« 340 »
-
Préciser avec l'index
-
-
Filtrer les résultats par type
-
-
ARBOGAST (340 env.-394)
- Écrit par Pierre RICHÉ
- 218 mots
Soldat franc exilé par les siens, Arbogast est, comme son oncle Richomer, au service des empereurs romains. Bien que païen, il a la confiance de Gratien, empereur d'Occident qui meurt en 383 tué par un partisan de l'usurpateur Maxime. L'empereur d'Orient Théodose utilise Arbogast dans sa lutte contre ce dernier, puis le charge de veiller sur le jeune empereur d'Occident Valentinien II, fils de Gratien. Lire la suite
-
RUFIN D'AQUILÉE (340 env.-410)
- Écrit par Richard GOULET
- 371 mots
Né à Concordia aux environs d'Aquilée (Vénétie), Tyrannius Rufinus étudia à Rome, puis, attiré par la vie monastique, il se retira dans un couvent près d'Aquilée, où vint le rejoindre Jérôme, qui avait été son condisciple. Il effectua ensuite en compagnie d'une noble Romaine, Mélanie l'Ancienne, une visite des déserts d'Égypte où vivaient les plus célèbres ascètes. Lire la suite
-
HÉROPHILE (env. 340-300 av. J.-C.)
- Écrit par Jacqueline BROSSOLLET
- 429 mots
Bien que né en Chalcédoine, Hérophile passa sa vie à Alexandrie, alors au sommet de l'épanouissement artistique et scientifique que suscitèrent les Ptolémées, après la mort d'Alexandre le Grand, en encourageant la fusion des cultures grecque et orientale. Il étudia la médecine avec Praxagoras de Cos (le premier anatomiste qui différencia les veines des artères). Lire la suite
-
CONSTANTIN II dit LE JEUNE (316-340)
- Écrit par Joël SCHMIDT
- 228 mots
Né à Arles et appelé Constantin le Jeune pour le différencier de son père Constantin le Grand, empereur romain, il est fait césar à l'âge d'un an et hérite en 335 d'une partie de l'Empire que son père partage entre ses trois fils ; il reçoit les diocèses des Gaules, de l'Espagne, de la Bretagne insulaire. Il s'est déjà fait remarquer en 332 pour sa brillante conduite militaire, lorsqu'il a pris une part active à la défense de l'Empire. Lire la suite
-
FAXIAN [FA-HIEN] (340 env.-apr. 413)
- Écrit par Jean-Christian COPPIETERS
- 320 mots
Moine originaire du Shānxi, célèbre pour son voyage en Inde et à Ceylan. Faxian entre très jeune en religion, ses parents voulant lui éviter le sort de ses trois frères emportés par la maladie. Après ses études, il remarque l'absence en Chine de textes sur le vinaya et se décide à aller en rechercher en Inde. Âgé d'une soixantaine d'années, il part avec quelques compagnons en 399, se rend au Gansu, puis à Dunhuang, traverse le Lobnor, passe par Khotan et Kashgar pour arriver en Inde en 402. Lire la suite
-
SYMMAQUE, lat. QUINTUS AURELIUS SYMMACHUS (340 env.-env. 402)
- Écrit par Richard GOULET
- 218 mots
Orateur romain appartenant à une famille de noblesse récente mais en ascension rapide, Symmaque doit à une éloquence remarquable d'accéder aux plus hauts honneurs civiques. Il est à Rome le champion de la résistance païenne au christianisme triomphant. Malgré des tentatives répétées, il ne parvient pas à obtenir la réinstallation dans la curie de l'autel de la Victoire déplacé par Gratien en 382 ; cet autel faisait figure de symbole de la tradition païenne. Lire la suite
-
KILOBASE
- Écrit par Didier LAVERGNE
- 99 mots
L'espacement de ces barreaux étant constant et égal à 0,34 nm, un millier de kilopaires de bases représente 340 nanomètres. On abrège kilopaire de bases en kilobase, terme qui risque de prêter à confusion. En effet, dans une molécule d'ADN monocaténaire, la kilobase ne peut correspondre qu'à une séquence de 1 000 bases nucléotidiques. Lire la suite
-
PHOCION (env. 402-318 av. J.-C.)
- Écrit par Claude MOSSÉ
- 180 mots
Jusqu'à la bataille de Chéronée (~ 338), il se fit surtout connaître par des campagnes menées avec succès en Eubée (~ 348 et ~ 341), à Mégare (~ 343) et à Byzance (~ 340). Après Chéronée, il se posa en partisan d'un rapprochement avec la Macédoine, fut l'un des artisans de la paix de Démade, entretint de bonnes relations avec Philippe d'abord, avec Alexandre ensuite. Lire la suite
-
ARATOS DE SOLES (315-245 av. J.-C.)
- Écrit par Universalis
- 180 mots
~ 340) ; le second livre de l'ouvrage, consacré à la météorologie et intitulé Pronostics, traite des signes annonciateurs du temps, et offre beaucoup de ressemblance avec le De signis tempestatum de Théophraste. Le poème d'Aratos eut immédiatement un grand succès et suscita de nombreux commentaires, dont le plus important, celui d'Hipparque (env. ~ 150), nous a été conservé. Lire la suite
-
MÉDECINE ANTIQUE (repères chronologiques)
- Écrit par Didier LAVERGNE
- 172 mots
— 340 -— 300 Hérophile décrit l'anatomie du cerveau et étudie le pouls. — 320-— 250 Érasistrate montre le rôle des nerfs, celui des vaisseaux sanguins ; il étudie des lésions anatomiques résultant des maladies. Environ 30 Celse (De medecina) classe les maladies selon qu'elles sont curables par l'hygiène, les médicaments, la chirurgie. 40-90 Dioscoride Pedanius dresse un inventaire des médicaments minéraux ou végétaux. Lire la suite