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INTOXICATIONS
L'introduction dans un organisme vivant d'une substance étrangère peut entraîner des conséquences graves, irréversibles ou non, pouvant même mettre en danger la vie de l'organisme. Le mot « toxique » vient du mot grec toxos signifiant arc, probablement en référence aux poisons de flèches utilisés au cours de la chasse par les pop […] Lire la suite
Les médias de la recherche « INTOXICATIONS » :
ALCOOLISME
Dans le chapitre "Effets neuro-psychiques" : … Généralement consommé comme un stimulant, l'alcool en réalité se rapproche plutôt des anesthésiques. Il fut le premier anesthésique connu en chirurgie générale. Dans la classification actuelle des substances qui agissent sur le système nerveux, il se rapproche des tranquillisants dont l'effet électif est l'apaisement de l'angoisse. L' intoxication alcoolique aiguë a été très étudiée sur l'animal […] Lire la suite
ALCOOLISME FŒTAL
Depuis 2007, toutes les bouteilles d'alcool en France comportent un pictogramme pour mettre en garde les femmes enceintes sur les risques de la consommation d'alcool pour le fœtus. Bien qu'à peine visible, ce dessin a constitué une petite révolution dans notre pays viticole, en symbolisant le message que toute consommation d'alcool peut être dangereuse pendant la grossesse. Repoussée pendant plus […] Lire la suite
ALIMENTATION (Aliments) Risques alimentaires
Dans le chapitre "Contaminations accidentelles" : … La présence de produits chimiques nocifs à une concentration élevée dans l'eau de boisson ou les aliments est toujours accidentelle. Citons pour mémoire les contaminations par l'arsenic, le fluor, le sélénium et autres composés minéraux. Un cas particulier, remis en lumière par des intoxications graves, est celui de la contamination mercurielle liée à des déversements en mer de déchets industrie […] Lire la suite
ARSENIC, toxicologie
L'arsenic entrait autrefois dans la composition de nombreux produits insecticides, raticides, pesticides comme de certaines peintures, papiers peints et céramiques. L'empoisonnement arsenical chez l'homme résulte souvent de l'ingestion ou de l'inhalation d'un insecticide contenant oxyde arsénieux, acétoarsénite de cuivre ou arséniate de calcium ou de plomb. La sensibilité individuelle à l'arsenic […] Lire la suite
BARBITURIQUES
Composés organiques dérivant de la malonylurée improprement appelée acide barbiturique en raison de la forme de ses cristaux « semblables à une lyre » ( barbitos ), les barbituriques constituent un groupe homogène tant sur le plan chimique que sur le plan pharmacologique. Leur action dépressive sur le système nerveux central en fait essentiellement des sédatifs, à doses plus fortes des hypnotiques […] Lire la suite
CADMIUM
Dans le chapitre " Propriétés physiologiques" : … Les intoxications par le cadmium et ses composés sont dues à l'inhalation de leurs vapeurs et poussières ou à l'ingestion d'aliments qui auraient été contaminés. L'intoxication aiguë est caractérisée par des troubles respiratoires et des atteintes hépato-digestives et surtout rénales. L'intoxication chronique est précédée d'une période d'imprégnation plus ou moins longue et provoque des manifesta […] Lire la suite
CARBONE
Dans le chapitre "Sulfure de carbone" : … Le sulfure de carbone est obtenu par action directe du soufre sur le carbone au rouge vers 900 à 1 000 0 C. La réaction est très endothermique (ΔH = 117 kJ . mol -1 ). Le sulfure de carbone est un corps très inflammable : C'est un réducteur. À 500 0 C en présence de catalyseur (magnésie + charbon) on a la réaction : Il peut aussi donner des réactions d'addition où il joue un rôle analogue à u […] Lire la suite
CATASTROPHES INDUSTRIELLES (repères chronologiques)
