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« Mission de l'école »

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  • ÉCOLE FRANÇAISE D'ATHÈNES

    • Écrit par Olivier PICARD
    • 2 040 mots

    C'est Georges Daux (1950-1969) qui a conduit l'École à Argos, où le champ historique est d'une épaisseur remarquable, le site ayant été occupé pendant plus de cinq millénaires. Enfin, l'intérêt de plus en plus grand pour les relations avec l'Orient a amené Pierre Amandry (1968-1981) à envoyer une mission à Amathonte, royaume des Vieux Chypriotes qui avaient un des plus importants sanctuaires de la déesse de l'île, Aphrodite. Lire la suite 

  • QUAND LES ARTISTES FONT ÉCOLE (ouvrage collectif)

    • Écrit par Thierry DUFRÊNE
    • 1 052 mots

    Bien avant le site de création contemporaine qu'est devenu en 2002 le palais de Tokyo, avec son pavillon-école à destination des jeunes artistes confié à Ange Leccia, Paris avait abrité une pépinière exceptionnelle, celle de l'Institut des hautes études en arts plastiques dirigé entre 1988 et 1995 par Pontus Hulten, ancien directeur du Musée national d'art moderne. Lire la suite 

  • FONTAINEBLEAU ÉCOLE DE

    • Écrit par Sylvie BÉGUIN
    • 3 785 mots
    • 9 médias

    Il sentit aussi la difficulté de définir clairement le terme alors admis d'école de Fontainebleau, mais eut le grand mérite d'en délimiter le domaine. Les travaux de L. Dimier sont à la base de toutes les études consacrées à l'école de Fontainebleau. L'art de Fontainebleau a été précédé par une pré-Renaissance, due essentiellement à des apports italiens, révélés en France grâce aux guerres d'Italie. Lire la suite 

  • BARBIZON ÉCOLE DE

    • Écrit par Jacques de CASO
    • 3 471 mots
    • 7 médias

    Cet intérêt, d'ailleurs, explique en partie la réussite collective des peintres de l'école de Barbizon lors des Expositions universelles de 1855 et de 1867. En tout cas les suiveurs, alors, ne se comptaient plus, tels Rosa Bonheur, et Jules Breton. Cependant, deux personnalités de premier plan, dont la position est particulière dans l'histoire du groupe, se détachent : Jean-François Millet et Charles Daubigny. Lire la suite 

  • PONTS & CHAUSSÉES ÉCOLE DES

    • Écrit par Konstantinos CHATZIS
    • 1 242 mots
    • 1 média

    En conférant au Bureau une mission de formation, cet arrêt peut être considéré comme l’acte fondateur de l’École des ponts et chaussées. En effet, la vocation pédagogique de l’établissement ira en s’intensifiant, au point que, dès la fin des années 1750, on emploie à son sujet de façon indistincte les appellations d’École et de Bureau. En 1775, un règlement signé par Anne Robert Jacques Turgot consacre définitivement l’appellation d’École des ponts et chaussées. Lire la suite 

  • MÉTHODIQUE ÉCOLE, histoire

    • Écrit par Olivier LÉVY-DUMOULIN
    • 2 352 mots

    Cet imperium historique tient autant à la mission nationale dont sont investis les historiens méthodiques qu'à leur statut scientifique. Ernest Lavisse résume ainsi son dogme en la matière en 1880 : « ... l'effet salutaire de ce que nous faisons ici, en Sorbonne, sera ressenti quelque jour dans la plus humble école du plus humble village. J'aime à revenir à cette idée. Lire la suite 

  • PARIS ÉCOLES DE

    • Écrit par Claire MAINGON
    • 2 622 mots
    • 1 média

    École de Paris, école de New York, Cobra Il n'est pas inutile de confronter les deux expressions « école de Paris » et « école de New York » pour évoquer l'effervescence des tendances abstraites internationales autour des années qui entourent la Seconde Guerre mondiale. On regroupe sous l'appellation « école de New York » les deux principaux champs de l'abstraction américaine : le Color Field, mené par Mark Rothko, et l'Action Painting, incarné par la personnalité de Jackson Pollock. Lire la suite 

  • MISSIONS

    • Écrit par Jean BAUBÉROT, Henry DUMÉRY, Antonin-Marcel HENRY, Anastasios YANNOULATOS
    • 17 266 mots
    • 6 médias

    Le dominicain Raymond Martin fonde en 1250 une célèbre école de langues, tandis que le génial Ramón Lull (1234-1315) organise la préparation à l'évangélisation et l'enseignement de la langue arabe à l'intérieur de la Chrétienté. En dehors de l'envoi de franciscains au sud de la Méditerranée (où les frères mineurs auront leurs premiers martyrs), le champ de la mission s'ouvre, pour la première fois, au continent asiatique tout entier. Lire la suite 

  • SOCRATE (469-399 av. J.-C.) ET ÉCOLES SOCRATIQUES

    • Écrit par Jacques BRUNSCHWIG
    • 2 735 mots
    • 1 média

    Une place à part est due à Eschine de Sphettos, que les Anciens ne plaçaient à l'origine d'aucune école philosophique, mais dont les dialogues socratiques passaient pour les plus fidèles à la figure du maître. L'influence de Socrate Par Platon, puis Aristote et le néo-platonisme, le « grand socratisme », de son côté, ouvre une histoire qui est celle de la philosophie occidentale. Lire la suite 

  • MISSIONS SOCIÉTÉS PROTESTANTES DE

    • Écrit par Bernard ROUSSEL
    • 1 140 mots

    Leur création s'explique au sein des Églises par le fait que la mission apparaît à celles-ci comme une œuvre parmi les autres, pouvant relever d'une agence spécialisée. Très tôt, elles encouragent des formes d'action autres que la prédication : ouverture d'hôpitaux, d'écoles, de fermes missionnaires. Dans un second temps, ces sociétés se multiplient au sein des nombreuses Églises des pays européens, mais le souci y demeure permanent de trouver un soutien auprès d'individus dans des groupes locaux appartenant à diverses dénominations : 1815, mission dite « de Bâle », qui ouvre aussitôt une école des missions ; 1824, mission « de Berlin » ; 1836, mission « de Leipzig ». Lire la suite