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« antonioni »

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  • ANTONIONI MICHELANGELO (1912-2007)

    • Écrit par Paul Louis THIRARD
    • 2 262 mots
    • 2 médias

    Au même titre que l'œuvre de Bergman ou de Resnais, celle de Michelangelo Antonioni est marquée par un tel cheminement intellectuel. Les premiers films Né en 1912 à Ferrare, Antonioni entre dans la profession en 1942 comme assistant de Marcel Carné pour Les Visiteurs du soir ; jusqu'à 1950, il collabore à quelques scénarios et réalise des courts-métrages qui ne sont pas indifférents. Lire la suite 

  • PAR-DELÀ LES NUAGES (M. Antonioni)

    • Écrit par Jean A. GILI
    • 1 398 mots

    Wim Wenders, en choisissant de travailler avec Antonioni et en apportant ainsi la garantie de bonne fin du tournage, débloqua définitivement la situation et permit au film de se faire. Sur le plateau, le cinéaste allemand accepta même de glisser de la fonction de coauteur à celle d'assistant ; il se borna à mettre en scène le prologue et l'épilogue, et renonça à trois des quatre sketches de liaison (tournés avec Jeanne Moreau et Marcello Mastroianni, le couple de La Notte) pour laisser à Antonioni la paternité presque exclusive de l'œuvre. Lire la suite 

  • L'AVVENTURA (M. Antonioni), en bref

    • Écrit par Joël MAGNY
    • 315 mots
    • 1 média

    Toujours guidé par la présence incertaine de Monica Vitti, Antonioni poursuivra son exploration de ce « monde sans qualités » dans La Nuit (1960), L'Éclipse (1962) et Le Désert rouge (1964). Lire la suite 

  • L'AVVENTURA, film de Michelangelo Antonioni

    • Écrit par Jacques AUMONT
    • 982 mots

    Malgré l'injustice d'une telle formule, on pourrait dire que L'Avventura est le véritable premier film d'Antonioni, en tout cas celui dont le style et le ton nous semblent toujours le mieux « coller » à l'image de ce cinéaste à l'élégance aristocratique. La production pourtant en fut laborieuse. Après l'échec du Cri (Il Grido, 1957) devant la presse et le public italiens, le cinéaste était démoralisé. Lire la suite 

  • VITTI MONICA (1931-2022)

    • Écrit par Joël MAGNY, Universalis
    • 1 136 mots
    • 1 média

    Pour elle, Antonioni monte quasiment une troupe et la dirige dans Scandali segreti (« Scandales secrets »), au Teatro Eliseo, mais la pièce est mal accueillie et Antonioni reconnaît que le théâtre l'ennuie. L'Avventura (1960) marque le début d'une de ces grandes associations, dans la vie comme au cinéma, entre un metteur en scène et une interprète, où il est difficile de déterminer ce que chacun doit à l'autre. Lire la suite 

  • RABAL FRANCISCO (1926-2001)

    • Écrit par Universalis
    • 133 mots

    Il tourne avec lui dans Nazarin (1958), puis dans Viridiana (1961) et Belle de jour (1967), ainsi qu'avec des metteurs en scène aussi différents qu'Antonioni (L'Éclipse, 1962), Rivette (La Religieuse, 1966), Rocha (Têtes coupées, 1970). Après la chute du franquisme, Rabal, qui avait toujours été un fervent opposant au régime, tourne davantage en Espagne, notamment dans Los Zancos de Carlos Saura (1984), Attache-moi de Pedro Almodóvar (1989) ou encore Goya de Carlos Saura (1999). Lire la suite 

  • HEMMINGS DAVID (1942-2003)

    • Écrit par Universalis
    • 148 mots

    Après des études de chant, qui le mèneront en 1954 à créer le rôle de Miles dans le Tour d'écrou de Benjamin Britten, puis de peinture, David Hemmings entame une carrière d'acteur qui culmine avec son interprétation du photographe dans le film Blow-up (1966) de Michelangelo Antonioni. Il tourne ensuite Barbarella (1968) de Roger Vadim et La Charge de la brigade légère (1968) de Tony Richardson. Lire la suite 

  • BOSÈ LUCIA (1931-2020)

    • Écrit par René MARX
    • 623 mots
    • 1 média

    Le débutant Michelangelo Antonioni l’appelle, pour Chronique d’un amour (1950), où elle incarne une grande bourgeoise milanaise, puis pour La Dame sans camélia (1953), où elle campe une vendeuse devenue actrice… Pour le premier de ces deux films, Antonioni avait espéré une autre actrice à la beauté parfaite, Gene Tierney, mais inaccessible à un cinéaste inconnu. Lire la suite 

  • GIROTTI MASSIMO (1918-2003)

    • Écrit par Universalis
    • 162 mots

    Après guerre, il mène de front une carrière au théâtre, interprétant des pièces d'Euripide, de Strindberg, de Tchekhov, notamment dans des mises en scène de Visconti, et au cinéma dans des rôles très divers (Au nom de la loi, 1949, de Pietro Germi ; Chronique d'un amour, 1950, d'Antonioni). Des réalisateurs français tels que Yves Allégret, Jean Grémillon ou Jean Delannoy le font travailler. Lire la suite 

  • CANNES FESTIVAL DE

    • Écrit par Philippe d' HUGUES
    • 2 134 mots
    • 7 médias

    Ensuite, on retrouve les habituels flottements ; ce sont des choix aberrants comme l'obscur Brésilien Anselmo Duarte, l'année (1962) où concourent Antonioni (L'Éclipse) et Bresson (Le Procès de Jeanne d'Arc), ou des consécrations sans risque et très tardives, comme pour Antonioni (Blow Up) et Losey (Accident, grand prix spécial du jury), en 1967. Enfin, après l'édition avortée en 1968 pour cause de révolution au palais, les films politiques ou contestataires vont se multiplier, d'If de Lindsay Anderson (palme d'or 1969) et M. Lire la suite