« angiosperme »
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ANGIOSPERMES
- Écrit par Sophie NADOT, Hervé SAUQUET
- 6 132 mots
- 8 médias
Le parasite peut être l’Angiosperme elle-même, qui exploite les ressources d’une autre plante (comme l’exemple bien connu du gui ou celui des figuiers étrangleurs) ou d’un champignon. Dans ce dernier cas, la plante, dite mycohétérotrophe, obtient tout ou partie de ses nutriments, dont le carbone, grâce au champignon plutôt que par la photosynthèse ; les orobanches (plantes dépourvues de chlorophylle) en sont un exemple. Lire la suite
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HÉTÉROSPORIE
- Écrit par Didier LAVERGNE
- 226 mots
Ici, la différenciation sexuelle précède la formation de ces cellules sporogènes puisqu'elle affecte, dans la fleur en formation, des structures encore sporophytiques, au stade diploïde (2 n chromosomes) qui deviendront respectivement l'étamine et l'ovule (nu ou intracarpellé selon que la plante est gymnosperme ou angiosperme). Lire la suite
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PODOCARPALES
- Écrit par Michel GIANORDOLI, Évelyne HODCENT
- 1 134 mots
- 2 médias
Les semences de Podocarpacées évoquent donc beaucoup plus un fruit d'Angiosperme qu'un cône de Gymnosperme. La germination des graines est épigée ; la plantule est dicotylédonée. Répartition et importance économique L'aire de répartition des Podocarpacées actuelles est très disjointe. Trois genres monospécifiques sont même des endémiques stricts : Microcachrys en Tasmanie, Acmopyle en Nouvelle-Calédonie, Saxegothaea dans le sud du Chili. Lire la suite
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CUPRESSALES
- Écrit par Michel GIANORDOLI
- 1 370 mots
- 2 médias
D'après Hagerup (1934), le cône femelle des Juniperus constitue une fleur présentant au sein des Gymnospermes une ébauche d'angiospermie : il suffirait en effet que les trois ensembles bractée-écaille se soudent dès la formation du cône pour que l'on obtienne un ovaire clos d'Angiosperme Centrospermale. Mme Lemoine-Sébastian a montré (1968) que les cônes femelles des Gymnospermes sont en réalité des inflorescences ; on ne peut donc homologuer ce cône à un ovaire. Lire la suite
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EMBRYOPHYTES ou CORMOPHYTES ou ARCHÉGONIATES
- Écrit par Jean-Yves DUBUISSON, Sabine HENNEQUIN
- 3 252 mots
- 7 médias
Ainsi, on observe de nombreuses régressions chez les Embryophytes aquatiques ou des milieux très humides : perte de la cuticule et régression des racines, des tissus conducteurs ou de soutien, comme on peut l’observer chez l’Angiosperme cératophylle. Les Embryophytes vivant dans les milieux à saison sèche et les semi-déserts limitent les pertes en eau via des cuticules épaisses, des stomates protégés, des poils épidermiques plus ou moins denses, voire la régression des feuilles au niveau desquelles l’évapotranspiration se fait préférentiellement. Lire la suite
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JUGLANDALES
- Écrit par Gérard AYMONIN
- 1 547 mots
- 2 médias
Le genre calédonien Canacomyrica serait la seule Angiosperme vivante dont l'ovaire est muni d'un appendice rappelant la structure des Welwitschia, des Ephedra et des Conifères. Lire la suite
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PTÉRIDOSPERMAPHYTES
- Écrit par Édouard BOUREAU
- 1 723 mots
- 4 médias
Thomas a comparé une telle fructification à un ovaire unicarpellé et uniloculaire d'Angiosperme. Les ovules sont elliptiques (1,5 mm × 1 mm), orthotropes et unitégumentés. On peut penser que l'ovule des Ptéridospermaphytes, possédant encore des frondes de Fougères, correspond à un état plus avancé que l'hétérosporie apparue chez les Ptéridophytes, réalisant ainsi une étape nouvelle de l'évolution, analogue à celle que représente le Lepidocarpon chez les Lycophytes et le Calamocarpon chez les Arthrophytes (Sphénophytes). Lire la suite
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PARASITISME
- Écrit par Claude COMBES, Louis EUZET, Georges MANGENOT
- 6 251 mots
- 4 médias
angiospermes), aucune Bryophyte, aucune Ptéridophyte (lycopodes, prêles, fougères), aucune Angiosperme monocotylédone n'est parasite. Les hôtes des parasites végétaux sont surtout des plantes vasculaires et, presque aussi nombreux, des animaux terrestres : Insectes (tous les grands groupes ; cf. insectes), Mammifères (principalement domestiques), homme. Lire la suite
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REPRODUCTION, biologie
- Écrit par Henri CAMEFORT, Jean GÉNERMONT, Philippe L'HÉRITIER, Didier LAVERGNE
- 7 204 mots
- 5 médias
L'existence de paires de chromosomes sexuels ou hétérochromosomes a été constatée chez certaines espèces dioïques ; ainsi, la formule chromosomique du Melandrium album (angiosperme) est-elle 2 A + XX pour les pieds femelles et 2 A + XY pour les pieds mâles. Lors de la ségrégation méiotique, chez cette espèce, les individus femelles produisent une seule sorte de gamétophytes et donc de gamètes de formule A + X (femelles monogamétiques), tandis que les plantes mâles engendrent deux types de gamétophytes et donc de gamètes de formules A + X et A + Y (mâles digamétiques). Lire la suite
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FLEUR
- Écrit par Louis EMBERGER, Michel FAVRE-DUCHARTRE, Georges MANGENOT, Paul ROLLIN
- 7 638 mots
- 8 médias
Valeur morphologique et phylogenèse Classiquement définie comme un axe court portant des feuilles modifiées, la fleur est dans la plupart des esprits étroitement associée à la notion d'Angiosperme. Finalement, la paléontologie, la morphologie comparée et de nombreux cas tératologiques ont montré que la fleur se retrouve chez tous les végétaux vasculaires. Lire la suite
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