« Th�� »
EAU DURETÉ DE L'
Les praticiens distinguent la dureté totale (titre hydrotimétrique, TH) et une de ses fractions : la dureté temporaire (titre alcalimétrique, TAC) qui correspond à la teneur de l'eau en ions bicarbonate (CO3—). La dureté totale est prise en considération chaque fois qu'il s'agit d'éviter des réactions nuisibles ou gênantes entre les ions Ca++ et Mg++ et les produits mis en contact avec l'eau (savons dans l'usage domestique, nombreux produits dans les processus industriels). […] Lire la suite
Les médias de la recherche « Th�� » :
BUNSEN ROBERT WILHELM (1811-1899)
Avec sir Henry Roscoe il s'intéresse aux réactions photochimiques (action du chlore sur l'hydrogène) et, avec Kirchhoff, il développe la spectroscopie et, à l'occasion, il contribue à l’invention du bec Bunsen ; ensemble ils arrivent à prédire par analyse spectrale l'existence d'éléments nouveaux (Cs, Rt, Th, In, Sc, Ge). En chimie analytique, il invente des méthodes volumétriques nouvelles, ainsi que des méthodes de séparation des métaux, comme le palladium, l'iridium et le rhodium. […] Lire la suite
ZIRCON
On l'exploite essentiellement dans des filons où il est associé à d'autres minéraux contenant des lanthanides : Nb, Ta, Th, U (pyrochlore, eschynite...). Les gisements importants se trouvent dans l'Oural, dans le sud de la Norvège, au Brésil, en Australie et à Madagascar. Les variétés transparentes et bien colorées sont employées en bijouterie. Habituellement, on extrait du zircon le ZrO2 apprécié pour sa faible conductibilité thermique ainsi que pour son coefficient de dilatation faible. […] Lire la suite
THERMODYNAMIQUE Thermodynamique chimique
On voit (Th. 3), en faisant dP = 0, qu'une intégration immédiate entre états final et initial donne :ce qui donne un sens physique à l'enthalpie H. Comme H est une fonction d'état, ΔH (donc Q) ne dépend que des états initial et final parmi l'ensemble des transformations isobares. De même (Th. 2), pour les isomètres (dV = 0), Q devient une fonction d'état : Q = ΔE (lois de Hess). […] Lire la suite
XÉNOTIME
100 de lanthanides ; l'auerlite (Th, ...) (Si, P)O4, cristallisant comme la précédente dans le système quadratique, est le produit du mélange de la thorite et du xénotime, avec également une certaine teneur en lanthanides. L'ion [SO4] peut remplacer l'ion [PO4] jusqu'à 1 p. 100 ; [Si O4] peut aussi entrer, pour une très faible proportion, dans la composition des xénotimes. […] Lire la suite
ANDERSON SHERWOOD (1876-1941)
Faulkner, Th. Wolfe, J. T. Farrell, H. Miller, E. Hemingway. Ce dernier a si nettement subi son influence à ses débuts qu'il a dû le rejeter, avec son autre parent spirituel, Gertrude Stein, dans une satire vengeresse, Torrents of Springs, 1926. À partir de 1915 environ, Anderson représente pour les jeunes écrivains le refus du puritanisme, l'éclatement de formes rigides, la réapparition d'un langage populaire qui renoue avec Mark Twain, et aussi la preuve qu'une vie comme la sienne, loin d'être un obstacle, peut fournir la matière d'une œuvre littéraire. […] Lire la suite
GONZALEZ-FOERSTER DOMINIQUE (1965- )
Avec l’installation TH.2058 (2008), Dominique Gonzalez-Foerster se projette dans le futur et transforme la grande halle des turbines de la Tate Modern de Londres en un abri de stockage pour les œuvres d’art. […] Lire la suite
EXPONENTIELLE & LOGARITHME
On désigne par Arg sh x la bijection de R sur R réciproque de sh x, par Arg ch x la bijection de ]1, ∞[ sur R+ réciproque de la restriction de ch x à R+ et enfin par Arg th x la bijection de [− 1, + 1[ sur R réciproque de th x. Ainsi : On obtient e2y − 2xey − 1 = 0, en remplaçant sh y par son expression exponentielle dans x = sh y ; d'où ey = x + x2 + 1, puisque ey > 0. […] Lire la suite