1794 Explosion, le 1 er septembre, de la poudrerie de Grenelle à Paris, faisant près de 1 000 morts. La prise de conscience des risques technologiques entraînée par cette catastrophe passe pour être à l'origine de la réglementation française marquée par le décret impérial de 1810 sur les établissements dangereux, insalubres et incommodes. 1906 Explosions, le 10 mars, dans les fosses de la Compagn […] Lire la suite
CIGUË
Prototype de la plante vénéneuse, non seulement dans une famille ambiguë où les meilleures condimentaires et des potagères de première importance ont souvent leurs sosies toxiques, mais aussi dans toute l'étendue de la flore d'Europe, la grande ciguë ( Conium maculatum L. ; ombellifères) a des propriétés délétères connues depuis la plus haute antiquité. Cinq siècles avant notre ère, les hippocra […] Lire la suite
COLCHIQUE
L'une des plantes les plus redoutables de la flore d'Europe. Toutes les parties du colchique ( Colchicum autumnale L., liliacées) renferment, parmi une dizaine de substances toxiques à des degrés divers, un alcaloïde particulièrement dangereux, la colchicine, qui représente le principe actif médicinal. La dessiccation n'altère pas le poison. La colchicine isolée est toxique pour l'homme à la dos […] Lire la suite
COMA
Dans le chapitre "Étiologie" : … Reconnaître l'existence d'un coma est facile. En préciser l'étiologie est souvent plus difficile, surtout lorsque diverses causes sont associées, ce qui est fréquent. On distingue : les comas traumatiques, les comas dits neurologiques et les comas toxiques. – Pour les comas traumatiques , les plaies cranio-cérébrales, les contusions cérébrales, les commotions, les hémorragies méningées traumatiqu […] Lire la suite
DAPHNÉ, botanique
Les trois daphnés (thyméléacées) les plus répandus, le bois gentil ( Daphne mezereum L.), la lauréole ( D. laureola L.), le garou ( D. gnidium L.), et les autres espèces européennes, sont des plantes très vénéneuses. Ils renferment une résine âcre, irritante (même après séchage prolongé), toxique, la mézéréine, et un hétéroside, le daphnoside, qui serait inoffensif. Les fruits, souvent rouges, […] Lire la suite
DATURA ou STRAMOINE
L'une des solanacées les plus vénéneuses, plus dangereuse encore que la belladone, le datura ou stramoine ( Datura stramonium L.) renferme trois alcaloïdes : l'hyoscyamine, l'atropine et la scopolamine, qui sont aussi les poisons de la belladone et de la jusquiame. À forte dose (infusion de quelques grammes de feuilles chez l'adulte), elle provoque la mort après un délire parfois furieux, des con […] Lire la suite
DÉMENCE
Dans le chapitre "Démences infantiles" : … La notion de démence infantile ne s'est imposée que tardivement et notamment après les travaux de Moreau de Tours (1888) ; celle de schizophrénie infantile est d'individualisation encore plus récente. Il existe de nombreuses formes de démences infantiles. La plupart sont très rares. Chez le bébé, leur survenue se manifeste par la perte de la curiosité, la torpeur, et la disparition des acquisitio […] Lire la suite
DÉMYÉLINISATIONS
Phénomène pathologique, la démyélinisation est observée principalement dans deux maladies : la sclérose en plaques , qui touche le système nerveux central et qui est fatale à plus ou moins longue échéance, et la maladie de Guillain-Barré, qui touche le système nerveux périphérique et qui est spontanément régressive. L'examen post mortem du cerveau d'un malade atteint de sclérose en plaques montre […] Lire la suite
DIALYSE
Dans le chapitre "Dialyse péritonéale" : … La dialyse péritonéale a été initialement utilisée vers 1945-1946 comme traitement de l'insuffisance rénale aiguë, et, pendant plus d'une décennie, elle resta le procédé d'épuration le plus utilisé ; l'apparition d'une nouvelle génération de reins artificiels plus performants contribua à la rendre moins intéressante que l'hémodialyse. La technique consiste à introduire le liquide de dialyse dans […] Lire la suite
