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« Pygmalion »

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  • PYGMALION

    • Écrit par Universalis
    • 95 mots
    • 2 médias

    Dans ses Métamorphoses, Ovide donna de l'histoire une version plus élaborée : le sculpteur Pygmalion fit une statue d'ivoire représentant son idéal de la femme et s'éprit de son œuvre. En réponse à ses prières, Aphrodite donna vie à la statue. George Bernard Shaw a développé sur le mode ironique le thème de l'artiste créateur dans son Pygmalion (1913) dont fut tirée, en 1956, la comédie musicale My Fair Lady, de Lerner et Loewe. Lire la suite 

  • SALLÉ MARIE (1707-1756)

    • Écrit par Jane PATRIE
    • 263 mots
    • 1 média

    C'est à Londres qu'elle sera la créatrice des ballets : Pygmalion en 1734, Bacchus et Ariadne en 1734 et Alcina en 1735 (à Paris, étant la rivale de Camargo, personne ne lui laisse avancer ses idées). Au cours de la première représentation de Pygmalion de Haendel, Marie Sallé fait un véritable scandale, elle y apparaît vêtue d'une simple robe de mousseline tournée en draperie et ajustée à la manière d'une tunique grecque, abandonnant la lourde robe à paniers et la perruque habituelles. Lire la suite 

  • MARSTON JOHN (1575?-1634)

    • Écrit par Henri FLUCHÈRE
    • 842 mots

    Son Pygmalion s'inscrit dans la tradition ovidéenne des nombreux poèmes érotiques du temps. Œuvre de jeunesse, à l'inspiration un peu courte (le poème ne comporte que trente-neuf strophes de six vers), ses complaisances sensuelles restent peu convaincantes et sont loin d'égaler les lascivités perfides du Vénus et Adonis de Shakespeare, ou les audaces agressives du Héro et Léandre de Marlowe, poèmes dont Marston s'est inspiré. Lire la suite 

  • BRONZINO ANGELO DI COSIMO DI MARIANO dit (1503-1572)

    • Écrit par Yve-Alain BOIS
    • 818 mots
    • 4 médias

    Ce n'est pourtant qu'après avoir participé de près à l'ensemble célèbre de la chapelle Capponi, à Santa Felicità (Florence, 1526-1528) — on lui attribue aujourd'hui au moins l'un des quatre médaillons — que Bronzino, avec Pygmalion et Galatée (1529-1530), maîtrisera le style de son aîné sans le paraphraser platement. Dès lors, il entreprend une carrière indépendante. Lire la suite 

  • KARASU BILGE (1930-1995)

    • Écrit par Guzine DINO
    • 341 mots

    La peur, la dialectique de l'amour et de la mort, de la chasse et du chasseur, du maître et du disciple, de la statue et de Pygmalion, du chat et de l'homme, sont quelques-uns des thèmes favoris de Bilge Karasu. L'écriture et la structure en mosaïque du récit, voire de l'ensemble des récits d'un même recueil, avec des alternances en contrepoint, se manifestent aussi à travers la dimension temporelle de certaines de ses œuvres. Lire la suite 

  • CLÉRAMBAULT LOUIS NICOLAS (1676-1749)

    • Écrit par Pierre-Paul LACAS
    • 349 mots

    Ses cinq volumes de cantates (1710, 1713, 1716, 1720, 1726) traitent ordinairement de sujets classiques (Orphée, Médée, Léandre et Héro, Pygmalion, Polyphème) ou allégoriques (Le Soleil vainqueur des nuages, 1721, pour le rétablissement de la santé de Louis XV). Les récitatifs y sont de style français, les arias italiennes. En musique sacrée, outre l'oratorio Histoire de la femme adultère (sorte de cantate allégorique avec tableaux scéniques) pour quatre voix, deux violons et basse continue, il publie deux recueils de Chants et motets, cinq livres de Motets, un Te Deum. Lire la suite 

  • DIDON ou ELISSA (IXe s. av. J.-C.?)

    • Écrit par Gilbert-Charles PICARD
    • 435 mots

    De nombreux textes anciens attribuent la fondation de Carthage à Didon, également appelée Elissa ; sœur du roi de Tyr Pygmalion, elle quitte la Phénicie après le meurtre de son mari perpétré par son frère, relâche à Chypre, où elle recrute de nouveaux colons, conduits par le grand prêtre, arrive en Afrique, où elle obtient des autochtones la concession d'une terre. Lire la suite 

  • HOWARD LESLIE (1893-1943)

    • Écrit par Universalis
    • 376 mots

    Huit ans plus tard, il campe un Henry Higgins incomparable dans la première adaptation majeure au cinéma, qu'il co-réalise avec Anthony Asquith, du Pygmalion de George Bernard Shaw. Parmi ses autres films mémorables figurent Of Human Bondage (1934, L'Emprise), de John Cromwell, The Scarlet Pimpernel (1935, Le Mouron rouge), de Harold Young, The Petrified Forest (1936, La Forêt pétrifiée), de Archie Mayo, Romeo and Juliet (1936) de George Cukor, Stand-In (1937, Monsieur Dood part pour Hollywood) de Tay Garnett, Gone with the Wind (1939, Autant en emporte le vent) de Victor Fleming et Intermezzo : a love story (1939, Intermezzo ou La rançon du bonheur), de Gregory Ratoff. Lire la suite 

  • BURNE-JONES sir EDWARD COLEY (1833-1898)

    • Écrit par Charles SALA
    • 485 mots
    • 1 média

    Le type féminin créé par le peintre se rapproche sensiblement des « femmes fatales » de Moreau, et l'homme semble effacé et presque victime de cette présence féminine (L'Histoire de Pygmalion, 1879, City Museum, Birmingham). Burne-Jones, qui a aussi réalisé des décorations à fresque, des cartons pour des tapisseries, des vitraux et des aquarelles remarquables, incarne la tendance la plus originale de l'art préraphaélite. Lire la suite 

  • BENDA GEORG (1722-1795)

    • Écrit par Universalis
    • 442 mots

    Parmi ces ouvrages, citons Ariadne auf Naxos (Gotha, 1775), Medea (Leipzig, 1775) et Pygmalion (Gotha, 1779). Le 12 novembre 1778, Mozart écrit à son père une lettre dans laquelle il exprime son enthousiasme pour Ariadne et Medea ; il s'est inspiré de ce dernier ouvrage pour les deux mélodrames de son singspiel Zaide, composé en 1779 et 1780. Georg Benda signe également plusieurs singspiels, dont les plus célèbres sont Der Dorfjahrmarkt (Gotha, 1775) et Romeo und Julie (Gotha, 1776). Lire la suite