MINERAIS
C’est ainsi que les gisements de Ni, Cr et platinoïdes sont trouvés dans des roches de compositions proches de celles du manteau (péridotites, gabbros), tandis que les gisements de Li, Be, U, Th, W, Mo sont trouvés en relation avec les roches magmatiques les plus évoluées, de composition granitique ou rhyolitique. Les processus hydrothermaux Les processus hydrothermaux correspondent à des circulations de fluides chauds dans la croûte terrestre provoquées par l’intrusion de magmas ou des mouvements tectoniques. […] Lire la suite
GRIMM JAKOB (1785-1863) et WILHELM (1786-1859)
Selon la deuxième loi de Grimm, les occlusives sonores s'assourdissent (Bh devient Ph, Dh devient Th, Gh devient Kh, Guh devient Kuh) La deuxième mutation consonantique des langues germaniques commence à partir de 500 après J.-C. Il serait inexact de confondre, en raison de leur travail en commun, les personnalités et les œuvres de Jakob et de Wilhelm. […] Lire la suite
MODÈLES THÉORIE DES
La théorie d'une L-structure a est l'ensemble Th a des énoncés satisfaits dans a. Les théories de structure telles que Th a sont caractérisées par le fait qu'elles sont complètes, c'est-à-dire maximales pour l'inclusion, ou encore contenant, pour chaque énoncé ϕ, soit ϕ soit la négation ¬ϕ. Enfin, deux structures a, b sont élémentairement équivalentes (on note a ≡ b) si Th a = Th b, c'est-à-dire si, pour tout énoncé ϕ, a ⊨ ϕ équivaut à b ⊨ ϕ. […] Lire la suite
HARNACK ADOLF VON (1851-1930)
À Leipzig, il entreprend, avec Th. Zahn et O. von Gebhardt, une édition des Pères apostoliques et collabore à la Realenzyklopädie et à l'Encyclopædia Britannica. À Giessen (1879-1886), il devient le codirecteur de la Theologische Literaturzeitung et fonde, avec von Gebhardt, les Texte und Untersuchungen zur Geschichte der altchristlichen Literatur. […] Lire la suite
BRUNIQUEL GROTTE DE, Tarn-et-Garonne
Datation des structures de Bruniquel L’un des principaux objectifs de la reprise des recherches dans cette grotte était de dater l’âge des aménagements humains par la méthode radiométrique de l'uranium-thorium (U-Th). Le principe est le suivant : d’une part, les structures sont recouvertes d’un voile ou d’une croûte plus épaisse de calcite, voire de « repousses » de stalagmites qui ont localement oblitéré les constructions – l'âge de la base de cette nouvelle calcite est donc postérieur à celui des constructions ; d’autre part, la datation du sommet des stalagmites arrachées ou cassées et agencées par l'homme dans les structures donne quant à elle un âge antérieur à celui de ces aménagements (extraites de leur emplacement sous le goutte-à-goutte responsable de leur minéralisation, ces stalagmites ont cessé de croître). […] Lire la suite
ANTIGÈNES
Un deuxième groupe d'antigènes qualifiés de thymo-indépendants (TI) ne nécessite pas la coopération des lymphocytes TH pour induire la réponse humorale à ces antigènes, qui naturellement ne peuvent susciter une réponse à médiation cellulaire : effectivement, une réponse humorale peut être obtenue vis-à-vis de ces antigènes chez la souris nude ou thymectomisée à la naissance. […] Lire la suite
PICARD ÉMILE (1856-1941)
La beauté du résultat, le meilleur possible comme le montre l'exemple simple f (z) = th z, z0 = ∞, est encore rehaussée par une démonstration savante et merveilleusement habile, où le but est atteint alors qu'il semble lointain. Aucun théorème sans doute ne fut plus stimulant pour la théorie des fonctions : on chercha une démonstration plus directe ; on remplaça les points où f prend une valeur donnée par ceux où f et une fonction algébrique donnée ont une valeur commune ; on restreignit le voisinage de z0 à un angle de sommet z0 ; enfin on affina le théorème en ajoutant à l'alternative « f prend ou omet la valeur a » une évaluation de |f (z) − a|, ce qui mena le Finlandais Rolf Nevanlinna à remplacer la notion de valeur omise par celle, plus nuancée, de défaut. […] Lire la suite
