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« Toxines »

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  • PLANTES GÉNÉTIQUEMENT MODIFIÉES ET RÉSISTANCE

    • Écrit par Denis BOURGUET
    • 2 275 mots
    • 3 médias

    produisant des toxines de Bt, est la stratégie « forte dose/refuge ». Cette mesure combine la culture de P.G.M., produisant d’importantes quantités de toxines, avec le maintien, au voisinage, de variétés non transgéniques. Ces parcelles de plantes conventionnelles sont appelées « zones refuges » car les insectes ravageurs peuvent s’en nourrir sans y succomber puisque ces variétés ne produisent pas de toxines de Bt. Lire la suite 

  • STAPHYLOCOQUES

    • Écrit par Névine EL SOLH
    • 1 915 mots

    Le second groupe de toxines élaborées par les staphylocoques concerne celles qui, malgré leur contribution très probable à la pathogénicité bactérienne, ont un rôle incertain dans les infections staphylococciques. Elles comprennent les hémolysines α, β, δ et les γ toxines (γ hémolysine et leucocidines). Toutes ces toxines ont été surtout détectées au niveau des souches de S. Lire la suite 

  • CHARBON MALADIE DU

    • Écrit par Agnès FOUET, Michèle MOCK
    • 1 942 mots
    • 1 média

    S'il est tardif, il sera insuffisant, les toxines étant déjà synthétisées abondamment et conduisant à la mort de l'hôte. Les toxines Les toxines représentent l'arme « spécifique » de B. anthracis, responsable des deux caractéristiques de la maladie : l'œdème et la mort. Trois protéines, sécrétées par la bactérie, donnent par combinaison binaire deux toxines, l'une œdématogène et l'autre létale (cf. Lire la suite 

  • VENINS

    • Écrit par Jean-Philippe CHIPPAUX, Max GOYFFON
    • 6 941 mots
    • 8 médias

    L'inconvénient de ces toxines en thérapeutique vient de leur nature protéique et donc de leur caractère immunogène. Lire la suite 

  • STREPTOCOQUES

    • Écrit par Joseph ALOUF
    • 6 726 mots
    • 2 médias

    Toxines immunocytotropes mitogènes (superantigènes) Ces toxines produites par S. pyogenes comprennent les toxines érythrogènes (TE) et des facteurs mitogènes vis-à-vis des lymphocytes T encore mal définis. Les toxines érythrogènes comprennent deux variétés sérotypiques A et C. La toxine A a été découverte par Dick et Dick en 1924. Les toxines A et C sont des protéines monocaténaires sécrétées, conjointement ou non, par la plupart des souches de S. Lire la suite 

  • VIRULENCE BACTÉRIENNE

    • Écrit par Aurélie CHABAUD, Sylvain MEYER, Marie-Cécile PLOY
    • 4 588 mots
    • 5 médias

    Ces toxines – et en particulier la toxine botulique – sont efficaces à des concentrations infimes, et leur utilisation potentielle comme arme biologique (bioterrorisme) est toujours crainte. D’autres toxines, enfin, peuvent s’introduire dans les bicouches lipidiques des membranes cellulaires, permettant l’échappement aux cellules immunitaires ou facilitant la dissémination de la bactérie. Lire la suite 

  • ROUX ÉMILE (1853-1933)

    • Écrit par Pierre NICOLLE
    • 570 mots

    Dès ce moment, il pense à l'utilisation thérapeutique de ces toxines qui immunisent les animaux, et il souligne leur analogie avec les enzymes. En outre, il constate qu'on peut atténuer leur toxicité. Puis il fixe les règles du diagnostic bactériologique de la diphtérie et, bien qu'aucune thérapeutique spécifique ne puisse encore être appliquée, il insiste sur la nécessité d'un diagnostic précoce. Lire la suite 

  • ASILOMAR CONFÉRENCE D' (1975)

    • Écrit par Jérôme PIERREL
    • 617 mots

    Le moratoire, que les scientifiques étaient priés de suivre de leur propre initiative, visait les expériences permettant de transférer, à des souches bactériennes, de nouvelles résistances à des antibiotiques ou des gènes de toxines. Il visait également l'emploi d'ADN issu de virus oncogènes (c'est-à-dire, susceptible de causer des cancers) dans des ADN se répliquant (des virus par exemple), dans la crainte de créer une épidémie de cancer. Lire la suite 

  • ENTÉROCOLITES

    • Écrit par François BOURNÉRIAS
    • 155 mots

    L'entérocolite banale, associant une débâcle diarrhéique, de la fièvre et quelquefois des vomissements, est due à l'absorption d'aliments contenant certaines toxines microbiennes (staphylococciques le plus souvent). Des entérocolites (ou gastro-entérites) virales ont été signalées. Chez le nourrisson, ce type d'affection (la diarrhée « verte »), souvent dû à une entérobactérie du groupe des colibacilles, peut entraîner un état de déshydratation très grave et doit être soigné rapidement et énergiquement. Lire la suite 

  • ÉRYSIPÈLE

    • Écrit par Universalis
    • 224 mots
    • 1 média

    Cependant, ce dernier est nécessaire afin d'éviter d'éventuelles complications, telles qu'une néphrite, des abcès sous-cutanés ou une septicémie due à des toxines bactériennes. L'antibiothérapie empêche par ailleurs la récurrence de la maladie et sa transmission. Lire la suite