« Phytothérapie »
-
Préciser avec l'index
-
MÉDECINES ALTERNATIVES
- Écrit par Bernard CHEMOUNY, Bernard POITEVIN
- 1 653 mots
- 3 médias
La phytothérapie : « Aucun peuple au monde n'a pu faire l'économie de l'apport et de la participation du monde végétal au savoir médical » (Pierre Cornillot). Cela est également vrai pour la thérapeutique classique, dont une proportion importante de médicaments est d'origine végétale. En pratique, l'usage de la phytothérapie varie selon les cultures et les pays. Lire la suite
-
PARISETTE
- Écrit par Pierre LIEUTAGHI
- 224 mots
Poison du système nerveux, curarisante au niveau musculaire, la plante pourrait connaître des emplois en phytothérapie. Les homéopathes l'indiquent dans certains troubles nerveux, la toux avec expectoration, l'extinction de voix, les rhumatismes. Les anciens emplois externes (plaies, brûlures) sont à proscrire. Les baies, qui ont connu des emplois tinctoriaux, entraient dans les philtres d'amour au Moyen Âge. Lire la suite
-
MARRUBE
- Écrit par Pierre LIEUTAGHI
- 324 mots
Toujours usité en phytothérapie, entrant dans la composition de spécialités antitussives, il a presque déserté la pratique populaire, même là où il croît en abondance. Le principe actif est une substance amère, la marrubiine ; le marrube contient aussi un certain taux de choline, un peu d'huile essentielle, du tanin, des mucilages, des résines, beaucoup de fer. Lire la suite
-
AROMATHÉRAPIE
- Écrit par Jean VALNET
- 1 634 mots
- 1 média
Valnet crut devoir appeler l'expression atomique de la phytothérapie. Qui dit puissance thérapeutique dit dangers potentiels. Plus encore que la phytothérapie — à qui le qualificatif trompeur, donc dangereux, de « médecine douce » doit être formellement refusé — l'aromathérapie est susceptible, à certaines doses ou chez des sujets prédisposés, de provoquer des effets secondaires plus ou moins graves, des accidents nerveux (convulsions, crises épileptiques, etc. Lire la suite
-
ROMARIN
- Écrit par Pierre LIEUTAGHI
- 444 mots
La plante est toujours utilisée en phytothérapie. Le romarin renferme 0,5 p. 100 (plante sèche) d'une essence à la senteur camphrée très pénétrante, composée de beaucoup de pinène (constituant de l'essence de térébenthine), de bornéol, de cinéol et de 5 à 15 p. 100 de camphre. La plante contient aussi de la choline, des acides organiques, des hétérosides. Lire la suite
-
AUBÉPINE
- Écrit par Pierre LIEUTAGHI
- 644 mots
- 1 média
Les fleurs seules sont utilisées en phytothérapie moderne. On trouve, dans les fouilles des cités lacustres des lacs du Bourget, d'Annecy et dans la plupart des palafittes d'Europe centrale, des accumulations de noyaux qui témoignent de l'utilisation alimentaire très ancienne des fruits de l'aubépine ; mais les premières références à un emploi médicinal de la plante ne remontent qu'au xiiie siècle. Lire la suite
-
ARISTOLOCHIALES
- Écrit par Chantal BERNARD-NENAULT, Jacques MIÈGE
- 1 479 mots
- 2 médias
Utilisée autrefois en obstétrique, elle connaît une nouvelle faveur en phytothérapie. Lire la suite
-
THÉRAPEUTIQUE Vue d'ensemble
- Écrit par Bernard GLORION
- 2 282 mots
Certaines de ses subdivisions, justifiées au début du siècle, n'ont plus de raison d'être aujourd'hui : ainsi la phytothérapie et l'opothérapie, car la plupart des plantes médicinales et des sécrétions glandulaires ont livré leur secret ; les formules chimiques de leurs principes actifs sont connues et la synthèse, au moins partielle, de beaucoup d'entre eux se pratique à l'échelle industrielle. Lire la suite
-
BOTANIQUE
- Écrit par Sophie NADOT, Hervé SAUQUET
- 5 647 mots
- 7 médias
Dans le même ordre d'idée, la phytothérapie et l'herboristerie reposent également sur une bonne connaissance des plantes et donc sur des notions fondamentales de botanique. La phytothérapie se définit comme une médecine fondée sur les extraits de plantes et les principes actifs naturels, quand l'herboristerie consiste dans la préparation et la commercialisation de plantes médicinales ou de préparations dérivées. Lire la suite
-
AGRICULTURE BIOLOGIQUE
- Écrit par Céline CRESSON, Claire LAMINE, Servane PENVERN
- 7 882 mots
- 6 médias
L’agriculture biologique privilégie les traitements homéopathiques, la phytothérapie, les oligo-éléments, minéraux et vitamines. La gestion de la santé, que ce soit des cultures ou des animaux, repose donc sur une combinaison de techniques en priorité préventives. Cela oblige les agriculteurs biologiques à adopter une approche globale et dynamique de la santé et de leur système de production. Lire la suite
- 1
- 2