« Troposphère »
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ATMOSPHÈRE Chimie
- Écrit par Marcel NICOLET
- 3 553 mots
- 5 médias
Enfin, il convient de souligner que, à la suite de cette forte absorption qui apparaît dans la stratosphère, la troposphère n'est pratiquement pas soumise à des effets de photodissociation directe et, dès lors, la chimie troposphérique dépend essentiellement de réactions secondaires qui résultent de la photodissociation de l'ozone existant dans la troposphère. Lire la suite
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OZONE ATMOSPHÉRIQUE
- Écrit par Robert KANDEL
- 8 293 mots
- 6 médias
Autour des pôles terrestres, une partie de l'acide nitrique forme des cristaux qui vont se « sédimenter » vers la troposphère. Dans les autres régions, transporté par la subsidence atmosphérique vers la troposphère, le HNO3 va se dissoudre dans les gouttelettes d'eau ou de cristaux de glace des nuages ; il sera ensuite lessivé par les précipitations. Lire la suite
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ATMOSPHÈRE La couche atmosphérique terrestre
- Écrit par Jean-Pierre CHALON
- 7 816 mots
- 7 médias
La troposphère Située à la base de l'atmosphère, la troposphère est en contact avec la surface terrestre. Elle contient plus de 80 p. 100 des gaz atmosphériques, la majeure partie de l'oxygène moléculaire indispensable à la vie, et la quasi-totalité de la vapeur d’eau. C’est dans cette couche que se développent et se produisent la plupart des phénomènes météorologiques importants comme la majeure partie des nuages, ou les orages, les précipitations intenses, la foudre, la grêle, les tornades. Lire la suite
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TEISSERENC DE BORT LÉON (1855-1913)
- Écrit par Yves GAUTIER
- 651 mots
Et surtout, toutes ces mesures ont révélé un fait inattendu : la température de l'air décroît jusqu'à une certaine altitude (la troposphère), puis se maintient jusqu'aux plus hautes altitudes atteintes par les instruments de Teisserenc de Bort. Celui-ci lui a donné à cette région de la haute atmosphère le nom de zone isotherme, puis de stratosphère. Lire la suite
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ENVIRONNEMENT GLOBAL
- Écrit par Robert KANDEL
- 8 114 mots
- 10 médias
Cette augmentation pourrait se traduire par un réchauffement inférieur à 1 0C dans la troposphère, mais le problème se complique quand on considère que, même limité à 1 0C, un réchauffement ne peut manquer d'affecter les autres processus atmosphériques. Une atmosphère plus chaude peut en effet contenir davantage de vapeur d'eau ; le fera-t-elle réellement ? Cela dépend des processus qui transfèrent l'eau évaporée des surfaces (les mers, les forêts humides) vers les couches plus ou moins élevées de la troposphère où elle se condense. Lire la suite
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SATURNE, planète
- Écrit par Bruno BÉZARD
- 7 148 mots
- 19 médias
Structure thermique Dans la troposphère – zone la plus profonde de l’atmosphère –, la température croît avec la pression et décroît donc avec l’altitude. En s’éloignant du centre de Saturne, on atteint vers les niveaux de pression de 50 à 100 hectopascals (hPa, 1 hPa = 102 Pa) – à une altitude z ≈ 100 kilomètres – un minimum de température d’environ 85 K (–188 0C) qui définit la tropopause. Lire la suite
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AÉRONOMIE
- Écrit par Gaston KOCKARTS
- 4 157 mots
- 11 médias
La troposphère qui débute au niveau du sol est caractérisée par un gradient négatif de la température, car la surface du sol est la principale source de chaleur de cette région dans laquelle ont lieu les principaux phénomènes météorologiques. La troposphère se termine à la tropopause dont l'altitude varie entre 8 et 18 km suivant la latitude, la saison et les conditions météorologiques. Lire la suite
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HUMIDITÉ
- Écrit par Jean-Pierre CHALON
- 2 233 mots
- 3 médias
Si bien que la quasi-totalité de la vapeur d’eau atmosphérique se trouve dans la troposphère, couche de brassage important située entre le sol et une altitude qui atteint de 16 à 18 kilomètres dans les régions équatoriales et ne dépasse pas de 5 à 6 kilomètres dans les régions polaires. La vapeur d’eau atmosphérique est ensuite éliminée par condensation lors de la formation de brouillards, de nuages et de précipitations qui ramènent vers la surface terrestre les molécules d’eau rassemblées sous forme de gouttes de rosée, de bruine ou de pluie, de flocons de neige, de grésil ou de grêle. Lire la suite
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MÉTHANE ET CLIMAT
- Écrit par Hervé HERBIN
- 4 692 mots
- 4 médias
La concentration moyenne globale du radical OH dans la troposphère est très faible, de l’ordre de 106 molécules/cm3, avec des fluctuations de plusieurs ordres de grandeur en fonction de la quantité de rayonnement disponible, de la concentration d’ozone et (ou) de vapeur d’eau. Bien que les mesures de concentration du radical OH soient rendues difficiles du fait de sa très courte durée de vie (de l’ordre de la seconde), on constate de plus fortes concentrations d’OH dans la troposphère tropicale le jour en été, et les plus faibles aux hautes latitudes la nuit en hiver. Lire la suite
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NUCLÉAIRE HIVER
- Écrit par Adelin VILLEVIEILLE
- 977 mots
La fraction restée dans la troposphère serait rincée, plus ou moins complètement, par les précipitations pluvio-neigeuses ; par contre, dans la stratosphère, milieu très fermé et pauvre en eau, le voile pourrait stagner pendant de nombreux mois, retardant d'autant le retour à des températures normales. Dans l'hypothèse d'un échange nucléaire sévère, aux latitudes moyennes de l'hémisphère Nord, en début d'été – saison la plus défavorable –, certains de ces calculs prédisent une chute de température, pour les zones continentales, allant de 10 à 20 0C durant plusieurs semaines. Lire la suite