« application »
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AFFINE APPLICATION
- Écrit par Jacques MEYER
- 261 mots
On dit qu'une application u de A dans B est une application linéaire affine (ou application affine) si, quelle que soit la famille finie d'éléments (Mi, λi), pour 1 ≤ i ≤ k, où k est quelconque, de A × K, possédant un barycentre G, u(G) est le barycentre des éléments (u(Mi), λi) de B × K. On démontre les résultats suivants : 1. Il existe une application linéaire f et une seule de E dans F telle que, pour tout M et tout N dans A et pour M′ = u(M) et N′ = u(N) : où f s'appelle l'application linéaire associée à u. Lire la suite
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INTERNET Les applications
- Écrit par Danièle DROMARD, Dominique SERET
- 5 030 mots
Une application est un programme plus ou moins complexe, installé sur l'ordinateur d'un utilisateur, en vue d'obtenir une palette de services locaux ou à travers un réseau. Une des applications les plus connues développées sur Internet est le WWW (World Wide Web, ou simplement Web), une application conviviale de consultation à distance de pages multimédias. Lire la suite
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PROJECTIVES APPLICATIONS
- Écrit par Jacques MEYER
- 362 mots
On peut donc déduire de f une application g de P(E) — P(N) dans P(F) par passage au quotient. L'application g est dite application linéaire projective ou encore, par abus de langage, application projective de P(E) dans P(F). Notons que f et λf, où λ est un scalaire non nul, donnent la même application déduite. Réciproquement, si l'on se donne une variété linéaire projective P(N) et une application projective g de P(E)—P(N) dans P(F), toutes les applications linéaires dont g est déduite s'obtiennent à partir de l'une d'entre elles par multiplication par un scalaire non nul. Lire la suite
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ÉLECTRICITÉ Lois et applications
- Écrit par Jean-Marie DONNINI, Lucien QUARANTA
- 4 773 mots
- 8 médias
On réalise ainsi des « circuits magnétiques » où des spires de courant (courant excitateur) créent le champ qui agit sur le matériau dont la forme a été conçue en fonction de l'application envisagée (électroaimants, machines électriques, transformateurs...). La force magnétique est à la base du fonctionnement des moteurs : les conducteurs de la partie mobile (le rotor) parcourus par des courants sont soumis à un champ magnétique, les forces de Laplace produisent le couple de rotation. Lire la suite
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GÉNOMIQUE Théorie et applications
- Écrit par Louis-Marie HOUDEBINE
- 4 042 mots
Avec la fin du xxe siècle, le génie génétique est entré dans sa maturité. Les techniques de base, définies dans le courant des années 1960, se sont perfectionnées, simplifiées et en partie automatisées. Les plus importantes sont : le clonage de gènes, l'amplification de gènes (PCR, pour Polymerase Chain Reaction), la détermination de la séquence des bases (nucléotides) des gènes, la synthèse chimique des fragments de gène ou de gènes entiers, la mutation des gènes isolés, la construction de gènes fonctionnels et le transfert de gènes dans des cellules, ou des organismes entiers, pour observer les effets produits ou pour exploiter les organismes modifiés de la sorte. Lire la suite
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NUCLÉAIRE Applications civiles
- Écrit par Pierre BACHER
- 6 724 mots
- 9 médias
Cette chaleur peut être produite par un réacteur construit spécifiquement pour cette application, ou être récupérée lors de la production d'électricité (principe de la cogénération). Compte tenu de la lourdeur des investissements, le chauffage urbain a rarement été développé : uniquement dans des régions où le nombre de jours de chauffage est important et/ou lorsque le prix des combustibles fossiles était prohibitif. Lire la suite
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NUCLÉAIRE Applications militaires
- Écrit par Paul BOUÉ, Thierry MASSARD, François OLIVE
- 8 644 mots
- 5 médias
L'application militaire de l'énergie atomique a été envisagée dès la découverte de la fission, comme le montre la demande de brevet déposée le 4 mai 1939 par le physicien français Frédéric Joliot-Curie et son équipe sur l'explosif nucléaire (« Perfectionnements aux charges explosives », décrivant le principe de la bombe atomique). Elle est devenue ensuite un enjeu stratégique au cours de la Seconde Guerre mondiale. Lire la suite
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DÉRIVÉES PARTIELLES (ÉQUATIONS AUX) Sources et applications
- Écrit par Martin ZERNER
- 6 220 mots
- 1 média
Malheureusement, elle est d'un caractère tellement abstrait et détourné qu'on n'a encore guère vu d'application à un cas particulier non classique. Lire la suite
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SINGULARITÉS DES FONCTIONS DIFFÉRENTIABLES, la théorie mathématique et ses applications
- Écrit par Alain CHENCINER
- 9 832 mots
- 19 médias
L'espace vectoriel topologique C∞(N, R) est métrique complet (espace de Fréchet) ; le rôle de l'espace tangent en l'identité à G est tenu par Γ(N) × Γ(R) (en désignant par Γ(V) l'ensemble des champs de vecteurs C∞ sur V) ; l'application α est ici α((ϕ, ψ), f ) = ψ ∘ f ∘ ϕ−1 et la dérivée en e = (Identité, Identité) de A est l'application DA(e) : Γ(N) × Γ(R) → C∞(N, R) définie, après identification du fibré tangent TR à R × R, par : Si N = Rn, on peut identifier ξ à une application (ξ1, . Lire la suite
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FONCTION, mathématiques
- Écrit par Jean-Marie PRUVOST-BEAURAIN
- 1 227 mots
Cette situation se traduit mathématiquement par le fait que l'application est une bijection. Une bijection (ou application bijective) de E dans F est une application de E dans F qui est à la fois injective et surjective. L'application identique de E dans E est l'unique bijection, souvent notée IdE, de E dans E telle que, pour tout x appartenant à E, IdE (x) = x ; le graphe de IdE est l'ensemble des couples (x, x) avec x ∈ E et est appelé la diagonale de E×E. Lire la suite