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« Nutrition »

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  • NUTRITION

    • Écrit par René HELLER, Raymond JACQUOT, Alexis MOYSE, Marc PASCAUD
    • 13 655 mots
    • 17 médias

    La nutrition humaine, qui pose des problèmes particuliers, par ses dimensions sociétales, culturelles ou géopolitiques,sera traitée en troisième lieu. Nutrition végétale Nature des besoins Jusqu'au milieu du xviie siècle, notamment sous l'influence du physiologiste italien Andrea Cesalpino (1583), on continuait d'adopter les théories d'Aristote selon lesquelles les plantes recevaient du sol une nourriture tout élaborée : l'humus. Lire la suite 

  • NUTRITION ARTIFICIELLE

    • Écrit par Claude MATUCHANSKY
    • 5 540 mots
    • 5 médias

    Selon les cas, la nutrition artificielle sera effectuée par la voie digestive (nutrition entérale) ou par la voie veineuse (nutrition parentérale). Toujours mise en route en milieu hospitalier, la nutrition artificielle peut maintenant être continuée à domicile dans les cas nécessitant un traitement très prolongé.Entérale ou parentérale, la nutrition artificielle a pour principe de base l'apport de tous les nutriments nécessaires à la vie (sucres, graisses, protéines, minéraux, oligo-éléments, vitamines) que le sujet ne peut plus prendre par la voie orale habituelle. Lire la suite 

  • NUTRITION AZOTÉE DES VÉGÉTAUX

    • Écrit par Claude LANCE
    • 256 mots

    Restait la nutrition azotée. On savait que la matière organique du sol (humus) est une source importante d'azote, mais pas toujours suffisante. On devait démontrer par la suite que l'azote organique doit d'abord être transformé en nitrate (nitrification) pour pouvoir être absorbé par les plantes. Par la méthode des bilans (différence entre l'état initial et l'état final), Boussingault a montré, en 1838, que des plants de légumineuses, cultivés sur un sol dépourvu de matière organique, sont capables de s'enrichir en azote, ce dernier ne pouvant alors provenir que de l'air. Lire la suite 

  • BOYD-ORR JOHN 1er baron (1880-1971)

    • Écrit par Georges BLUMBERG
    • 294 mots

    Lauréat du prix Nobel de la paix en 1949, John Boyd-Orr fait autorité en matière de nutrition. Étudiant à l'université de Glasgow, il suit l'enseignement de la théologie avant de s'intéresser à la nutrition. En 1914, il devient directeur de l'Institut de nutrition animale de l'université d'Aberdeen, et fonde en 1929 le Bureau impérial de la nutrition animale à Rowett. Lire la suite 

  • ÉCHANGES GAZEUX CHEZ LES PLANTES

    • Écrit par Claude LANCE
    • 252 mots

    Nicolas Théodore de Saussure (1767-1845), dans ses Recherches chimiques sur la végétation, démontre définitivement, en 1804, la nutrition dite autotrophique des végétaux, à partir des nutriments minéraux. Débarrassé de la théorie du phlogistique et doté d'un vocabulaire chimique nouveau, grâce aux travaux de Lavoisier sur la combustion, Saussure établit les aspects essentiels de la nutrition des plantes. Lire la suite 

  • ENDOCYTOSE

    • Écrit par Armand TIBI
    • 423 mots

    La nutrition cellulaire par endocytose a été observée surtout chez les cellules animales isolées. La phagocytose par les globules blancs des corps étrangers à l'organisme en est un exemple apparemment simple. Chez certains protozoaires, tel Epistylis, ce mode de nutrition a pu être étudié plus en détail. En effet, la digestion des aliments capturés commence dans une vacuole digestive, formée au fond d'un canal d'alimentation, ou cytopharynx. Lire la suite 

  • SAUSSURE NICOLAS THÉODORE DE (1767-1845)

    • Écrit par Jacqueline BROSSOLLET
    • 430 mots

    Quand, en 1804, il publie ses Recherches chimiques sur la végétation, la nutrition des plantes est très mal connue. En effet, certains pensent que les plantes n'ont besoin pour vivre que d'eau et d'air atmosphérique. D'autres, tel Bonnet, estiment que les sels minéraux trouvés dans les tissus végétaux sont le résultat d'une transmutation de l'eau provoquée par une « force vitale ». Lire la suite 

  • MYXOMYCÈTES

    • Écrit par Louis FAUREL
    • 2 019 mots
    • 3 médias

    Les Plasmodiophorales comportent des espèces parasites intracellulaires des végétaux ; leur mode de nutrition n'est pas phagocytaire et leurs spores se forment directement dans les plasmodes. Les trois autres ordres sont saprophytes ; leurs plasmodes ont une nutrition phagocytaire et leurs spores se forment dans des fructifications ou sporocarpes. Un pseudoplasmode, des zoïdes non flagellés caractérisent les Acrasiales, tandis qu'un plasmode vrai, des zoïdes flagellés caractérisent les Myxomycètes sensu stricto : Cératiomyxales à sporocarpe nu et Myxogastrales à sporocarpe entouré d'un péridium. Lire la suite 

  • CARDIOPATHIES, médecine

    • Écrit par Didier LAVERGNE
    • 183 mots

    Ces dernières ont pour enjeu la nutrition du myocarde, déficiente dans les cardiopathies ischémiques, avec l'infarctus comme menace ultime. Quant aux cardiopathies métaboliques, elles concernent divers types de surcharge du muscle cardiaque par des constituants excédentaires. On utilise enfin le terme de rythmopathies à propos des anomalies de la rythmicité de la contraction cardiaque. Lire la suite 

  • CLADODE

    • Écrit par Delphine CARTIER
    • 164 mots
    • 1 média

    Les cladodes représentent une des adaptations de la tige les plus poussées aux fonctions de nutrition, d'assimilation chlorophyllienne et de respiration, fonctions dévolues habituellement aux feuilles. On réserve le nom de phylloclades à des rameaux constitués de plusieurs entrenœuds aplatis. Dans certains cas, la tige principale et tous ses rameaux sont aplatis, comme chez les figuiers de Barbarie (Cactacées). Lire la suite