« Végétal »
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VÉGÉTAL
- Écrit par Marie POTAGE, Arnaud VAN HOLT
- 2 019 mots
- 5 médias
Le terme « végétal » a donc principalement une définition écologique. Lire la suite
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VÉGÉTAL Phytosociologie
- Écrit par Marcel GUINOCHET
- 5 739 mots
- 2 médias
Espèces dominantes et zones de transition confèrent fréquemment au tapis végétal une apparente continuité, qui masque plus ou moins l'existence d'individus d'association caractérisés. C'est sur ce fait que s'appuie la théorie du continuum de l'école nord-américaine de J. T. Curtis, pour qui le tapis végétal ne serait pas constitué d'une mosaïque d'unités distinctes, mais serait au contraire continu, ce qui ne permettrait de mettre en évidence que des gradients ou des champs floristiques en fonction de facteurs d'ordre climatique, édaphique, etc. Lire la suite
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ESSENCES VÉGÉTALES
- Écrit par Philippe BOUCHET
- 667 mots
On en rencontre une très grande variété dans tout le règne végétal et dans tous les organes des plantes. Après isolement par distillation ou entraînement à la vapeur d'eau, ou, plus rarement, par expression (zestes de citron ou d'orange) ou extraction à l'aide de solvants, on obtient des substances à forte odeur aromatique, généralement liquides, faiblement colorées, de densité inférieure à celle de l'eau (à l'exception des essences de cannelle, de girofle et de sassafras). Lire la suite
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ABSORPTION VÉGÉTALE
- Écrit par René HELLER, Jean-Pierre RONA
- 4 440 mots
- 6 médias
Très grossièrement, on peut admettre qu'un végétal absorbe quotidiennement au moins son poids d'eau. Les masses d'éléments minéraux absorbés sont beaucoup plus faibles, car elles ne servent qu'à couvrir les besoins nutritifs de la plante. Formes des éléments absorbés Dans la phase liquide, le végétal absorbe les éléments du sol sous forme d'ions : par exemple, pour le potassium (K), ce n'est pas l'élément K qui est utilisé par la plante, mais le cation K+, provenant d'un sel de potassium dissocié dans l'eau (KCl, KNO3—, K2SO42—, . Lire la suite
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SEXUALITÉ DES VÉGÉTAUX
- Écrit par Didier LAVERGNE
- 284 mots
L'évolution de la sexualité dans le règne végétal devenait alors analysable car les observations fondamentales de Hofmeister furent transposées à l'étude des algues par le Français Gustave Thuret, dans le cas du fucus (1853), et par l'Allemand Nathanaël Pringsheim (1869), chez d'autres espèces. La sexualité végétale était désormais démontrée. Lire la suite
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TISSUS VÉGÉTAUX
- Écrit par Jean-Claude ROLAND
- 3 831 mots
- 8 médias
Dans les organes des plantes, comme dans ceux des animaux, les cellules sont réparties en populations spécialisées, ou tissus. Il s'agit donc d'un ensemble fonctionnel qui réalise une division du travail physiologique.Du point de vue évolutif, les tissus végétaux authentiques – c'est-à-dire résultant d'une ontogénie bien définie avec mise en jeu d'un processus de différenciation cellulaire – caractérisent les Plantes vasculaires ou Trachéophytes (plantes à trachées, c'est-à-dire à cellules conductrices pourvues d'ornementations de paroi qui les rendent très reconnaissables au microscope). Lire la suite
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EMBRYOLOGIE VÉGÉTALE
- Écrit par Michel FAVRE-DUCHARTRE
- 2 117 mots
- 2 médias
Mais, quand on réalise qu'une microspore, une cellule nucellaire ou épidermique et (on présume) n'importe quelle cellule vivante de Cormophyte peuvent, à elles seules, régénérer un méristème puis la plante adulte, le problème de morphogenèse le plus crucial devient : pourquoi l'embryogenèse est-elle habituellement réservée aux seuls zygotes ? La notion d'embryon dans le règne végétal D'une façon générale, un embryon est un très jeune être vivant issu de la prolifération d'un zygote, cellule diploïde ( à 2 n chromosomes) originale provenant de l'union d'une cellule sexuelle femelle et d'un spermatozoïde. Lire la suite
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SÉCRÉTIONS VÉGÉTALES
- Écrit par Philippe BOUCHET, Jean-Charles MESTRE
- 2 803 mots
- 2 médias
Les sécrétions végétales sont constituées par l'ensemble des produits du métabolisme végétal qui, en principe, ne sont plus utilisés dans les processus métaboliques et qui n'interviennent pas dans les plantes en tant qu'agents physiologiques. Les régulateurs de croissance (vitamines et hormones végétales) n'entrent donc pas dans cette catégorie. En sont également exclues les productions de nature diverse provoquant par leur dépôt des modifications de la membrane pectocellulosique (gélification, minéralisation, subérification, cutinisation, cérification, lignification, etc. Lire la suite
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VIROSES VÉGÉTALES
- Écrit par Pierre-Yves TEYCHENEY
- 4 025 mots
- 2 médias
Cette méthode, souvent très longue, est de moins en moins utilisée dans les services de quarantaine qui contrôlent les importations de matériel végétal. Depuis les années 1980, des méthodes sérologiques permettent un diagnostic de routine, comme le test Elisa (enzyme-linked immunosorbent assay) qui associe réactions immunologique et enzymatique et qui est utilisé avec succès dans la recherche de nombreuses maladies virales végétales ou animales. Lire la suite
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RAMIFICATION VÉGÉTALE
- Écrit par Christian BOCK
- 798 mots
La ramification des tiges et des thalles a des conséquences à la fois morphologiques et biologiques. Certaines plantes gardent une tige simple toute leur vie, comme le palmier-dattier et les céréales. D'autres, les plus nombreuses, ont une tige plus ou moins abondamment ramifiée. La ramification est toujours en rapport avec l'existence de cellules à caractères embryonnaires capables de croître et de se différencier. Lire la suite