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« Neurologie »

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  • NEUROLOGIE

    • Écrit par Raymond HOUDART, Hubert MAMO, Jean MÉTELLUS, Universalis
    • 30 259 mots
    • 8 médias

    Entré dans la langue française aux environs de 1690 sous la forme, aujourd'hui caduque, de « névrologie », le terme de neurologie, utilisé à partir de 1732 pour désigner la branche de la médecine qui étudie l'anatomie, la physiologie et la pathologie du système nerveux – et principalement du cerveau –, reçut sa consécration officielle de Jean Martin Charcot lorsqu'il fonda en 1880 les Archives de neurologie. Lire la suite 

  • J. M. CHARCOT ENSEIGNE LA NEUROLOGIE À LA SALPÊTRIÈRE

    • Écrit par Bruno HALIOUA
    • 187 mots
    • 1 média

    Ayant été nommé, en 1862, à l'hôpital parisien de la Salpêtrière, où il devait rester de longues années, Jean Martin Charcot y ouvrit, en 1882, ce qui allait devenir la plus grande clinique neurologique d'Europe. Étudiant l'atrophie musculaire, Charcot avait identifié (1865) la sclérose latérale amyotrophique consécutive à la dégénérescence des neurones moteurs, encore appelée maladie de Charcot. Lire la suite 

  • AICARDI JEAN (1926-2015)

    • Écrit par Universalis
    • 247 mots

    Il s’intéresse très tôt à la neurologie infantile, en particulier aux troubles convulsifs de la petite enfance. Il poursuit sa formation comme chercheur à la Harvard Medical School de Boston. Il se consacrera ensuite à ce domaine de la neurologie, en dépit d’un passage comme chirurgien à l’Hôpital des enfants malades à Paris, où il retournera en 1979 pour créer une unité de neurologie infantile. Lire la suite 

  • BABINSKI JOSEPH (1857-1932)

    • Écrit par Jacqueline BROSSOLLET
    • 622 mots

    Médecin des hôpitaux en 1890, sa carrière se déroule à la Pitié, dont il va faire le centre de la nouvelle neurologie. Dans le service de Charcot, qui soignait ce que l'on rassemblait à l'époque sous le nom d'hystérie, il distingue les paralysies hystériques des paralysies organiques, et à partir de 1893 il recherche les signes objectifs des maladies organiques permettant de les distinguer des névroses (Démembrement de l'hystérie traditionnelle, 1909). Lire la suite 

  • MARIE PIERRE (1853-1940)

    • Écrit par Jacqueline BROSSOLLET
    • 355 mots

    Contesté par Déjerine et par Grasset, il assiste aux trois séances consacrées, en 1908, par la Société de neurologie aux problèmes de l'aphasie, et ce sont ses thèses qui sont adoptées. Il a démontré l'origine infectieuse de certaines maladies du système nerveux (sclérose en plaques, épilepsie, hémiplégie, paralysie infantile) et fut aussi l'un des premiers à décrire la pathologie olivaire. Lire la suite 

  • GOWERS WILLIAM RICHARD (1845-1915)

    • Écrit par Gabriel GACHELIN
    • 395 mots
    • 2 médias

    Contrairement à Jean-Martin Charcot, le neurologue français qui travaille sur les maladies nerveuses à la même période, à l’hôpital de la Salpêtrière de Paris, Gowers restera exclusivement dans le champ de la neurologie, sans entrer dans celui des maladies mentales. Sa méthode est celle d’un observateur acéré, prenant note de tout ce qui concerne ses malades. Lire la suite 

  • VERRES DE SPIN

    • Écrit par Universalis
    • 121 mots

    Les verres de spin sont donc devenus des outils théoriques qui permettent de considérer sous un jour nouveau des problèmes en neurologie, informatique, économie et sciences de l'évolution, entre autres. Lire la suite 

  • WATSON JOHN BROADUS (1878-1958)

    • Écrit par Pierre LECOCQ
    • 675 mots

    La psychologie est une science naturelle ; et les lois qu'elle découvre, tout en étant irréductibles à celles de la physiologie et de la neurologie, n'en sont pas moins comparables, dans leur ordre, à celles-ci. Pour Watson, la part de l'hérédité chez l'homme est faible. Le comportement est, dans sa plus grande partie, socialement conditionné : Watson nie l'existence d'instincts chez l'homme et refuse un caractère héréditaire aux traits mentaux. Lire la suite 

  • BÁRÁNY ROBERT (1876-1936)

    • Écrit par Samya OTHMAN
    • 202 mots

    Après de brillantes études de médecine à l'université de Vienne (1900), Bárány se spécialise en neurologie en Allemagne (Francfort, Fribourg) et, de retour à Vienne, accepte un poste de démonstrateur dans une clinique spécialisée dans les maladies des oreilles (1903). Il y commence ses travaux sur l'appareil vestibulaire humain (ou oreille interne) dont il éclaircira la physiologie. Lire la suite 

  • HITZIG EDUARD (1838-1907)

    • Écrit par Jean-Gaël BARBARA
    • 1 349 mots
    • 1 média

    Il poursuit à Berlin sa formation chez des maîtres prestigieux, en électrophysiologie chez Émile du Bois-Reymond (1818-1896), avec Moritz Heinrich Romberg (1795-1873), spécialiste des maladies nerveuses et auteur d’un des premiers traités de neurologie, et en psychiatrie avec Karl Friedrich Otto Westphal (1800-1879), qui enseigne cette discipline à partir de 1861. Lire la suite