« NEUME, musique »
NEUME, musique
Terme de musique en usage au Moyen Âge (viiie-xiie s.) ; le neume est un signe graphique (du grec neuma, signe) que l'on plaçait au-dessus des syllabes à chanter, dans les livres d'église (antiphonaires, matutinaires, vespéraux). La notation neum […] Lire la suite
Les médias de la recherche « NEUME, musique » :
ESPAGNE (Arts et culture) La musique
Dans le chapitre "Rite et chant hispaniques" : … Le terme mozarabe est primitivement appliqué aux chrétiens « sujets des Maures » ( musta'rab ). Après le débarquement de Tāriq ibn Ziyād à Tarifa, en 711, les lois musulmanes tolérèrent certains rites chrétiens, surtout en Aragon, en León et en Castille. L'habitude fut prise de parler du rite et du chant mozarabes. Cependant, on a abandonné ce terme pour lui préférer celui, plus juste, d'hispaniq […] Lire la suite
NOTATION MUSICALE
Dans le chapitre "Les neumes" : … Les neumes constituent une sorte de sténographie musicale dérivée de la chironomie : la virga (virgule) indique que le son monte, le punctum (point) que le son descend. Pour compléter ces deux signes, dont on devine les limites (intervalles et rythme ne sont pas précisés...), la ligature va permettre d'associer plusieurs neumes simples en un neume composé ( clivis , pes ou podatus , torculus , p […] Lire la suite
RELIGIEUSE CHRÉTIENNE MUSIQUE
Dans le chapitre "Le chant byzantin" : … Orientale, elle aussi, la musique byzantine puise aux sources hébraïques et syriennes, et non aux sources grecques antiques et romaines, pour vivre sa mystique. Dans son traité intitulé De la hiérarchie céleste , Denys l'Aréopagite ne soutient-il pas que la musique sacrée « n'est autre qu'une révélation » ? Non seulement le rite et la musique témoignent, ici, d'une rare cohérence, mais la musique […] Lire la suite
SOLFÈGE
Dans le chapitre "La solmisation en Occident" : … On ne sait pas grand-chose de la solmisation en Occident durant le haut Moyen Âge. Toutefois, la coexistence, à la fin du ix e siècle, de deux modes de notation semble indiquer que ceux-ci s'adressaient à des catégories différentes d'usagers. Les chantres (qui n'avaient que faire de solfier des chants connus par eux de longue date et acquis par tradition orale) cherchaient, en effet, plutôt à pal […] Lire la suite