« Digestion »
-
Préciser avec l'index
-
-
Filtrer les résultats par type
-
-
DIGESTION
- Écrit par Jean-Jacques BERNIER, Universalis
- 7 148 mots
- 5 médias
Dans le cas extrême, la digestion durerait au total 20 heures pour deux repas par jour. Lire la suite
-
CANNON WALTER BRADFORD (1871-1945)
- Écrit par Jacqueline BROSSOLLET
- 490 mots
Ses travaux sur les mouvements de l'estomac et de l'intestin ont été publiés dans de nombreux articles ainsi que dans The Mechanical Factors of Digestion (1911) et dans Digestion and Health (1936). Durant la Première Guerre mondiale, il étudie les effets du choc hémorragique sur les glandes endocrines et publie Traumatic Shock (1923) et, enfin, Autonomic Neuro-Effector System (1937). Lire la suite
-
RÉAUMUR RENÉ ANTOINE FERCHAULT DE (1683-1757)
- Écrit par Jacqueline BROSSOLLET
- 598 mots
Il montre, en 1752, l'action prépondérante du suc gastrique dans la digestion, ruinant les théories des iatromécaniciens échafaudées à la fin du siècle précédent. « La digestion, dit-il dans son Second Mémoire sur la digestion (1752), est opérée par la seule action d'un dissolvant et par la fermentation qu'il fait naître. » Il réussit le premier à isoler le suc gastrique et à entreprendre des expériences de digestion in vitro. Lire la suite
-
LYSOSOMES
- Écrit par Christian de DUVE
- 2 048 mots
- 1 média
L'hétérophagie sert à la capture et à la digestion des aliments exogènes, l'autophagie à l'utilisation contrôlée des constituants cellulaires propres en cas de pénurie alimentaire. Cette fonction a perdu de l'importance chez les animaux supérieurs, où elle n'intervient que pour quelques nutriments particuliers, tel le cholestérol. En revanche, la digestion lysosomiale y est adaptée à de multiples fonctions spécialisées. Lire la suite
-
CYNODONTES
- Écrit par Universalis
- 294 mots
- 1 média
En particulier, il possède un palais secondaire qui permet à l'animal de respirer et de mâcher de la nourriture simultanément, comme chez les Mammifères, ce qui rend la digestion plus rapide (la plupart des reptiles ne mâchent pas leur nourriture mais l'avalent en grands morceaux, ce qui ralentit la digestion). Ainsi, les cynodontes avaient probablement un taux métabolique et des besoins alimentaires élevés, similaires à ceux des Mammifères. Lire la suite
-
SPALLANZANI LAZZARO (1729-1799)
- Écrit par Jacqueline BROSSOLLET
- 603 mots
Prélevant du suc gastrique, il en étudie l'action sur divers aliments et montre que la digestion est un phénomène chimique et que, si les mouvements de la paroi de l'estomac contribuent à faciliter l'action du suc, ils ne sont pas indispensables à la digestion elle-même. En outre, il souligne l'influence de la température sur la digestion en gardant sous ses aisselles, durant trois jours, des fioles contenant de la viande et du suc gastrique (1780). Lire la suite
-
LAPIN
- Écrit par Marie-Claude BOMSEL
- 907 mots
- 1 média
Ces aliments, peu digestes, demandent pour être entièrement assimilés plus d'un cycle de digestion. Ainsi, les lapins, comme tous les lagomorphes, pratiquent la cæcotrophie : après une première digestion, ils excrètent, à la fin de la nuit, de petites billes rondes et molles, les cæcotrophes, qu'ils réingèrent, ce qui permet à ces animaux de récupérer les protéines et les vitamines qu'ils n'ont pu assimiler lors du premier cycle de digestion. Lire la suite
-
ENDOCYTOSE
- Écrit par Armand TIBI
- 423 mots
Au cours de la digestion, c'est de cette façon que les gouttelettes lipidiques franchissent d'abord l'épithélium intestinal, grâce aux vésicules de pinocytose qui se créent à la base des microvillosités, puis l'épithélium des capillaires lymphatiques, et sont finalement déversées dans la lymphe circulante. Lire la suite
-
ÉPICES
- Écrit par Pierre LIEUTAGHI
- 990 mots
- 1 média
Son influence heureuse sur la digestion des graisses et des sucres est reconnue, mais son abus est pernicieux. C'est encore un aphrodisiaque apprécié en certaines contrées. Lire la suite
-
HESS WALTER RUDOLF (1881-1973)
- Écrit par Samya OTHMAN
- 186 mots
L'activité scientifique de Hess porte sur l'identification, chez des chats, des structures cérébrales responsables de fonctions végétatives de l'organisme (respiration, digestion...) et découvre grâce à des enregistrements électrophysiologiques que ces fonctions sont coordonnées à des réactions somatomotrices (sécrétions salivaires, miaulements, postures spécifiques. Lire la suite