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« Protéine »

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  • PROTÉINES Structures

    • Écrit par Philippe BRION, René LAFONT, Universalis
    • 6 273 mots
    • 6 médias

    Les premières études de structures tridimensionnelles ont été réalisées par analyse des images issues de la diffraction des rayons X (de longueur d'onde 0,05-0,25 nm) par des cristaux de protéine, à partir desquelles il est possible d'obtenir une représentation 3D de la protéine. La connaissance de la séquence de la protéine est un prérequis indispensable, la résolution (0,2 nm) ne permettant pas de voir les atomes individuellement. Lire la suite 

  • PROTÉINES (histoire de la notion)

    • Écrit par Pierre VIGNAIS, Universalis
    • 2 490 mots
    • 4 médias

    Ils y ajoutaient une touche numérologique originale en postulant que le nombre total Nt d'aminoacides dans toute protéine répondait à la formule Nt = 2m × 3n, les puissances m et n correspondant à un nombre entier. Par ailleurs, Bergmann et Niemann formulèrent une loi de « périodicité » d'après laquelle chaque résidu d'aminoacide dans une protéine apparaît à intervalles réguliers dans la séquence des aminoacides. Lire la suite 

  • PROTÉINES DE L'ALIMENTATION HUMAINE

    • Écrit par Jean-Claude MEUNIER
    • 3 360 mots

    La ribulose-1,5-bisphosphate carboxylase oxygénase (RuBisCO), appelée aussi « protéine blanche », enzyme responsable de l'assimilation du dioxyde de carbone, est la protéine la plus abondante sur la Terre. Les autres enzymes du cycle de Calvin et les protéines des antennes collectrices de lumière constituent aussi des aliments. Les grains de céréales constituent une autre source de protéines végétales (de 6 à 13 p. Lire la suite 

  • PAULING ET LES PROTÉINES

    • Écrit par Paul MAZLIAK
    • 231 mots
    • 1 média

    Après avoir appliqué la mécanique quantique aux liaisons chimiques et défini les liaisons faibles, Linus Pauling (1901-1994) se consacra à l'étude des protéines. Il élabora, en 1951, la structure secondaire des protéines fibrillaires (kératine des cheveux, fibroïne de la soie, etc.), point de départ des études sur la biologie structurale des protéines. Lire la suite 

  • R-MOLÉCULES ou PROTÉINES RECOMBINANTES

    • Écrit par Betty DODET
    • 676 mots

    La recombinaison génétique consiste à introduire un gène étranger et à le faire exprimer chez un micro-organisme (bactéries, levure, champignons) dans des cellules d'insecte, de mammifère... ou dans un organisme (plantes, animaux transgéniques). L'expression du gène permet d'obtenir des molécules dites recombinantes, ou r−molécules, qui sont utilisées, dans le domaine de la santé, comme vaccins ou comme médicaments. Lire la suite 

  • PRUSINER STANLEY B. (1942- )

    • Écrit par Vincent BARGOIN
    • 579 mots

    Toutes les encéphalopathies spongiformes se caractérisent par des dépôts d'une protéine dite prion dans le cerveau des malades. Mais la question étiologique est difficile, puisque l'on connaît des formes familiales de ces maladies aussi bien que des cas sporadiques. Dans les premières, l'existence de mutations du gène codant la protéine prion sera démontrée dans les familles atteintes. Lire la suite 

  • CODE GÉNÉTIQUE

    • Écrit par Antoine DANCHIN, Universalis
    • 1 764 mots
    • 1 média

    Comme les nucléotides sont lus trois par trois, il est essentiel que le début de la lecture soit bien spécifié, pour que le décodage s’effectue selon le bon cadre de lecture : un décalage d’un seul ou de deux nucléotides changerait la séquence de la protéine. Un codon dit d’initiation indique donc précisément le début de la protéine à traduire, et d’autres, dits de terminaison ou codons stop, en indiquent la fin. Lire la suite 

  • VACCINS À ADN ET ARNm

    • Écrit par Bruno PITARD
    • 5 477 mots
    • 4 médias

    Ils stimulent l’immunité innée en interagissant avec les récepteurs Toll-like 7-8, et sont traduits dans le cytoplasme en protéine S. Dans les cellules dendritiques et les macrophages, la protéine S est présentée aux lymphocytes T de deux manières possibles : soit par traduction de l’ARNm vaccinal en protéine S (en parallèle de la stimulation du système immunitaire inné) si les cellules produisent la protéine elles-mêmes, soit par phagocytose de cellules exprimant la protéine S. Lire la suite 

  • STRUCTURE EXONS-INTRONS DES GÈNES

    • Écrit par Gabriel GACHELIN
    • 654 mots

    Les introns peuvent allonger de façon considérable un gène alors que la protéine produite est de taille moyenne : c’est le cas du gène de la dystrophine (protéine essentielle à l’architecture cellulaire et dont l’anomalie entraîne la myopathie de Duchenne), qui possède 79 exons ne totalisant que 14 000 nucléotides alors que le gène tout entier est long de 2,4 millions de nucléotides. Lire la suite 

  • ENCÉPHALOPATHIES SPONGIFORMES

    • Écrit par Dominique DORMONT
    • 6 597 mots
    • 3 médias

    La protéine PrPc peut être convertie in vitro en PrPres dans un système acellulaire, par simple contact protéine-protéine (D. A. Kocisko et al., 1994) ; néanmoins, à ce jour, les protéines transconformées in vitro ne sont pas infectieuses. Les différences de structure secondaire existant entre la PrPc et la PrPres ne sont toujours pas connues. Toutefois, des mesures biophysiques indiquent que le contenu aux structures en feuillet bêta est nettement plus élevé chez la protéine pathologique que chez la protéine normale. Lire la suite