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« ��chelles »

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  • JEAN DE CHELLES (mort en 1258)

    • Écrit par Alain ERLANDE-BRANDENBURG
    • 147 mots

    Jean de Chelles ne nous est connu que par la très belle inscription sculptée par son successeur, Pierre de Montreuil, sur le bras sud de Notre-Dame de Paris. Elle est suffisamment exceptionnelle pour affirmer le rôle prééminent reconnu à cet architecte au moment de sa mort en 1258. Elle permet de lui attribuer en outre le bras nord de la cathédrale, la conception et le début de la réalisation du bras sud. Lire la suite 

  • CHILDÉRIC II (650 env.-675) roi d'Austrasie (662-675) et roi des Francs (673-675)

    • Écrit par Universalis
    • 187 mots

    II fut le dernier roi mérovingien à tenter d'exercer l'autorité, mais un parti hostile au pouvoir austrasien émergea en Neustrie, et Childéric fut assassiné en 675 près de Chelles. Lire la suite 

  • MAÎTRE DE SAINT-DENIS (actif vers 1231)

    • Écrit par Alain ERLANDE-BRANDENBURG
    • 211 mots

    On devrait plutôt songer à Jean de Chelles. Lire la suite 

  • OUEN saint (600 env.-684)

    • Écrit par Jacques DUBOIS
    • 212 mots

    Il conserve une grande influence dans le royaume comme conseiller de la reine Bathilde jusqu'à sa retraite à Chelles. Il entretient d'excellentes relations avec le terrible maire du palais, Ébroïn. Déjà âgé, il entreprend le voyage de Rome. Obligé de se rendre auprès du maire du palais d'Austrasie, Pépin d'Héristal, il meurt, au retour, à Clichy, près de Paris, lieu où se situe la ville appelée en son honneur Saint-Ouen. Lire la suite 

  • CHILPÉRIC Ier (539-584) roi de Neustrie

    • Écrit par Universalis
    • 333 mots

    Roi mérovingien de Neustrie, né en 539, mort en 584 à Chelles. Fils de Clotaire Ier et d'Arégonde, Chilpéric reçoit, lors du partage du royaume de son père (mort en 561) avec ses trois demi-frères (fils d'Ingonde, sœur d'Arégonde), la région la plus pauvre, celle de Soissons. Viennent toutefois s'y ajouter les meilleures terres de Caribert (roi de Paris), à la mort de celui-ci en 567, et le royaume de Chilpéric correspond alors en grande partie à la région qui deviendra la Neustrie. Lire la suite 

  • PIERRE DE MONTREUIL (déb. XIIIe s.-1267)

    • Écrit par Alain ERLANDE-BRANDENBURG
    • 377 mots
    • 1 média

    Son chef-d'œuvre est sans conteste l'élévation du bras sud de Notre-Dame de Paris dont Jean de Chelles avait posé la première pierre. Elle apparaît comme l'œuvre d'un grand dessinateur qui a cherché à mettre en valeur un jeu de lignes extrêmement simples mais très harmonieuses. L'art de cour est parvenu là à son plus haut degré de raffinement. Lire la suite 

  • NOTRE-DAME, Paris

    • Écrit par Arnaud TIMBERT
    • 966 mots
    • 6 médias

    Jean de Chelles réalise à cette occasion la construction de la façade du bras nord (portail du cloître) tandis que celle du bras sud (portail Saint-Étienne), commencée par le même maître d’œuvre, est achevée, après sa mort, en 1258, par Pierre de Montreuil. Au siècle suivant, des chapelles sont intégrées à la périphérie du déambulatoire extérieur. Des arcs-boutants sont lancés ou modernisés enserrant la cathédrale dans une forêt de supports et d’arcs aériens qui dissimulent la superposition de ses volumes et brouillent la répartition de ses masses. Lire la suite 

  • SAINT-DENIS BASILIQUE DE

    • Écrit par Philippe PLAGNIEUX
    • 1 198 mots
    • 3 médias

    Autour de 1300, une série de six chapelles fut édifiée contre le flanc nord de la nef par l’architecte Pierre de Chelles. Puis, en 1362, le futur Charles V désigna pour lieu de sa sépulture la chapelle Saint-Jean-Baptiste, contre le mur oriental du bras sud du transept, celle-ci fut ensuite agrandie par Charles VI afin d’y être inhumé à son tour. Avec Charles V, la basilique Saint-Denis – devenue une sorte de panthéon national – accueillit non seulement des membres de la famille royale, mais également les grands serviteurs de l’État, tel Du Guesclin. Lire la suite 

  • KALMAKOFF NICOLAS (1873-1955)

    • Écrit par Véronique SCHILTZ
    • 1 231 mots

    Six ans plus tard elle le met à l'hospice russe pour vieillards indigents de Chelles et confisque ses toiles. Il meurt en 1955. C'est au hasard des Puces et à la perspicacité de deux passionnés, Georges Martin du Nord et Bertrand Collin du Bocage, que nous devons la redécouverte de Kalmakoff. Deux expositions ont suivi à Paris, l'une en 1964 à la galerie Motte et surtout la grande rétrospective de 1986 au musée-galerie de la Seita, au catalogue de laquelle nous devons l'essentiel de notre information, ont révélé au grand public une œuvre et un destin si cohérents dans leur étrangeté qu'ils pourraient être inventés. Lire la suite 

  • MÉROVINGIENS

    • Écrit par Alain ERLANDE-BRANDENBURG, Patrick PÉRIN
    • 15 028 mots
    • 4 médias

    À l'exception des grands monastères (Jouarre, Chelles, Nivelles, etc.) et de quelques sanctuaires (bourgades, hauts lieux sanctifiés), l'architecture religieuse de pierre n'a pas connu dans les campagnes de développement aussi considérable que dans les villes. Si les marches septentrionale et orientale du Regnum Francorum ont été marquées par une première vague de fondations d'églises en bois, le reste du royaume a vu dès l'origine la construction d'églises rurales dont les fondations au moins étaient en pierre, avec des murs de pierre ou de bois et de torchis : il s'agit le plus souvent de petites basiliques funéraires, la plupart du temps édifiées à l'initiative de l'aristocratie gallo-franque (et dont beaucoup sont à l'origine des églises paroissiales postérieures), avec nef rectangulaire, chevet en abside semi-circulaire ou quadrangulaire et, parfois, atrium, portiques et annexes (les églises rurales de Briord, dans l'Ain, Chassey-lès-Montbozon, en Haute-Saône, Saint-Julien-en-Genevois, en Haute-Savoie, ou Montferrand, dans l'Aude, pour se limiter à la Gaule, en constituent de bons exemples révélés par les fouilles). Lire la suite