FAVISME
Favisme est l'ancien nom du déficit en glucose-6-phosphate déshydrogénase, une enzyme du sang, entraînant la destruction des globules rouges. L'intoxication est provoquée (chez les sujets génétiquement prédisposés) par l'ingestion de fèves ou l'inhalation du pollen de cette plante. Dans les heures qui suivent apparaît brusquement un syndrome d'anémie fébrile aiguë avec ictère et hémoglobinurie fra […] Lire la suite
FOIE
Dans le chapitre "Hépatites toxiques et médicamenteuses" : … Certaines intoxications peuvent être mortelles par suite d'une lésion du foie : c’est le cas, entre autres, des intoxications par le phosphore blanc de certains raticides, le tétrachlorure de carbone, les toxines de l'amanite phalloïde. De nombreux médicaments sont également susceptibles d'entraîner une hépatite dont la symptomatologie est tout à fait comparable à celle des hépatites virales. L' […] Lire la suite
GAZ RARES ou GAZ NOBLES
Dans le chapitre " Le radon en France : émission et surveillance" : … Le radon est aujourd'hui considéré comme la principale source d'exposition radiologique naturelle pour l'homme. C'est un gaz inerte issu de la désintégration radioactive du radium. On le trouve plus particulièrement dans les régions à sous-sol cristallin (granite, pegmatite) où l'uranium, le thorium et le radium sont présents en relativement fortes teneurs. Son taux d'exhalation à l'interface sol […] Lire la suite
JAPON (Le territoire et les hommes) Histoire
Dans le chapitre "Le miracle économique" : … Le taux de croissance, remarquable, de 11 % par an en moyenne que le Japon connaît dans les années 1960 et au début des années 1970 permet de doubler le revenu moyen de la population en moins de dix ans. Le Japon est désormais considéré comme un « miracle économique », conjuguant haute productivité et taux d'épargne élevé. La croissance est soutenue par les directives du MITI, qui oriente, dans l […] Lire la suite
MAGNAN JACQUES JOSEPH VALENTIN (1835-1916)
Psychiatre français. Après des études de médecine à Montpellier et à Lyon, Magnan vient à Paris, où il est reçu au concours de l'internat des hôpitaux. Il y apprend la psychiatrie dans les services de Marce, Lucas, J.-P. Falret et Baillarger. Nommé « médecin interne » du tout nouveau service d'admission de l'hôpital Sainte-Anne, en 1867, il en devient le seul médecin en chef en 1879. Présenté en 1 […] Lire la suite
MARÉES VERTES
Depuis les années 1970, un nombre croissant de plages et de vasières de la côte bretonne sont envahies, du printemps à l'automne, par une prolifération de macro-algues vertes (ulves libres et entéromorphes fixées). Cette conséquence typique (phénomène dit d'eutrophisation) d'un enrichissement excessif des eaux côtières en substances nutritives, surtout azotées, nuit au tourisme et à la conchylicu […] Lire la suite
MERCURE, élément chimique
Dans le chapitre "Usages et toxicité" : … Le mercure, en raison de ses propriétés physiques remarquables (état liquide, conductibilité électrique élevée, masse volumique élevée, tension de vapeur faible, etc.), a été très largement utilisé dans les baromètres, thermomètres, manomètres, pompes à diffusion de vapeur de mercure pour vides très poussés, jauges de McLeod, commutateurs électriques... La surtension importante du dihydrogène sur […] Lire la suite
MERCURE, toxicologie
Certaines industries modernes mais aussi des processus biologiques aboutissent à une concentration dangereuse des composés mercuriels dans l'organisme humain. Le mercure est largement utilisé dans l'industrie, les produits chimiques, les peintures, divers objets, des pesticides et des fongicides, etc. Indépendamment du fait que de nombreux biens de consommation renferment des quantités dangereuses […] Lire la suite