KRONECKER LEOPOLD (1823-1891)
, j(th) deux à deux distincts, correspondant aux classes ti(1 ≤ i ≤ h) d'idéaux de K et qu'on appelle les invariants de ces classes. Abel avait affirmé sans démonstration que les nombres j(t) étaient solutions d'équations à coefficients entiers résolubles par radicaux. Kronecker, dans ses publications et deux lettres à Dirichlet et à Dedekind, affirme être en possession des résultats suivants : (a) Les j(ti) (1 ≤ i ≤ h) sont des entiers algébriques sur K, deux à deux conjugués sur K, et tous les corps K(j(ti)) sont égaux. […] Lire la suite
FLORE, ouvrage botanique
Camerarius, 1588) seront bientôt suivies de ce qui peut être considéré comme le premier inventaire floristique en France : Le jardin Sénonois cultivé naturellement d'environ 600 plantes diverses, qui croissent à moins d'une lieue de la Ville et Cité de Sens (Th. Mont-Sainct, 1604). En Languedoc, le Dessein de P. Richer de Belleval (1605) demeure sans suite immédiate et ce n'est qu'en 1635 que paraît, en annexe d'une étude sur les plantes du Canada, l'Enchiridium Botanicum Parisiense de J. […] Lire la suite
STOCHASTIQUES PROCESSUS ou PROCESSUS ALÉATOIRES
5), comme le montre la relation (2) qui se traduit de la manière suivante en termes de fonctions caractéristiques : Si Ψ(t)(z) est la seconde fonction caractéristique de Xt, à savoir : E étant l'espérance mathématique, et Ψ(h)(z) la seconde fonction caractéristique de l'accroissement Uh de X sur (th−1, th), alors on a :pour toute partition de (0, tk). […] Lire la suite
VITREUX ÉTAT
Dans le cas des verres de fluorures, les éléments formateurs sont le plus souvent des métaux de valence élevée, relativement lourds : trivalents tels que Al, Ga, In, Fe, Cr, ou tétravalents tels que Zr ou Th. Les cations modificateurs sont, comme toujours, très variés : alcalino-terreux, éléments des terres rares, plomb, etc. À la différence des verres précédents, le polyèdre réalisé par le fluor autour de l'élément formateur est très variable : il peut être tétraédrique ou octaédrique dans le cas de Al ou Ga, ou présenter 7 ou 8 sommets avec les formateurs les plus volumineux comme Zr ou Th. […] Lire la suite
RADIOACTIVITÉ
En plus des méthodes fondées sur les trois familles naturelles U/Pb et Th/Pb, on utilise fréquemment des « horloges » fondées sur les rapports 40K/40Ar et 87Rb/87Sr. La datation de la mort d'un être vivant repose sur la désintégration de 14C (qui conduit à 14N par activité β—). Cet élément est formé dans la haute atmosphère par les rayons cosmiques. […] Lire la suite
RADIUM
État naturel et extraction Les deux isotopes naturels les plus abondants, les radiums 226 et 228, sont présents respectivement dans les minerais d'uranium et de thorium à l'équilibre radioactif dans les proportions en poids suivantes : 226Ra/U = 3,4 × 10—7 et 228Ra/Th = 4,7 × 10—10. La quantité de radium dans la lithosphère peut être estimée à environ 3 × 107 tonnes. […] Lire la suite
GROTTES PRÉHISTORIQUES DATATION DES
Elles s'appuient sur des mesures radiométriques par spectrométrie de masse couplées sur les déséquilibres isotopiques de l'uranium/thorium (230 Th/U) et du carbone 14. C'est ainsi que des grottes de la région de Cantabrie en Espagne, comme Altamira, El Castillo ou Tito Bustillo, ont bénéficié de datations, remarquables pour leur ancienneté inattendue (de 35 600 à 40 800 ans B. […] Lire la suite
