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  • PARKER CHARLIE (repères chronologiques)

    • Écrit par Pierre BRETON
    • 994 mots

    8 mai 1947 Charlie Parker (saxophone alto), Miles Davis (trompette), Bud Powell (piano), Tommy Potter (contrebasse) et Max Roach (batterie) enregistrent à New York Donna Lee, pour le label Savoy. 28 octobre 1947 Le Charlie Parker Quintet – Charlie Parker (saxophone alto), Miles Davis (trompette), Duke Jordan (piano), Tommy Potter (contrebasse) et Max Roach (batterie) – enregistre à New York Embraceable you, pour le label Dial 4 novembre 1947 Le Charlie Parker Quintet – Charlie Parker (saxophone alto), Miles Davis (trompette), Duke Jordan (piano), Tommy Potter (contrebasse) et Max Roach (batterie) – enregistre à New York Klactoveesedstene, pour le label Dial. Lire la suite 

  • VEE JAY RECORDS

    • Écrit par Charlie GILLETT, Universalis
    • 292 mots

     Bracken (« Jay ») fondent en 1953 le label discographique Vee Jay Records (la firme utilisera également les graphies VJ ou Vee-Jay). Avec l'aide de Calvin Carter, frère de Vivian, pour la production, et d'Ewart Abner, en charge de la promotion, Vee Jay devient le label dirigé par des Noirs le plus prospère de l'époque. Jimmy Reed gravera en effet pour Vee Jay plus de disques de blues que le label Chess Records en produira. Lire la suite 

  • DUKE AND PEACOCK RECORDS

    • Écrit par Charlie GILLETT, Universalis
    • 264 mots

    Un an plus tard, Don Robey rachète la totalité de Duke Records et centralise à Houston les activités du nouveau label, Duke and Peacock Records. Le label se concentre sur le gospel – avec notamment les groupes The Mighty Clouds Of Joy, The Five Blind Boys Of Mississippi, The Sensational Nightingales, The Pilgrim Jubilee Singers, The Loving Sisters – et le blues mâtiné de gospel, avec en particulier Bobby « Blue » Bland et Junior Parker, sur des arrangements de Joe Scott et Bill Harvey, respectivement. Lire la suite 

  • SUGAR HILL RECORDS

    • Écrit par Charlie GILLETT, Universalis
    • 325 mots

    Le label Sugar Hill Records disparaîtra en 1986 ; Rhino Records rachètera en 1995 tous ses masters, publiés et non publiés. Lire la suite 

  • DEF JAM RECORDS

    • Écrit par Charlie GILLETT, Universalis
    • 207 mots

    En 1984, ils abandonnent leurs fonctions de manager pour fonder leur propre label, Def Jam, et signent rapidement un contrat de distribution avec la firme Columbia Records. Le jeune label connaît son premier succès avec LL Cool J, rappeur langoureux dont le style convient parfaitement à la vision conservatrice que les radios afro-américaines ont de leur image et de leur audience. Lire la suite 

  • PROFILE RECORDS

    • Écrit par Charlie GILLETT, Universalis
    • 227 mots

    Produit par le label Profile, le titre passe sur les ondes de nombreuses radios américaines et devient le premier tube de rap à se hisser dans les cinq premières places du classement pop aux États-Unis. Le clip de ce titre, réalisé par MTV et Run-DMC, devient un véritable phénomène. Grâce aux bénéfices des ventes de l'album, à plusieurs millions d'exemplaires, le propriétaire de Profile Records, Cory Robbins, rembourse l'argent que lui avait prêté sa famille pour financer la création de son label et installe sa société dans des bureaux plus spacieux (sur Broadway, dans le quartier new-yorkais d'East Village). Lire la suite 

  • CASABLANCA RECORDS

    • Écrit par Peter SILVERTON, Universalis
    • 294 mots

    Depuis ses bureaux de Sunset Boulevard, réplique du Rick's Café dans le célèbre film de Michael Curtiz, Casablanca, dont le label tire son nom, Neil Bogart (de son vrai nom Bogatz) gère la société. Fils d'un employé des postes de Brooklyn, il se forge sa propre identité en fréquentant la School of the Performing Arts de New York. Il interprète ensuite quelques tubes locaux sous le nom de Neil Scott, avant de devenir responsable de la promotion pour un label discographique. Lire la suite 

  • STAX RECORDS

    • Écrit par Charlie GILLETT, Universalis
    • 563 mots

    Le label discographique Stax Records est fondé en 1960 à Memphis (Tennessee), par Estelle Axton et son frère, Jim Stewart, violoniste et musicien de country ; il succède à un label qui avait été créé en 1957 à Memphis sous le nom de Satellite Records. Pendant les premières années, il y règne une atmosphère de travail chaleureuse et familiale. Au 926 East McLemore, dans un ancien cinéma réaménagé en studio, musiciens et chanteurs noirs et blancs travaillent ensemble dans une ambiance détendue : personne ne surveille la pendule ni ne se préoccupe du salaire minimum légal. Lire la suite 

  • U-ROY (1942-2021)

    • Écrit par Patrick LABESSE
    • 761 mots

    Il se produit dans plusieurs sound systems renommés, travaillant notamment avec Clement « Coxsone » Dodd (créateur du label Studio One en 1962), puis King Tubby, l’inventeur du dub. Il collabore par la suite avec Lee Perry, Peter Tosh, Bunny Lee et Lloyd Daley. En 1970, alors qu’il a rejoint le producteur Duke Reid (créateur du label Treasure), sa renommée grandit. Lire la suite 

  • MUSÉES DE FRANCE STATUT DES

    • Écrit par Marie CORNU
    • 2 654 mots

    Le label est en principe consenti aux musées contrôlés, mais ceux-ci, contrairement aux deux premiers, peuvent manifester dans un délai d'un an à compter de la publication de la loi leur refus d'endosser le label. Pour tous les autres musées, il appartient à chacun d'en faire la demande, sans que l'État puisse le leur imposer. Le label n'est cependant pas automatiquement accordé. Lire la suite