MINAMATA MALADIE DE
Intoxication au mercure observée, dès 1956, dans la ville de Minamata (petit port japonais de la côte ouest de l'île de Kyūshū), d'abord chez les chats, puis chez les pêcheurs et leur famille qui ont consommé du poisson ou des coquillages. Cette intoxication — qui , au début du xxi e siècle, selon les statistiques gouvernementales, avait fait 2 265 victimes officielles dont 1 784 étaient mortes — […] Lire la suite
MORPHINE
Dans le chapitre "Toxicité" : … L' intoxication aiguë entraîne, à forte dose, le coma, la suspension plus ou moins prolongée de la respiration (apnée), la mort par arrêt respiratoire. Les enfants et les vieillards sont très sensibles à son action. Il faut noter par ailleurs que la morphine potentialise l'action des convulsivants notamment la strychnine, le pentétrazole, le nicéthamide, la caféine, la cocaïne, etc. L'intoxicatio […] Lire la suite
MUSCARINE
Alcaloïde, de formule brute C 9 H 21 O 2 N, que l'on trouve dans divers champignons supérieurs comme l'amanite tue-mouches ( Amanita muscaria ), l'amanite panthère ( Amanita pantherina ) et les inocybes. Ces champignons poussent dans les régions tempérées et sont responsables chaque année de nombreuses intoxications. S'ils ne sont pas mortels, ils sont très dangereux car ils provoquent des troub […] Lire la suite
OPIUM
Drogue narcotique, traditionnellement classée parmi les stupéfiants ( euphorica de Lewin, psychodysleptiques de Delay et Deniker), extraite du pavot ( Papaver somniferum ). Le fruit de cette plante est une capsule ovoïde qui exsude, après incision, un latex blanc et riche en alcaloïdes. Le latex, recueilli à l'aide d'un racloir, est séché et bruni au soleil. Sous cette forme, il est commercialisé […] Lire la suite
OS
Dans le chapitre "Intoxications" : … Quelques substances chimiques sont toxiques pour le squelette. L'affection la plus connue est la fluorose qui donne une importante ostéocondensation associée à une coloration anormale de l'émail des dents. Parfois reconnue à l'occasion de douleurs osseuses ou de fractures, la fluorose osseuse est souvent bien tolérée. Elle est transmise par l'eau de boisson, dans certaines aires géographiques (In […] Lire la suite
PLOMB, toxicologie
Encore appelée saturnisme, l'intoxication au plomb résulte de l'accumulation de ce dernier dans les tissus humains, à la suite de l'exposition répétée aux objets ou aux aliments contenant ce métal. À la maison, il s'agit des peintures recelant du plomb et de l'eau de boisson ayant séjourné dans des canalisations en plomb. Les enfants sont plus exposés à l'intoxication par des peintures car ils peu […] Lire la suite
POLICE SCIENTIFIQUE
Dans le chapitre "L'expertise toxicologique" : … L'expertise toxicologique consiste à rechercher des traces de produits, stupéfiants ou autres, responsables de l'intoxication présumée d'une victime. Les tests immunochimiques de dépistage des toxiques reposent sur la grande spécificité entre antigènes et anticorps. Hautement sensibles, ils permettent d'effectuer des dosages de toxiques à très faible concentration dans le sang, les urines, etc., s […] Lire la suite
POLLUTION
Dans le chapitre "Circulation des polluants dans les réseaux trophiques" : … En réalité, tous les êtres vivants présentent, certes à des degrés divers, cette propriété de pouvoir bioconcentrer dans leur organisme toute substance peu ou pas biodégradable, tant minérale (mercure par exemple) qu'organique. De ce fait, il apparaîtra des phénomènes d'amplification biologique des polluants dans tout écosystème contaminé. En effet, les organismes qui ont ainsi concentré telle ou […] Lire la suite
REACH (Registration, Evaluation and Authorization of Chemicals)
