« Nerfs »
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GANGLION NERVEUX
- Écrit par Didier LAVERGNE
- 200 mots
Les structures ganglionnaires caractérisent les nerfs sensitifs (ganglion spinal de la racine rachidienne dorsale, ganglion trigéminal) et les nerfs viscéromoteurs du système végétatif, chez lesquels la position du ganglion permet d'opposer en principe les nerfs sympathiques (ganglion proche du centre nerveux d'où partent les nerfs) et les nerfs parasympathiques (ganglions en position distale par rapport au centre). Lire la suite
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BELL sir CHARLES (1774-1842)
- Écrit par Jean-Gaël BARBARA
- 1 500 mots
- 1 média
Il poursuit ses recherches personnelles sur le trajet des nerfs, suivant la voie tracée par Gall et le chirurgien John Hunter (1728-1793), véritable modèle pour Bell. Hunter avait émis l’idée que chaque type de nerfs sensitifs était spécifique d’un sens et que les muscles possédaient également des nerfs sensitifs, idées que Bell reprend à son compte en partant du principe qu’il est possible de suivre ces nerfs jusqu’au cerveau selon leurs trajets spécifiques. Lire la suite
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EXPÉRIENCES DE LOEWI : LA NEUROSÉCRÉTION
- Écrit par Pascal DURIS
- 199 mots
- 1 média
Le rôle de certains nerfs dans la régulation du rythme cardiaque avait été reconnu dès la seconde moitié du xixe siècle. Mais comment l'excitation des fibres nerveuses se transmettait-elle au cœur ? Le pharmacologue allemand Otto Loewi (1873-1961) aborde expérimentalement la question en 1921. Ayant observé que la stimulation électrique du nerf vague d'un cœur isolé de grenouille perfusé par un liquide physiologique entraîne un ralentissement des battements cardiaques, Loewi a l'idée de recueillir le perfusat pour le transférer dans un second cœur privé de ses nerfs. Lire la suite
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GALVANI LUIGI (1737-1798)
- Écrit par Bern DIBNER, Universalis
- 829 mots
Galvani ouvre également la voie à de nouvelles recherches dans la physiologie des muscles et des nerfs et dans tout le domaine de l'électrophysiologie. Lire la suite
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ÉRASISTRATE (env. 320-250 av. J.-C.)
- Écrit par Jacqueline BROSSOLLET
- 461 mots
Partant des travaux d'Hérophile, il démontra l'origine des nerfs dans le cerveau, distingua les nerfs moteurs des nerfs sensitifs, mit en évidence le rôle du bulbe et différencia les circonvolutions cérébrales humaines et animales ; il nomma « esprit animal » ce que les modernes appelleront « influx nerveux ». Il a laissé d'importantes observations sur les artères et les veines, découvert la valvule tricuspide et suggéré l'existence des capillaires ; il améliora aussi les connaissances contemporaines sur le mécanisme cardio-pulmonaire et affirma la distribution, à partir du cœur, du sang oxygéné. Lire la suite
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RESPIRATOIRE (APPAREIL) Pharmacologie
- Écrit par Henri SCHMITT
- 1 517 mots
- 1 média
Les voies afférentes sont les nerfs pneumogastriques et sympathiques ; les voies efférentes sont les nerfs intercostaux, les nerfs phréniques et des filets bronchoconstricteurs du pneumogastrique. Par l'emploi de microélectrodes susceptibles d'enregistrer les décharges d'un seul neurone, R. Engelhorn et E. Wellers ont montré que les neurones de cet arc réflexe sont différents des neurones inspiratoires ou expiratoires. Lire la suite
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TRONC CÉRÉBRAL
- Écrit par Paul LAGET
- 4 562 mots
- 2 médias
Bien que leur systématisation soit difficile, on peut essayer de les répartir en noyaux d'origine des nerfs moteurs ou des composants moteurs des nerfs crâniens, noyaux de relais des composants sensitifs ou sensoriels des nerfs crâniens, structures nucléaires propres à la calotte du tronc cérébral. Les noyaux moteurs des nerfs crâniens Les calottes pontiques et mésencéphaliques contiennent un certain nombre d'amas nucléaires au sein desquels les neurones de grande dimension dominent et dont les axones se groupent pour former les racines motrices de plusieurs nerfs crâniens. Lire la suite
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GUILLAIN-BARRÉ SYNDROME DE
- Écrit par Jean-Yves MÉAR
- 957 mots
Sur le plan anatomique, les lésions retrouvées intéressent de façon diffuse les racines et les nerfs périphériques qui sont le siège d'infiltrats inflammatoires aspécifiques de siège périvasculaire, associés à un important œdème. Y font suite des lésions de démyélinisation segmentaire respectant en règle l'axone (ce qui explique la réversibilité sans séquelle du syndrome). Lire la suite
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PLEXUS, anatomie humaine
- Écrit par Didier LAVERGNE
- 318 mots
Les plexus sont des enchevêtrements qui affectent certaines structures anatomiques conductrices : vaisseaux sanguins ou nerfs du corps humain. Dans le cas des vaisseaux sanguins, ce terme est utilisé pour désigner soit des confluents veineux (par exemple sous-cutanés, périprostatiques, etc.), soit des entrelacs capillaires au niveau desquels sont élaborées certaines sécrétions. Lire la suite
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CÉPHALOCORDÉS
- Écrit par Yves FRANÇOIS
- 3 670 mots
- 7 médias
La dissymétrie réside en ce que l'on trouve, au niveau où naît un nerf dorsal du côté droit, la racine d'un nerf ventral du côté gauche et inversement. Les nerfs ventraux sont uniquement moteurs, chacun d'eux innervant le myotome correspondant. Les nerfs dorsaux sont mixtes et comprennent des fibres sensitives se rendant à la peau et des fibres motrices se rendant aux divers organes viscéraux et à la musculature ventrale. Lire la suite