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« Guerre »

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  • GUERRE

    • Écrit par Jean CAZENEUVE, P. E. CORBETT, Victor-Yves GHEBALI, Q. WRIGHT
    • 14 345 mots
    • 10 médias

    La guerre et le droit international La mise hors la loi de la guerre Au Moyen Âge prévalait la conception que la guerre était nécessairement juste d'un côté, injuste de l'autre. La « guerre juste » était une procédure légale, par laquelle une autorité compétente employait la force des armes hors de sa juridiction normale pour défendre des droits, redresser des torts ou punir des crimes. Lire la suite 

  • GUERRE FROIDE

    • Écrit par André FONTAINE
    • 10 933 mots
    • 27 médias

    L'usage contemporain, même si l'on a pu parler de « guerre froide » sino-soviétique, ou, à propos des événements de mai 1968, de « guerre civile froide », réserve en général, à la suite du financier américain Bernard Baruch et du grand journaliste Walter Lippmann, le nom de guerre froide à la longue épreuve de force qui s'est engagée entre les États-Unis et l'Union soviétique après la dissolution, au lendemain de la capitulation du Reich, de la coalition anti-hitlérienne. Lire la suite 

  • GUERRE D'ALGÉRIE

    • Écrit par Benjamin STORA
    • 6 112 mots
    • 13 médias

    Les affrontements entre Algériens ont fait des milliers de victimes et la guerre d'indépendance contre la France a provoqué le déplacement de 2 millions de paysans et causé la mort de centaines de milliers d’Algériens musulmans. À la fin de la guerre, le FLN s’est installé au pouvoir. L'insurrection de novembre 1954 En 1954, l'Algérie constitue trois départements français. Lire la suite 

  • GUERRE DU GOLFE

    • Écrit par Universalis
    • 295 mots
    • 4 médias

    (notamment la destruction par l'Irak de ses armes chimiques et biologiques et de ses missiles à longue et à moyenne portée) ayant été acceptées par Saddam Hussein, la guerre prend officiellement fin le 11 avril 1991. Lire la suite 

  • GUERRE SOCIALE

    • Écrit par Joël SCHMIDT
    • 676 mots

    La guerre sociale s'apparente donc à une lutte des classes au sein de l'Italie et prend souvent l'aspect d'une guerre civile. Le conflit éclate à la suite du refus opposé par le sénat aux réformes du tribun Livius Drusus. Ce dernier propose en effet d'accorder aux alliés le droit de cité romaine et il annexe à son projet révolutionnaire une loi agraire. Lire la suite 

  • GUERRE EN DENTELLES

    • Écrit par Jean DELMAS
    • 477 mots

    Deuxième explication : la guerre ne concerne pas alors la nation, car la notion de soldat-citoyen n'existe pas. C'est une guerre sans idéologie menée par des troupes dont le combat est le métier et qui coûtent cher au souverain, donc qui doivent être ménagées. Et parce que les objectifs de guerre sont plus dynastiques que nationaux, ils sont plus limités. Lire la suite 

  • GUERRE DU DARFOUR

    • Écrit par Arnaud BALVAY
    • 349 mots

    Le président soudanais Omar el-Béchir fait l'objet, depuis 2009, d'un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale pour crimes contre l'humanité, crimes de guerre et génocide au Darfour. Lire la suite 

  • SÉCESSION (GUERRE DE)

    • Écrit par Claude FOHLEN
    • 2 919 mots
    • 8 médias

    L'expression « guerre de Sécession » est celle que les Français emploient pour désigner la guerre civile qui mit aux prises, aux États-Unis, les nordistes et les sudistes, de 1861 à 1865. Dans tous les autres pays, on parle simplement de guerre civile. Cette lutte fratricide s'insère entre deux épisodes bien précis, la prise du fort Sumter, dans la baie de Charleston, par les confédérés, le 14 avril 1861, et la reddition du général Lee, commandant en chef des armées confédérées, à Appomattox, le 9 avril 1865, cinq jours avant l'assassinat de Lincoln. Lire la suite 

  • CRIME DE GUERRE

    • Écrit par Jean DELMAS
    • 1 004 mots
    • 2 médias

    Par extension, on a parfois appliqué le terme à des actes commis en temps de guerre et qu'un des belligérants considère comme criminels : trahison, espionnage. Ainsi, dans le mémorandum du 27 mai 1949 rédigé à l'intention de la Commission du droit international, le secrétaire général des Nations unies rappelle que, parmi les crimes dits crimes de guerre, « la trahison, notamment celle que l'on qualifie d'espionnage, constitue l'exemple le plus ancien des crimes de guerre » ; soulignant l'évolution des conceptions depuis la doctrine qui prévalait au xviiie siècle en la matière, il précise : « Aujourd'hui, on entend surtout par crimes de guerre les infractions aux dispositions [. Lire la suite 

  • PRISONNIER DE GUERRE

    • Écrit par Jean DELMAS
    • 396 mots

    Bénéficient également du statut les personnes « à la suite » des forces armées (correspondants de guerre en particulier) ainsi que toute population d'un territoire non occupé qui prend spontanément les armes en cas d'invasion sans avoir eu le temps de se constituer en unités régulières. L'extrême complexité des conflits contemporains — état de guerre rarement déclaré, guerre civile, partisans combattant sans respecter les obligations imposées par la convention — soulève de nombreux problèmes d'application du statut. Lire la suite