« Potentiel de repos »
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ENFANTS À HAUT POTENTIEL INTELLECTUEL
- Écrit par Nicolas GAUVRIT
- 1 016 mots
On parle alors d’« enfants à haut potentiel sportif, artistique, créatif, etc. ». Lorsque ces capacités supérieures se situent dans le domaine de l’intelligence générale, on parle de « haut potentiel intellectuel ». D’autres dénominations sont utilisées, comme enfants « intellectuellement précoces », « surdoués » ou « à haut QI ». La définition la plus couramment utilisée par les chercheurs consiste à dire que l’enfant à haut potentiel intellectuel (HPI) est celui dont le quotient intellectuel (QI) égale ou dépasse 130. Lire la suite
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TOUT OU RIEN LOI DU
- Écrit par Didier LAVERGNE
- 161 mots
Lorsqu'un stimulus dépasse une valeur minimale appelée seuil d'excitation, la membrane subit une dépolarisation locale entraînant le passage brutal du potentiel membranaire de son niveau de repos à son niveau d'activité. La variation du potentiel électrochimique au niveau de la membrane excitée se produit d'emblée de façon maximale. Elle ne dépend donc en rien de la grandeur du stimulus lorsqu'il est d'intensité supérieure au seuil, c'est-à-dire supraliminaire. Lire la suite
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ÉLECTROPHYSIOLOGIE
- Écrit par Max DONDEY, Jean DUMOULIN, Alfred FESSARD, Paul LAGET, Jean LENÈGRE
- 17 359 mots
- 14 médias
Pour revenir au potentiel de repos, il est heureux que ces implantations métaboliques semblent ne pas atteindre l'ion Cl-, ce qui revient à dire que celui-ci se comporte passivement face aux forces électriques et osmotiques présentes, et se déplace à l'équilibre en quantités égales dans les deux directions sans mobiliser d'énergie chimique. Ce comportement donne ainsi, par application de la formule de Nernst au rapport Cle /Cli, une base enfin plus sûre pour le calcul théorique du potentiel de repos cellulaire. Lire la suite
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DÉPOLARISATION
- Écrit par Didier LAVERGNE
- 159 mots
L'inversion des charges membranaires qui en résulte atteint toujours une valeur dite potentiel d'action, dont la grandeur est caractéristique de la cellule excitée. Celle-ci a donc répondu selon la modalité dite tout ou rien. Ensuite, le retour à l'état initial se produit grâce au travail cellulaire de restauration des équilibres ioniques membranaires. Lire la suite
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POLARITÉ, biologie
- Écrit par Didier LAVERGNE
- 1 081 mots
Par rapport à sa face interne négativement chargée, on peut vérifier l'existence d'une différence de potentiel électrique, dite potentiel de repos. Cet état est instable : la membrane est donc excitable. Le potentiel d'action, que l'on mesure à la suite d'une excitation efficace, est créé par un flux entrant d'ions sodium qui détermine une dépolarisation de la surface membranaire externe au point excité. Lire la suite
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NERVEUX (SYSTÈME) L'influx nerveux
- Écrit par Alfred FESSARD
- 4 983 mots
- 14 médias
L'excitabilité dépend ainsi de l'existence d'une polarisation membranaire de repos. En l'absence d'excitations, chargée positivement sur sa face externe, négativement sur sa face interne, la membrane du neurone est le siège d'un potentiel de repos (PR) de l'ordre de 70 à 100 mV, mesurable entre deux électrodes réceptrices (fig. 2, état 2). Les microtechniques adéquates de stimulation, celles de mesure et d'enregistrement des potentiels, appliquées à de grosses fibres (telles que l'axone géant de calmar) ou à des cellules d'assez grand diamètre (cellules ganglionnaires de Mollusques, neurone moteur de la moelle des Mammifères) ont permis de faire une étude biophysique approfondie des propriétés de la membrane pendant que se déroule le processus d'excitation. Lire la suite
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MYOCARDE ou MUSCLE CARDIAQUE
- Écrit par Édouard CORABOEUF, Didier GARNIER, Bernard SWYNGHEDAUW
- 6 188 mots
- 12 médias
Activité électrique cellulaire La polarisation membranaire de repos (diastolique) varie selon les tissus : les régions nodales, et en particulier le centre d'automatisme, ont un potentiel diastolique maximal plus faible (de 60 à 70 mV) que le myocarde ou le tissu conducteur (de 70 à 90 mV). Le potentiel d'action des cellules cardiaques se caractérise par sa durée relativement longue, généralement comprise entre 100 et 500 ms ; il se compose en principe d'une phase ascendante rapide, suivie d'une phase de dépolarisation maintenue, plus ou moins ample et durable, qui constitue le « plateau ». Lire la suite
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ÉLECTRICITÉ Lois et applications
- Écrit par Jean-Marie DONNINI, Lucien QUARANTA
- 4 773 mots
- 8 médias
La fonction potentiel électrostatique (V) permet d'évaluer le travail (W) des forces électrostatiques pour amener une charge q d'un point A à un point B en fonction de la différence de potentiel : WA→B = q(VA —VB) Dans le cas d'une charge ponctuelle, la fonction potentiel s'exprime par V(r) = (1/4πε0) (Q/r) + Cte. Le potentiel électrique s'exprime en volts (V), le champ électrique en volts par mètre (V. Lire la suite
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VISION Photoréception rétinienne
- Écrit par Yves GALIFRET
- 5 918 mots
- 14 médias
L'ocelle étant à l'obscurité, on mesure avec une microélectrode intracellulaire un potentiel de repos transmembranaire de l'ordre de 40 millivolts, l'intérieur de la cellule étant négatif par rapport à l'extérieur. La lumière provoque une diminution de cette négativité interne, c'est-à-dire une dépolarisation, et, pour un éclairement faible, le décours du potentiel de récepteur ainsi obtenu est assez semblable au créneau de stimulation. Lire la suite
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NEUROBIOLOGIE (HISTOIRE DE LA)
- Écrit par Jean-Gaël BARBARA
- 3 889 mots
- 3 médias
Hodgkin, 1939), produit une brusque variation de son potentiel électrique, de forme caractéristique et appelée « potentiel d’action ». Ce phénomène est dû à l’entrée massive, brève et sélective, d’ions sodium dans la cellule : le potentiel de repos (entre l’intérieur et l’extérieur de la cellule), négatif et inférieur à – 50 mV, s’inverse transitoirement ; le potentiel d’action atteint une valeur de + 40 mV, avant que la cellule ne revienne au niveau de repos. Lire la suite