MÉTÉORITES
Par exemple, à une profondeur donnée (quelques dizaines de kilomètres) dans un objet astéroïdal de composition homogène – chondritique – et en cours de refroidissement, on peut estimer que les conditions de fermeture du système seront établies par les différents chronomètres selon la séquence temporelle suivante : 147Sm-143Nd, 207Pb-206Pb, U, Th-Pb, 87Rb-87Sr, 40K-40Ar, U, Th-He. […] Lire la suite
ASYMPTOTIQUES CALCULS
La méthode de la phase stationnaire La méthode de la phase stationnaire a été utilisée par lord Kelvin en 1887, à propos de problèmes d'hydrodynamique, pour étudier des intégrales du type :où g et h sont des fonctions très régulières dans (a, b) ; dans les applications physiques, g (x) apparaît comme l'amplitude et th(x) comme la phase du phénomène considéré. […] Lire la suite
COMPLEXES, chimie
Dans ce dernier cas, il s'agit de phénomènes d'hydrolyse intéressant notamment les métaux de degré d'oxydation élevé, ayant un fort caractère acide, tels Fe(III), Al(III), Ti(IV), Th(IV)... L'espèce Fe2H-24+ [notation identique à Fe2(OH)24+] est un exemple de ces complexes hydroxydés qui sont souvent aussi polynucléaires. Il est important de savoir que la proportion de complexes polynucléaires en solution décroît avec la dilution. […] Lire la suite
PHOSPHORE
D'autres substitutions sont possibles : PO4 par SO4, F par OH ou Cl, Ca par Sr, Na, U, Th ou par des terres rares. En climats chauds et humides, l'altération superficielle des dépôts de phosphate de calcium entraîne une transformation minéralogique conduisant surtout à des phosphates alumino-calciques ou alumineux. De tels phosphates sont largement développés en Floride, au Brésil, au Sénégal, sur l'île Christmas. […] Lire la suite
RÉSEAUX DE NEURONES
y = (1/(1 + e(—v))) ou encore y = th v. Les {xi} sont les variables (ou entrées) du neurone, les {ci} sont des paramètres ajustables (coefficients ou poids). Les réseaux de neurones formels Un neurone réalise une fonction non linéaire de ses entrées. Ces dernières peuvent être les sorties d'autres neurones : on réalise ainsi un réseau de neurones, qui n'est donc rien d'autre que la composition de fonctions non linéaires élémentaires constituées par les neurones individuels. […] Lire la suite
COORDINATION (chimie) Composés de coordination
De nos jours, certaines de ces notions ont également évolué : c'est ainsi que l'on connaît des composés de coordination où le nombre de coordination prend les valeurs 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, voire 9 à 12 : le complexe K4[Th(C2O4)4(H2O)2],2H2O du thorium (IV) avec les ions oxalate C2O42- présente un nombre de coordination de 10. Cependant, dans le cas de nombres de coordination élevés il apparaît fréquemment des structures à géométrie distordue. […] Lire la suite
IMMUNITÉ INTESTINALE
Les lymphocytes T auxiliaires (abrégés en Th) se distinguent par une variabilité phénotypique notoire et sont classés en fonction du répertoire de cytokines produites et du type de réponse dans lesquelles ils sont impliqués. Ces cellules sont classiquement « activées » par d’autres cellules du système immunitaire, à travers des interactions complexes faisant intervenir un récepteur présent à leur surface nommé TCR (acronyme de T-cell receptor). […] Lire la suite
MINÉRALOGIE
On citera : gadolinite Y2Βe2Fe [OSiO4]2, thorite Th[SiO4], fergusonite YNbO4, euxénite (niobotantalotitanate de terres rares, avec uranium). Minéralogie déterminative Il faut distinguer la description et la détermination d'une espèce minérale. Décrire revient à étudier toutes les propriétés mécaniques, physiques et chimiques, et à préciser les conditions de formation. […] Lire la suite
