide fort correspond une base faible (et inversement), car si HA est un acide fort, c'est qu'il perd facilement son proton, lequel inversement a peu tendance à réagir sur A—, qui se trouve donc être une base faible. Lire la suite 

  • TAMPONS SYSTÈMES

    • Écrit par Bernard CARTON
    • 191 mots

    Mélange de solutions dont le pH ne varie pratiquement pas si on lui ajoute de petites quantités d'acide ou de base, ou si on le dilue. On obtient une solution tampon en mélangeant un acide faible et l'un de ses sels de base forte (exemple du mélange acide acétique-acétate de sodium), ou une base faible et l'un de ses sels d'acide fort (ammoniaque-chlorure d'ammonium). Lire la suite 

  • ACIDO-BASIQUE ÉQUILIBRE

    • Écrit par Pierre KAMOUN
    • 2 955 mots
    • 1 média

    Dans sa définition physiologique, la concentration en bicarbonates comprend non seulement les ions bicarbonates, mais aussi les ions carbonates : l'erreur introduite par cette approximation est faible, pour ce qui est du plasma et du liquide extracellulaire, mais elle est importante pour ce qui est du liquide intracellulaire. En pratique courante, on obtient la concentration en bicarbonates grâce à la relation : Le CO2 total représente la quantité de CO2 pouvant être extraite du plasma, en présence d'un acide fort : on l'exprime en volumes de CO2 libérés par 100 ml de plasma, ou mieux, en mmol/l. Lire la suite 

  • SOLUTION ÉQUILIBRES EN

    • Écrit par Claude COLIN, Alain JARDY
    • 9 581 mots
    • 16 médias

    Il vient, par suite :soit : Le  milieu  est  dit  acide  lorsque |H3O+| > |OH- |, soit pH < 7 ; il est dit basique dans le cas contraire, soit pH > 7. Il est clair que le pH de la solution d'un acide dans l'eau est au plus égal à 7, et qu'il est d'autant plus faible, à concentration fixée, que l'acide est plus fort et, pour un acide donné, qu'il est plus concentré. Lire la suite 

  • FUMETERRE

    • Écrit par Pierre LIEUTAGHI
    • 244 mots

     ; fumariacées) renferme un alcaloïde, la fumarine, et un acide, dit acide fumarique, associés à du tanin, à des sucres, à des sels de potassium. La fumarine est toxique et curarisante à haute dose, stimulante à très faible dose. La plante, employée entière sans la racine, est une dépurative de valeur, également diurétique et tonique. Sa cure provoque, pendant les huit ou dix premiers jours, une augmentation sensible du nombre des globules rouges, nombre qui régresse ensuite, tandis qu'il se produit une baisse du tonus général. Lire la suite 

  • BORE

    • Écrit par Jean CUEILLERON
    • 5 304 mots
    • 6 médias

    Alors que les autres halogénures s'hydrolysent de façon brutale, le fluorure de bore est très soluble dans l'eau ; il donne en particulier de l'acide fluoborique H(BF4) :c'est un acide fort qu'on prépare, en fait, par action de l'acide borique sur l'acide fluorhydrique ; on en connaît de nombreux sels minéraux simples ou complexes (fluoborates ou bore-tétrafluorures) et de nombreux dérivés organiques. Lire la suite 

  • PHOSPHORE

    • Écrit par François MATHEY, Maurice MAURIN, Maurice SLANSKY
    • 8 988 mots
    • 15 médias

    Deux termes de cette famille sont connus : l'acide peroxomonophosphorique, et l'acide peroxodiphosphorique : Les acides phosphoriques condensés Les acides phosphoriques condensés proviennent de condensations de l'acide orthophosphorique ou des orthophosphates acides. Ils correspondent tous à du phosphore au degré d'oxydation + V et donnent lieu à des arrangements structuraux en chaînes ou sous forme de cycles mettant en jeu des liaisons P—O—P, pour lesquels un certain nombre de règles générales peuvent être énoncées : – chaque atome de phosphore est lié à un atome d'oxygène par une liaison dπ-pπ en plus d'une liaison σ ; – pour chaque atome de phosphore, un groupement OH a les propriétés d'un acide fort (K = 10—1 ou 10—2) ; tout groupement OH additionnel sur le même atome aura les propriétés d'un acide faible ; – deux anions tétraédriques PO43— adjacents ne sont jamais liés par plus d'un sommet, ce qui signifie que les tétraèdres PO4 peuvent avoir des sommets en commun, mais jamais d'arêtes ou de faces. Lire la suite 

  • SÉLÉNIUM

    • Écrit par Bernard GAUDREAU
    • 2 050 mots
    • 1 média

    L'acide sélénieux est plus faible que l'acide sulfureux. Il lui correspond divers sels : les sélénites et les hydrogénosélénites. L'acide sélénique H2SeO4 est obtenu par action d'un agent oxydant puissant (fluor, chlore, brome, ion permanganate, oxydation anodique, etc.) sur Se, SeO2, H2SeO3 en présence d'eau. En plus des phases H2SeO4 et H2Se2O7, les hydrates H2SeO4, xH2O (x = 1, 2, 4, 6) ont été isolés. Lire la suite