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« le Promeneur »

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  • LES RÊVERIES DU PROMENEUR SOLITAIRE, Jean-Jacques Rousseau Fiche de lecture

    • Écrit par Michel DELON
    • 1 073 mots
    • 1 média

    Les Rêveries constituent le prolongement des Confessions dans la mesure où le promeneur tient un registre de ses réflexions et songeries. L'auteur des Confessions prétendait former « une entreprise qui n'eut jamais d'exemple ». Celui des Rêveries veut décrire l'état habituel de son âme « dans la plus étrange position où se puisse jamais trouver un mortel » (II). Lire la suite 

  • JARDINS "SECS", Kyōto (Japon)

    • Écrit par Alain THOTE
    • 185 mots
    • 1 média

    Supports de la méditation, les jardins secs, de dimensions réduites, sont destinés à être vus d'un point fixe, et non pas découverts par le promeneur au fur et à mesure de sa marche : il n'est pas convié à y pénétrer. Lire la suite 

  • ROUSSEAU JEAN-JACQUES (repères chronologiques)

    • Écrit par Jean-François PÉPIN
    • 269 mots

    1776-1778 Rédaction des Rêveries du promeneur solitaire. 2 juillet 1778 Mort de Rousseau à Ermenonville. 1782-1789 Publication posthume des Confessions. Lire la suite 

  • LES RUINES DE PARIS, Jacques Réda Fiche de lecture

    • Écrit par Yves LECLAIR
    • 893 mots

    Rythmé de courtes proses poétiques et comprenant cinq poèmes, ce recueil lyrique chante en deux temps l’odyssée familière d’un promeneur solitaire. Le premier mouvement s’ouvre sur une longue prose marquant le départ du « pied furtif de l’hérétique » « vers six heures, l’hiver » ; puis il fugue en brefs paragraphes narratifs « sans bruit et presque sans paroles », « dans le doux épaississement du gris », pour atteindre dans « on ne sait quoi d’introuvable » « aux environs », la note « bleue » d’« une petite porte ». Lire la suite 

  • PÉRIER ODILON JEAN (1901-1928)

    • Écrit par Antoine COMPAGNON
    • 298 mots

    Ce sont Le Passage des anges (1926) et Le Promeneur (1927). Son évolution, depuis le vers libre de ses premiers poèmes où s'inscrivait la mode de l'époque, le conduit à retrouver le genre de l'élégie. Mort très jeune, Périer avait déjà fait la preuve de ses qualités. Lire la suite 

  • PARIS MA GRAND'VILLE (R. Grenier) Fiche de lecture

    • Écrit par Yves LECLAIR
    • 950 mots

    Sachant qu'il est dans les souvenirs tant de « lieux où il est doux d'être triste » (Henri de Régnier), le promeneur du soir ne doit pas succomber au spleen de Paris. À l'aigre-doux de la mélancolie qui aime s'apitoyer sur soi, autant qu'à la prétendue gravité de la posture grandiloquente, Roger Grenier préfère la bienveillante stupeur d'être, en célébrant dans une langue simple et retenue le Paris magique de sa vie. Lire la suite 

  • BAILLY JEAN-CHRISTOPHE (1949- )

    • Écrit par Michel P. SCHMITT
    • 1 022 mots

    D'où l'importance que prend cette œuvre dans le paysage, sans cesse ouvert, dans un même élan contemplé et traversé, et qui apparaît d'abord comme un espace en mouvement, un tourbillon de signes qui dessinent la trajectoire du promeneur-narrateur dans le temps. Le Dépaysement (Seuil, 2011) propose une cristallisation de l'écriture selon Bailly. La phrase liminaire de l'ouvrage est très claire : « Le sujet de ce livre est la France. Lire la suite 

  • CHABANEIX PHILIPPE (1898-1982)

    • Écrit par Jacques JOUET
    • 491 mots

    Mais ce poète fut surtout un Parisien d'adoption, attaché à sa librairie de la rive gauche (rue des Beaux-Arts, puis rue Mazarine) ou promeneur des villes et des campagnes de France. Soixante années durant, les recueils se suivent et se ressemblent, parmi lesquels, outre ceux déjà cités : Les Nocturnes (1950), Mémoire du cœur (1952), Musiques du temps perdu (1960), La Rose et l'Asphodèle (1964), Romances du temps qui fut (1981). Lire la suite 

  • MARMOTTAN PAUL (1856-1932)

    • Écrit par Jean-Pierre MOUILLESEAUX
    • 521 mots

    Goût néoclassique, Le Promeneur, 1989), sa première visite à l'hôtel du Ranelagh ; lui-même poursuivra toute sa vie la recherche de la demeure idéale. Marmottan a donc participé à la naissance d'un « style Empire » pressenti par des amateurs comme Whistler ou Montesquiou et mis à la mode par des décorateurs de la première décennie du xxe siècle. L'hôtel et ses collections (comprenant celles de son père, consacrées aux primitifs italiens, allemands et espagnols) ont été légués à l'Académie des beaux-arts et constituent le musée Marmottan qui a dû s'adapter depuis, pour accueillir une importante série de toiles impressionnistes (donations Donop de Monchy et Michel Monet) et une collection de miniatures (G. Lire la suite 

  • ÉLOGE DE LA LUMIÈRE (G. Macchia)

    • Écrit par Adrien GOETZ
    • 1 417 mots

    En France, on a enfin pu lire de lui deux ouvrages fondamentaux : un essai sur Proust, L'Ange de la nuit (Gallimard, 1993), et un volume d'articles, Le Théâtre de la dissimulation (Le Promeneur, 1993), où il analyse notamment le mythe de Don Juan. Publié en 1990, Éloge de la lumière. Rencontres entre les arts (trad. S. Aghion, Le Promeneur, 1996) est pour l'essentiel consacré aux arts, mais Macchia, bien évidemment, compte la littérature en leur nombre. Lire la suite