INITIATION
Ainsi, le cérémonial initiatique tribal correspond à une mise en scène de la liquidation du complexe d'Œdipe (Th. Reik). En même temps, les psychanalystes ont insisté sur la nature compensatoire du rituel : une chose est retirée (l'initié sera soumis à des tabous), mais une autre chose est donnée (« la scène primitive », c'est-à-dire l'union sexuelle du père et de la mère, dont la vision était interdite à l'enfant, est révélée lors de l'octroi du churinga totémique) ; mieux encore, l'initiation a pour fonction essentielle la formation du surmoi, et le caractère particulier du surmoi chez les « primitifs » par rapport aux Occidentaux tiendrait à ce que, l'initiation n'existant pas chez nous, notre surmoi se forme par l'intériorisation du père, tandis que chez les « primitifs » il restera extérieur à l'ego et collectif : les anciens se déchargent de leur hostilité sur les jeunes, leurs rivaux sexuels, et par la peur les font obéir à la tradition (G. […] Lire la suite
MÉTAUX Gisements métallifères
On connaît des placers d'or natif, de platine, de cassitérite (Sn), de chromite (Cr), de rutile (Ti) et zircon (Zr), de magnétite (Fe) et ilménite (Ti), de monazite (Ce, Th et terres rares), de diamant et de pierres précieuses. Le déplacement chimique de l'or dans les placers est discuté ; certains faits prouvent qu'il existe au moins à petite échelle. […] Lire la suite
SILICATES
Le groupe du zircon comprend, avec ce minéral quadratique ZrSiO4, la thorite ThSiO4 et l'uranothorite (Th,U)SiO4. On désigne par nésosubsilicates les silicates renfermant des tétraèdres SiO4 indépendants avec des oxygènes non liés aux siliciums : la sillimanite, l'andalousite, le disthène, formes polymorphiques de Al2SiO5, qui interviennent dans les roches métamorphiques et sont les indicateurs de la température et de la pression auxquelles elles ont été soumises ; la mullite, très voisine de la sillimanite avec un rapport Si/Al variable, constituant essentiel des céramiques ; la topaze Al2SiO4(F,OH)2, dont les variétés gemmes sont recherchées ; la staurotide (Mg,Fe)2(Al,Fe)9O6(SiO4)4(O,OH)2, minéral de métamorphisme régional mésograde ; le sphène ou titanite CaTiSiO5 ; les minéraux du groupe de la humite, de formule Mg(OH,F)2 . […] Lire la suite
INDO-EUROPÉEN
Ils ont proposé de le remplacer par un système constitué de trois séries, l'une marquée par le trait « glottalisation » (p′), t′, k′ ; une autre par le trait « sonorité », avec allophones « aspirés » ou « non aspirés » : bh/b, dh/d, gh/g ; et une troisième par le trait « non-sonorité », avec la même allophonie : ph/p, th/t, kh/k. Cette réécriture aboutit à des révisions importantes, telles que la reformulation des lois phonétiques de base ou que la « désanskritisation » du modèle indo-européen (puisque les systèmes les plus conservateurs seraient dans ce cas ceux des langues germaniques, anatoliennes et arméniennes), qui peut ainsi être rapproché du caucasique. […] Lire la suite
SENSIBILITÉ
Ainsi, à mesure que l'intensité de la stimulation croît, l'activité de chaque transducteur croît selon la fonction th et le nombre de récepteurs actifs croît selon l'intégrale de la courbe normale de probabilité. L'intervention de ce second phénomène ne modifie guère l'allure de la loi générale ; en effet, entre les deux fonctions, le coefficient de corrélation est de 0,997. […] Lire la suite
OCCITANES LANGUE ET LITTÉRATURE
