« Croyance »
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CROYANCE
- Écrit par Paul RICŒUR
- 11 987 mots
Cet accès au problème de la croyance par son sens, par son contenu intellectuel, et non par le sentiment ou par l'action, permet de découvrir au cœur de la croyance un processus qui la re Lire la suite
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CROYANCES (sociologie)
- Écrit par Romain PUDAL
- 1 228 mots
- 1 média
La première, ontologique, tient à la nature même d’une croyance : qu’est-ce qu’une croyance puisqu’elle ne s’observe pas ? Comment prétendre l’appréhender et l’analyser ? Pour Pascal Engel, la croyance nous entraîne dans « l’enfer des connaissances tacites » et alimente le « mythe de l’intériorité » (Jacques Bouveresse) : les croyances sont vues comme un corpus de représentations dans lesquelles on puiserait. Lire la suite
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LA DESTINATION DE L'HOMME, Johann Gottlieb Fichte Fiche de lecture
- Écrit par Francis WYBRANDS
- 857 mots
- 1 média
Reste, et ce sera l'objet du troisième livre (« Croyance »), à retrouver et le monde et l'intériorité de la vie. C'est la croyance, comme chez F. H. Jacobi, qui sera chargée de me révéler la réalité en moi et hors de moi. Mais cette croyance ne saurait se réduire, comme chez les romantiques (et Fichte ne cessera de porter le fer contre eux, malgré la propension de ces derniers, tel Novalis, à se réclamer de sa pensée) à la foi de l'enfance. Lire la suite
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ANIMISME
- Écrit par Mircea ELIADE, Nicole SINDZINGRE
- 4 102 mots
Le terme « animisme » désigne, dans son sens général, la croyance aux âmes et aux esprits. Dans son sens spécial, il se réfère à la théorie d'Edward B. Tylor (1832-1917), selon laquelle la croyance aux esprits représente la première phase de la religion. Cette théorie a rendu populaires les deux sens du terme animisme. La théorie de Tylor La religion se définit, selon Tylor, par la croyance en des êtres spirituels. Lire la suite
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DÉNI, psychanalyse
- Écrit par Pierre-Paul LACAS
- 819 mots
Mis en présence de l'absence de pénis chez la fille, les enfants dénient (leugnen) ce manque, afin de sauvegarder la croyance en l'existence d'un phallus maternel. Une telle croyance est à la fois conservée et abandonnée : cette attitude irrationnelle et illogique pour la conscience raisonnable n'est possible que selon la loi du processus primaire (l'inconscient ignore la contradiction). Lire la suite
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HUME DAVID (1711-1776)
- Écrit par Ferdinand ALQUIÉ
- 3 337 mots
- 1 média
Mais la théorie classique part de cette constatation pour situer la croyance dans un autre domaine, celui de l'affirmation, du jugement liant deux idées : pour elle, la croyance n'est donc possible que par le caractère relationnel et systématique de la pensée. Tout autre est le point de vue de Hume quand il écrit : « La croyance peut être très précisément définie : une idée vive unie ou associée à une impression présente » (Traité, III, 7). Lire la suite
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ÉCROUELLES TOUCHER DES
- Écrit par Solange MARIN
- 489 mots
La croyance en un pouvoir guérisseur des rois est liée à la représentation que les peuples se faisaient de la royauté. Elle prend sa source dans la vieille mentalité germanique, attribuant à certaines familles, nées pour régner, une vertu sacrée, un pouvoir quasi divin ; à cette croyance qui avait poussé la dynastie normande à se rattacher aux rois saxons et les Capétiens à se réclamer d'une filiation carolingienne était venu s'ajouter le cérémonial du sacre, véritable sacrement pour les théoriciens du pouvoir royal, qui faisait du nouveau souverain l'égal des évêques. Lire la suite
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ATHÉISME
- Écrit par Edmond ORTIGUES
- 3 062 mots
Pourquoi y a-t-il des péchés d'infidélité ? Parce que la croyance ne devient religieuse dans le christianisme qu'en devenant une foi. La foi est une croyance à la deuxième puissance : le chrétien (et aussi le musulman) croit qu'il faut croire pour être sauvé. La doctrine enseigne la nécessité de la foi pour le salut. C'est un dogme ; cela fait partie des choses à croire. Lire la suite
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CATHOLICISME Vue d'ensemble
- Écrit par Régis BURNET
- 1 227 mots
La religion catholique confesse le credo commun aux religions chrétiennes : croyance en un Dieu tout-puissant qui se manifeste à l'homme sous trois personnes (Dieu le Père, le Fils [le Christ], l'Esprit saint) ; croyance à la mission de Jésus, Dieu fait homme dans le sein d'une jeune fille, Marie, et dont la mort sur la croix et la résurrection permet à tout homme de recevoir le pardon de Dieu (Grâce) et de triompher de la mort (Résurrection) ; croyance en l'action de la prière soutenue par la troisième personne de la Trinité (Saint Esprit) et en l'importance de l'Église pour obtenir le salut. Lire la suite
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MACCABÉES IIe LIVRE DES
- Écrit par André PAUL
- 326 mots
L'affirmation de la croyance à la résurrection des corps, croyance qui dépassait celle qu'avaient les pharisiens en la seule immortalité de l'âme, eut ensuite une grande influence sur la pensée judaïque. Le thème de la résurrection est accompagné d'une célébration des martyrs, qui connut une grande faveur lorsque se développa la martyrologie dans les premières communautés chrétiennes. Lire la suite