Dans le chapitre "Catastrophes industrielles" : … L 'industrie chimique a un lourd passif de catastrophes dont plusieurs ont marqué les esprits. À Minamata (Japon), une unité de production d'acétaldéhyde (ou éthanal) CH 3 CHO de la société Shin Nippon Chisso utilisait du sulfate de mercure comme catalyseur. Rejeté dans la mer de 1932 à 1968, le mercure, sous la forme de chlorure de méthylmercure CH 3 HgCl toxique, contamina la chaîne alimentaire. […] Lire la suite
RÉCIFS CORALLIENS
Dans le chapitre "Conséquences pour l'homme des pressions sur les récifs coralliens" : … Naturelles ou anthropiques, les pressions exercées sur les récifs coralliens, entraînant leur destruction partielle ou totale, ont des conséquences pour l'homme, notamment en termes d'économie et de santé publique. Les catastrophes de blanchissement entraînent une chute des revenus de la pêche vivrière pour les populations locales ainsi qu'une baisse de la fréquentation touristique. Il est à noter […] Lire la suite
SARIN
Dans le chapitre "La toxicité du sarin" : … Le sarin passe dans le corps par respiration ou au travers de la peau. La dose létale chez l'adulte est de l'ordre de 500 microgrammes. Sa toxicité est due à la fixation du phosphate réactif sur un groupement hydroxyle (–OH) du site actif d'enzymes, en particulier de l'acétylcholinestérase, l'enzyme qui au sein du système nerveux détruit le transmetteur acétylcholine. Les effets du sarin sont a […] Lire la suite
SATURNISME
Intoxication par le plomb faisant toujours suite à une exposition prolongée, professionnelle (peintres, zingueurs, imprimeurs de l'ancien temps) ou non (adduction d'eau pauvre en carbonates par tuyaux de plomb, écaillage de vieilles peintures au plomb, habitat en zone industrielle polluée, alimentation). Dans l'intoxication chronique, la seule rencontrée actuellement, on peut noter, isolés ou ass […] Lire la suite
TOXICOLOGIE
Dans le chapitre "Voies de pénétration des poisons" : … La pénétration des poisons dans les organismes vivants peut se faire selon différentes modalités. Chez l'homme et les Mammifères supérieurs, à côté de la voie orale (dite souvent digestive), les poisons peuvent emprunter la voie respiratoire et la voie cutanée. La voie respiratoire est à considérer non seulement dans le cas des poisons gazeux, mais encore dans celui des substances liquides et même […] Lire la suite
TRANSPORTS Transports et risques
Dans le chapitre "Les marchandises transportées" : … Elles introduisent un aléa soit par elles-mêmes, pour les marchandises classées dangereuses, soit par le fait qu'elles peuvent être défectueuses ou mal arrimées. Dans cette dernière catégorie, on peut relever l'aggravation de nombreux accidents de poids lourds rapidement chargés sans vérification. Pour les marchandises dangereuses, l'attention des transporteurs, nécessairement spécialisés, et des […] Lire la suite
TRICHINOSE
Affection résultant de l'infestation par le petit ver rond Trichinella spiralis . L'homme contracte habituellement la trichinose en consommant de la viande (de porc ou de cheval) insuffisamment cuite et contenant des larves encapsulées du parasite. Dans l'estomac et l'intestin grêle, la membrane capsulaire est digérée et les larves libérées envahissent le revêtement muqueux de l'intestin grêle, d […] Lire la suite
TUNNEL DU MONT-BLANC CATASTROPHE DU
Le 24 mars 1999, à la suite d'une fuite de carburant et de l'échauffement du moteur, la cabine d'un semi-remorque frigorifique s'enflamme alors que le véhicule est au milieu du tunnel du Mont-Blanc (d'une longueur de 11,6 km). Vingt-six véhicules sont détruits dans cet incendie qui fait trente-neuf victimes dont trente-sept par asphyxie . Cette catastrophe est tout à fait unique dans l'histoire d […] Lire la suite