Ses caractéristiques essentielles sont, en phonétique, le passage de f latin à h (fīlia > hilha, farīna > haría, fǔrnu > horn, fǒcu > huèc), la chute du -n- intervocalique (lūna > lua, farīna > harìa, vēna > vía), l'évolution particulière de la géminée -ll- (en finale, -ll > -th ou -t : běllu > bèth/bèt, castěllu > castèth/castèt ; à l'intervocalique, -ll- > -r- : bělla > bèra, gallīna > garía, ǐlla > era), le développement d'un a- prosthétique devant un r- initial fortement roulé : arrat, arrasim, arròda (occ. […] Lire la suite
SIDÉRURGIE
L'évolution de la sidérurgie dans les cent dernières années a été marquée par un accroissement considérable de la production d'acier brut : elle est passée, entre 1900 et 1993, de 35 à 725,3 millions de tonnes après un maximum de 785,1 millions de tonnes en 1989. Le niveau de la consommation annuelle d'acier par habitant dans les pays industrialisés (par exemple, en 1981 : 463 kg dans la Communauté économique européenne, 860 kg au Japon, 555 kg en U. […] Lire la suite
IMMUNOPATHIES
L'élément de perturbation majeur peut être un déficit de lymphocytes suppresseurs (vu chez les souris NZB), ou bien une hyperactivité des lymphocytes T auxiliaires TH (chez la souris MRL). On a aussi observé une hyperactivité des lymphocytes NK (tueurs naturels) parallèle à l'activité auto-immunitaire, chez certaines souris NZB et, par ailleurs, une hyperactivité des lymphocytes B évoquant une activation polyclonale. […] Lire la suite
TECHNIQUE
Le sens de la technique La « technè » grecque Technique, du grec technè, remonte à un verbe très ancien teuchô (uniquement mais innombrablement attesté par les poètes, radical t(e)uch-, indo-européen * th(e)uch-), dont le sens central chez Homère est « fabriquer », « produire », « construire » ; teuchos, « outil », « instrument », est aussi l'instrument par excellence : les armes. […] Lire la suite
NUCLÉAIRE Réacteurs nucléaires
Aussi bien pour le cycle 238U-239Pu que pour le cycle Th-233U, le point de départ est l'uranium 235, seul isotope fissile de la nature qui permet de produire les matières fissiles « artificielles » nécessaires aux réacteurs nucléaires dans la durée : 239Pu et 233U. Cinétique et contrôle de la réaction en chaîne Un régime stationnaire correspond à un facteur de multiplication k = 1. […] Lire la suite
IMMUNITÉ, biologie
Le système immunitaire assume l'une des grandes fonctions physiologiques des Vertébrés : l'aptitude à la reconnaissance d'un nombre prodigieux de structures moléculaires distinctes, les antigènes. Un antigène est classiquement réputé « étranger » à l'organisme chez lequel il provoque une réponse immunitaire. D'où la conception selon laquelle le système immunitaire a pour fonction essentielle la distinction du « soi » (les divers constituants de son propre organisme) et du « non-soi ». […] Lire la suite
FONCTIONS REPRÉSENTATION & APPROXIMATION DES
Il arrive très souvent que, dans les problèmes issus des mathématiques ou des autres sciences, les fonctions qui interviennent soient définies par des procédés qui ne permettent pas d'étudier de manière efficace leurs propriétés. C'est le cas des fonctions définies comme solutions d'équations fonctionnelles, d'équations différentielles ou intégrales, d'équations aux dérivées partielles, ou encore de problèmes variationnels. […] Lire la suite
VIETNAM
À la jonction de l'Asie orientale et du Sud-Est asiatique, baigné sur 2 000 kilomètres par la mer de Chine méridionale, le Vietnam occupe une situation stratégique incomparable entre la Chine et le monde malais, sur une des voies maritimes et aériennes les plus fréquentées de l'univers. Pour l'Occident, son nom est relativement récent. S'il figure, une seule fois – et entre parenthèses –, dans le Grand Dictionnaire universel du XIXe siècle (Larousse) en 1873, on ne le trouve guère dans les encyclopédies occidentales avant 1948. […] Lire la suite